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Psychologie La psychologie est la connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements d'une personne et des manières de penser, de sentir, d'agir qui caractérisent un individu ou un groupe. Il est commun de définir aussi la psychologie comme l'étude scientifique des comportements[2]. La psychologie fait partie des sciences humaines et sociales (SHS). Étymologiquement, le mot psychologie dérive du latin psychologia, terme lui-même formé à partir du grec ancien ψυχή (psukhē : le souffle, l'esprit, l'âme) et -λογία (-logia, la science, l'étude, la recherche)[1] par le savant humaniste croate Marko Marulić (1450-1524) et qui semble apparaître pour la première fois dans le titre de Psichiologia de ratione animae humanae (fin XVe - début XVIe) dont la trace a été perdue[3],[4] si bien que la première occurrence attestée se trouve chez le juriste et philosophe allemand Johann Thomas Freig (lat. L'objet d'étude de la psychologie est un débat non clos depuis des siècles.

Des comédiens réinventent l’art de la consultation | Le blog de Olivia Barron Utiliser des acteurs pour apprendre aux praticiens à parler aux patients. Une pratique encore trop rare en France. Un élève-infirmier au chevet de la patiente, jouée par la comédienne Géraldine Dupla. Haute Ecole de La Santé à Lausanne.Guy Stotzer Selon la Sofres, un tiers des français hospitalisés en 2012 sont insatisfaits de la qualité du dialogue avec le personnel médical. Jean-Paul, robot-cobaye à l’école de La Source. Première école laïque pour infirmiers au monde, La Source, à Lausanne, utilise depuis 2004 cette technique dans le cadre de son Laboratoire de pratique simulée. Dans cet hôpital virtuel, chaque élève s’adonne, quatre jours par an, au jeu du patient simulé. « Mme Magnin, 24 ans, brûlée à la jambe au troisième degré, vient pour refaire son pansement » annonce le professeur. La technique du patient simulé « prépare l’étudiant à faire face à des situations humaines pleine d’inattendus » souligne Otilia Froger, professeure à l’école de La Source. Des robots ou des hommes

Ingénierie de professionnalisation Les sciences cognitives Les sciences cognitives (Grand dictionnaire de philosophie, Larousse, 2003) Pierre Jacob Le mot "cognition" vient du latin cognoscere et il a approximativement la même extension que le mot "intelligence". L'importance théorique des sciences cognitives tient à trois caractéristiques. Dans le foisonnement des paradigmes théoriques et expérimentaux en sciences cognitives, trois thèmes retiendront notre attention en raison de leur intérêt philosophique intrinsèque. 1. L'étude des capacités cognitives du cerveau humain remonte au milieu des années 50. Deux sortes d'arguments militent en faveur de la théorie computationnelle de l'esprit : des arguments épistémologiques ou méthodologiques et des arguments ontologiques. 2. Les travaux formels sur la faculté de langage ont donné naissance à des recherches expérimentales en psycholinguistique sur la compréhension du langage chez l'adulte et sur l'acquisition du langage chez le bébé humain. 3.

Les sauveteurs en mer à l'épreuve du simulateur Reportage Attention à la marche en entrant dans la cabine de pilotage. La mer est grosse et la vedette, lancée à pleine vitesse, roule d'un bord sur l'autre. Contrairement à ce que certains affirment, ce simulateur est parfaitement statique. « Nous avons reproduit la timonerie d'un navire de sauvetage de 1re classe de nouvelle génération, explique Didier Moreau, aux commandes de ce nouvel équipement de la SNSM, la Société nationale de sauvetage en mer. L'idée de cet outil unique en France est de travailler les compétences individuelles et collectives d'un même équipage. Pour rendre crédibles ces opérations virtuelles, les sauveteurs utilisent les cartes électroniques numérisées mises à leur disposition par les pilotes. Trouver avant de sauver Autrefois, la formation se faisait sous forme de compagnonnage. Six mois après la mise en route du centre, 40 sauveteurs ont suivi la formation.

Didactique professionnelle L’ordinateur, les mathématiques et le témoin oculaire 4 novembre 2008 par Frank Arnould Plaidoyer pour l’utilisation des modèles formels et de simulation en psychologie du témoignage oculaire. Malgré le nombre impressionnant d’articles publiés dans les revues spécialisées chaque année, la psychologie scientifique reste mal connue. Pour le néophyte, mathématiser les processus mentaux peut paraître surprenant. Dans un article paru dans Applied Cognitive Psychology, le psychologue Steven Clark, de l’Université de Californie à Riverside, Etats-Unis, souhaite inciter ses collègues spécialistes du témoignage oculaire à prendre, eux aussi, le chemin de la théorisation formelle (Clark, 2008). WITNESS s’inspire des modèles de la mémoire dits à appariement global (Clark & Gronlung, 1996). Steven Clark a appliqué ce modèle de simulation au problème de la sélection des distracteurs d’une parade d’identification (Clark, 2003). Références : Clark, S.E. (2003). Clark, S.E. (2008). Clark, S.E., & Gronlung, S.D. Lane, S.M., & Meissner, C.A. (2008).

