Culture du noisetier Si le noisetier est capable de vivre dans presque tous les sols, sa culture doit, pour être rentable, se limiter aux conditions pédologiques favorables. Le système radiculaire de cette espèce n’acquiert un développement important que dans un milieu bien drainé, mais à bonne capacité de rétention d’eau en été. Il est en effet très superficiel, et subit très vite les effets des sécheresses estivales. Il est donc d’autant plus important d’éviter les sols trop légers ou trop filtrants que le climat est plus sec ou que l’on dispose de moins d’eau. Le noisetier s'adapte dans des sols à pH très divers ( de 6 à 8 ) et apparaît, comparativement à d'autres espèces fruitières, tolérant au calcaire. Celui-ci est fonction avant tout du climat, en particulier de la fréquence et de l’importance des gelées de printemps. Pour chaque région, on choisira une ou deux variétés principales parmi les plus productives, avec obligatoirement un pourcentage de pollinisateurs appropriés ( 6 à 10%). Taille.
Les potagistes | Un documentaire de Pascal Haass sur un potager menacé de destruction Le Laurier des Frères, véritables aromates de Provence, produits certifiés Provence - Accueil Châtaigneraies Projet Le projet, pour être mieux géré, est divisé en sous-projets. Remise en état · Réhabilitation du bâti selon les besoins. · Débroussaillage des terrains par les élèves du BEPA Travaux Forestiers. · Remise en état des murs et planches de culture par la création d’Ateliers de pratique des Savoirs-faire traditionnels. · Réalisation d’une pépinière de jeunes pousses en vue de greffages et remplacement des arbres anciens. · Nettoyage des arbres : o la taille s’effectue en hiver ; o un élagage d’entretien sur des arbres productifs ayant peu de branches mortes ou malades ; o un rabattage haut sur des arbres dont la cime dépérit ; o un élagage sévère sur des arbres en mauvais état. · Greffages divers o le greffage est réalisé de mars à mai ; o plusieurs méthodes sont utilisées (en flûte, en couronne, ou en fente) ; o les châtaigniers doivent être greffés, les francs-pieds (bouscas) ne produisant que des fruits de faible qualité gustative ; o regreffer les rejets issus de la souche. Entretien Annuel E.
Permaforêt - PARACULTURE Entre cueillette et culture sauvage La Paraculture est une pratique résiliente de culture-cueillette régénérative. Les ressources sauvages, comestibles et spontanées sont multipliées directement dans leur milieu naturel, sans domestication. La Paraculture s'applique aussi bien aux plantes, aux champignons, au miel, aux insectes, aux bactéries, aux ferments ou à toute autre ressource sauvage comestible ou usuelle. Il existe + 6000 plantes comestibles en France, aux qualités nutritionnelles exceptionnelles. 98% des plantes qui nous entourent sont comestibles, médicinales ou usuelles. Sur le site, nous avons identifié plus de 180 ressources sauvages comestibles valorisables en paraculture : 32 variétés de fruits et baies sauvages, 61 légumes sauvages, 8 feuilles d'arbres comestibles, 40 aromates sauvages, 18 fleurs comestibles, 35 champignons gourmets et médicinaux, 3 céréales des bois, des édulcorants, du miel sauvage, des insectes comestibles, des joncs pour la vannerie ...