[herodote.org] « Entre guerres et conflits. La planète sous tension » : un thème-événement que celui de l’édition 2008 du Festival international de géographie, si l’on se souvient du tabou puis de l’extrême réticence des géographes universitaires à intégrer le politique dans le raisonnement géographique, en dépit des travaux d’Yves Lacoste et alors même que la géopolitique est au programme des lycées depuis plus de dix ans. Incontestablement pionnière dans ce domaine, l’équipe d’Hérodote se devait de faire le point théorique et méthodologique sur sa démarche géopolitique mise en œuvre depuis 1976. Cette démarche s’appuie fondamentalement sur le raisonnement géographien intégrant à la fois les caractéristiques physiques et humaines des territoires et leur histoire. Réaffirmation de l’importance du raisonnement géographique dans toute démarche géopolitique, les articles de ce numéro en démontrent, une fois de plus, la remarquable efficacité. Éditorial Béatrice Giblin Les résumés et les articles complets :
Diploweb.com, revue geopolitique, articles, cartes, relations internationales Géographie des conflits récents : quelques articles Plusieurs revues et blogs proposent des analyses des plus pertinentes sur les conflits qui se déroulent actuellement. Voici une liste (loin d'être exhaustive !) présentant des situations de guerres en cours ou d'immédiats après-guerres. Cette revue de géographie présente, à côté de ces numéros thématiques, une rubrique des plus intéressantes, intitulée "Sur le vif", dans laquelle les auteurs analysent des moments d'actualité. Les situations de conflits y sont particulièrement bien analysées (les résumés présentés ici sont ceux des auteurs). "La volonté du gouvernement sri lankais d’en finir militairement avec le LTTE a abouti à une catastrophe humanitaire. "En août 2008, le Caucase a été le théâtre d’une guerre opposant la Géorgie à la Russie, à l’issue de laquelle la Russie a décidé de reconnaître la souveraineté de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud, régions sécessionnistes géorgiennes indépendantes de facto depuis le début des années 1990. Sur Culture & Conflits : Sur les blogs :
ATLAS DES GUERRES ET DES CONFLITS, UN TOUR DU MONDE GÉOPOLITIQUE Ici, les conflits sont à prendre au sens le plus large, avec des conflits sociaux qui sont devenus médiatiques en Afrique du sud au début des années 2010 (mine de Marikana). Mais la plupart des conflits sont des conflits violents, armés qui opposent des groupes militaires formés à des groupes non officiels (guérillas, opposants, …) menant souvent à des guerres civiles dont le but principal est de prendre le pouvoir du pays pour mieux en contrôler les revenus. Il s'agit souvent de conflits asymétriques. Ces conflits, au delà de l'image trop simpliste d'un continent en guerre et en crise permanente (une image accolée à l'Asie dans les années 1950 et à l'Amérique latine dans les années 1970), se déroulent sur un continent aux limites assez nettes. Cependant, on ne peut pas comprendre les conflits dans cette région du monde sans poser un postulat évident : l'Afrique n'est pas uniforme, unie. Quelles problématiques possibles ? L'Afrique peut-elle gérer seule ses conflits ? Plan : 1.1. 1.2.
Quelle durabilité des formes de régulation des conflits littoraux ? 1 Nous distinguons les conflits des tensions par un passage à l’acte d’une des parties prenantes qui (...) 1Les zones côtières sont des espaces particulièrement conflictuels du fait de la multifonctionnalité de l’espace (fonctions de production, d’exploitation, de consommation, de conservation, etc.), de la multiplicité des perceptions de cet espace, et des mutations rapides qu’ils subissent. Les conflits littoraux - où la dimension environnementale est de plus en plus présente - ne peuvent plus être considérés comme négligeables, car ils interagissent avec les modes de gestion et la cohérence des actions menées sur un territoire (Cicin-Sain and Knecht, 1998, Shipman and Stojanovic, 2007 ; Bruckmeier and Höj Larsen, 2008). De fait, leur prise en compte apparait nécessaire dans les démarches de gestion d’un espace, telles que les initiatives de gestion intégrée de la zone côtière (GIZC) (Vallega, 1999). Arbitrage juridique Régulation par des mesures administratives
Comment l’ennemi se fabrique-t-il ? - Vidéo . Comment faut-il comprendre le concept de « fabrication de l’ennemi » ? L’ennemi n’est-il pas une évidence ? Faut-il forcément se le fabriquer ? . Vous expliquez que « l’ennemi » peut prendre plusieurs formes : quelle typologie de celui-ci pouvons-nous faire aujourd’hui ? . . Faire un clic pour activer la vidéo. Comment l’ennemi se fabrique-t-il ? Plus : Voir la présentation par Gérard Chaliand du livre de Pierre ConesaLa fabrication de l’ennemi, ou comment tuer avec sa conscience pour soi, éd. Vieille Garde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Composition de la Vieille Garde[modifier | modifier le code] Elle était constituée originellement par deux régiments à pied et deux à cheval : Plusieurs autres formations de cavalerie rejoignirent ensuite les rangs de la Vieille Garde, dont les mamelouks (1801), les gendarmes d'élite (1802), les dragons de l'Impératrice (1806), les chevau-légers polonais (1807) et le 1er escadron du 1er régiment d'éclaireurs (1813). Condition d'intégration[modifier | modifier le code] Justifier d'au moins 10 ans de service.Avoir une très bonne conduite.Avoir été cité pour bravoure.Mesurer au moins 1,76 m.Savoir lire et écrire. Sources[modifier | modifier le code]