Profil de recherche - Coût efficacité et compassion Dr François Rousseau Des chercheurs utilisent la simulation par ordinateur pour proposer une façon d'épargner aux femmes enceintes des soucis inutiles et des interventions coûteuses et superflues. [ Retour à l'article principal ] La modélisation mathématique et les ratios coût­efficacité incrémentiels ne constituent pas l’apanage des comptables purs et durs. En effet, pour le Dr François Rousseau, de l’Université Laval, ces outils essentiels aident les médecins à pratiquer une médecine personnalisée et factuelle. « Les médecins doivent intégrer une foule d’informations », dit le Dr Rousseau, qui a un cœur de médecin et un cerveau de programmeur informatique. « C’est l’art de la médecine jusqu’à un certain point : utiliser toute l’information disponible pour s’assurer que le diagnostic et le traitement sont adaptés au patient. » Qui – Le Dr François Rousseau, professeur, Département de biologie moléculaire, biochimie médicale et pathologie, Faculté de médecine, Université Laval.

La didactique professionnelle 1La didactique professionnelle est née au confluent d’un champ de pratiques, la formation des adultes, et de trois courants théoriques, la psychologie du développement, l’ergonomie cognitive et la didactique. On peut dire qu’elle a pris corps autour de trois orientations. Première orientation : l’analyse des apprentissages ne peut pas être séparée de l’analyse de l’activité des acteurs. Si on prend au sérieux une perspective de développement, il faut reconnaître une continuité profonde entre agir et apprendre de et dans son activité. D’où, deuxième orientation, si on veut pouvoir analyser la formation des compétences professionnelles, il faut aller les observer d’abord, non pas dans les écoles, mais sur les lieux de travail. 2En pratique, c’est au début des années 1990 qu’un petit groupe de chercheurs s’est constitué pour créer et développer la didactique professionnelle. 3Nous organiserons cette note de synthèse autour de six parties : L’apport de la psychologie ergonomique

5 raisons d'aller au lit - Dossiers Contact Le sommeil, Edouard Vuillard À la question «Pourquoi dormons-nous?», 5 chercheurs apportent un élément de réponse. Par Pascale Guéricolas Non, le sommeil n’est pas une petite mort! Cette drôle de période quotidienne pendant laquelle chacun se coupe du monde serait nécessaire, autant pour le fonctionnement de son cerveau ou pour conserver sa santé et sa silhouette que pour éviter de somnoler en plein jour, estiment les spécialistes du sommeil. Tous s’y adonnent, depuis le nouveau-né avec ses 18 heures de dodo –si ses parents sont chanceux– jusqu’à l’adulte qui dort de 7 à 9 heures. 1- Parce que c’est l’état que le cerveau préfère Le Sommeil d’Élie, Philippe de Champaigne «Pour le cortex cérébral, le sommeil est l’état de base, l’état le plus stable», affirme Igor Timofeev1, professeur au Département de psychiatrie et de neurosciences. Malheureusement, on ne peut se limiter à dormir. Alors, que se passe-t-il dans le cerveau pour qu’il semble fait pour le sommeil? Sommeil d’hiver, Paul Klee

Apprentissage, motivation, émotion : comment apprenons-nous Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’univers connu, et c’est de sa compréhension que dépendra l’avenir de nos technologies futures et singulièrement l’intelligence artificielle et la robotique. A l’Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l’architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Au cours d’une conférence à Bordeaux, lors d’un atelier organisé conjointement par l’expédition Bodyware de la Fing et l’Inria, Frédéric Alexandre nous a présenté quelques fondamentaux concernant les mécanismes de notre mental. Les sciences de l’esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s’attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. Comment garder l’information importante

Didactique professionnelle D’abord on prendre le sujet par un sujets qu’agit, qui transforme le environnement et transforme à lui même et qu’utilise tous les ressources possibles pour mieux faire pour ajuster son activité, cherchent bien développer cette activité près de construction de connaissances et en si transformant dans un processus de développement de compétences. On trouve dans la base de la Didactique Professionnelle avec Rogalski (2004), Pastré (1997, 1999, 2002, 2004, 2005), Pastré et Rabardel (2005), Vergnaud (2004, 2007), Pastré, Mayen, Vergnaud (2006) et Calmettes (2007) qu’ils soutiennent l'étude des compétences professionnelles comme une alternative théorique sur l'apprentissage que s’appui sur une théorie psychologique de la " cognition situé" (affirme l'archevêque de la communauté de pratique), ou une théorie " cognitiviste" (affirme la connaissance humaine comme un système de traitement des informations). Bellier (2004) aborde qu’existent quelques consensus sur des compétences :

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