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La dette, c'est chouette!

La dette, c'est chouette!
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6 idées reçues sur la dette publique Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique cherche à explorer, développer et expliquer les enjeux révélés par la crise actuelle. Avec une certitude : il existe des solutions progressistes à la crise de la dette, il faut lutter contre la résignation, les imposer dans le débat public (disponible en 4 pages A4 PDF). Il nous faut dans un premier temps dénoncer la supercherie du discours dominant sur la dette, qui voudrait nous faire croire qu’il n’y a pas d’alternative à promettre «le sang et les larmes» aux peuples… pour mieux assurer les profits des banques. «La dette est la conséquence d’une explosion des dépenses publiques» «Nous vivons au-dessus de nos moyens» «Il faut rassurer les marchés financiers» «Il faut imposer la règle d’or, il faut imposer l’austérité…» Vraiment ? Ce document a vocation à prendre à contre-pied ces idées reçues, rabachées à longueur de temps dans les radios et télévisions. C’est faux. La France serait sur le déclin. C’est faux !

Dette : 5000 ans d’histoire. Entretien avec David Graeber David Graeber (l’un des intellectuels les plus influents selon le New York Times) est anthropologue et initiateur du mouvement Occupy Wall Street Radio Grenouille l’a reçu le temps d’un entretien exceptionnel d’une heure à propos de l’ouvrage déjà culte aux USA (100 000 ex vendus), Dette : 5000 ans d’histoire qui vient tout juste d’être publié en France aux éditions « Les liens qui libèrent ». L’auteur propose une grande fresque, à la fois érudite, radicale et passionnante sur les origines de la monnaie, le mythe du troc, la manière dont le marché se construit avec l’appui de la force militaire, et le rôle de la dette, dans tout cela, comme système de pouvoir, poids moral, etc. ; fresque qui se termine par un plaidoyer pour l’abolition de toutes les dettes, publique comme privée. Entretien avec David Graeber par Emmanuel Moreira

Passez à l'antenne ! Faut-il vraiment payer toute la dette ?, par Jean Gadrey (Le Monde diplomatique, octobre 2014) Mission accomplie. Depuis l’automne 2011, une centaine de comités locaux du Collectif pour un audit citoyen de la dette (CAC) (1) ont vu le jour un peu partout en France. Leur objectif ? Répondre au chœur des éditorialistes, des « experts » et de la majorité des dirigeants politiques enjoignant aux citoyens de se serrer la ceinture pour assumer le fardeau de la dette. Au cours des deux premières années de mobilisation, le CAC s’était refusé à chiffrer la part illégitime de la dette publique, avec cet argument : avant de mesurer la dette, il vaut mieux en comprendre la genèse. A en croire le discours dominant, l’envol de la dette s’expliquerait avant tout par la croissance excessive des dépenses d’un Etat « obèse ». Privilégions pour commencer la part de l’Etat dans la dette publique, vu son poids : 79 % du total en 2012, le reste correspondant aux parts de la Sécurité sociale et des collectivités locales. Les auteurs de l’étude du CAC ont adopté une convention prudente.

Dette odieuse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dette odieuse est une jurisprudence[1] avancée par certains auteurs en matière de droit international relative à une dette contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l'intérêt des citoyens de l'État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de « dette odieuse » lorsqu'elle a été contractée par une dictature et qu'elle doit être remboursée lors de la transition démocratique. Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et non pas de l'État en entier. Historique[modifier | modifier le code] Le Mexique[modifier | modifier le code] Cuba[modifier | modifier le code] Le second exemple est fourni par les États-Unis, qui ont refusé que Cuba paye les dettes contractée par le régime colonial espagnol. Le Costa Rica[modifier | modifier le code] L'Irak[modifier | modifier le code] Définition de la dette odieuse[modifier | modifier le code]

Gaël Giraud : La monnaie, ce sont les banques privées qui la créent ! 1/2 | Il faut le dire ! Les sommes qui circulent dans la sphère financière sont hallucinantes si on les met en regard des sommes qui circulent dans l’économie réelle. Moi, ce que je me demandais, en voyant les chiffres, c’est d’où ils venaient, les sous… L’addition des sommes ponctionnées sur l’économie réelle?? J’ai lu Illusion financière, un livre publié en 2012 par Gaël Giraud… Et là, je suis tombée de haut! Vous me direz : « On s’en fiche, alors si les sous ne viennent pas de notre spoliation et que les financiers jouent entre eux! Gaël Giraud est, je crois, un professeur très pédagogue sur ces questions. Gael_Giraud_ce_sont_les_banques_privees_qui…par pascale-fourier Transcription lisible sur le Net ci-dessous ( transcription assurée par Audrey d’Aquin): Il faut le dire… les interviews de Pascale Fourier Gaël Giraud, chercheur en économie au CNRS auteur de «Illusion financière » –éditions de l’Atelier, 2012 Interview de Novembre 2014 Thème: Monnaie ! Pourquoi cette migration ? A quoi sert la finance ? A bientôt !

Films Series Mangas en streaming Dette publique, un siècle de bras de fer, par Renaud Lambert (Le Monde diplomatique, mars 2015) Il fut un temps où les Etats se libéraient facilement du fardeau de la dette. Il suffisait par exemple aux rois de France d’exécuter leurs créanciers pour assainir leurs finances : une forme balbutiante, mais commune, de « restructuration » (1). Le droit international a privé les débiteurs d’une telle facilité. Il aggrave même leur situation en leur imposant le principe de continuité des engagements. Si les juristes se réfèrent à cette obligation par une formule latine — Pacta sunt servanda (« Les conventions doivent être respectées ») —, les traductions les plus diverses ont circulé au cours des dernières semaines. Version moralisatrice : « La Grèce a le devoir éthique de rembourser sa dette » (Front national). La dette hellénique dépasse les 320 milliards d’euros ; proportionnellement à la production de richesse, elle a bondi de 50 % depuis 2009. « Pas suffisamment stupides pour payer » Quelques décennies auparavant, le Mexique avait tenté de développer des arguments similaires.

Simulation en temps réel des intérêts de la dette Voilà l'estimation de ce que nous, Français, continuons de payer depuis 1973, en euros constants, au titre des seuls intérêts* sur la dette publique, pour avoir abandonné notre pouvoir de création monétaire à des acteurs privés (... oui, les 4 premiers chiffres représentent bien des milliards d'euros...) A l'heure du " pouvoir d'achat chancelant " et des " caisses vides ", ce forfait ne peut rester sans suite ! * la dette proprement dite, c'est-à-dire le capital du, était de 1250 milliards d'euros à fin 2007. Cela revient à dire que, si nous n'avions pas du payer ces intérêts (de quasiment 1306 milliards d'euros au 01/09/2008), notre pays n'aurait pas de dette aujourd'hui! Intérêts payés depuis le 1 er janvier 2007, par habitant euros Mais au delà de ces chiffres il est intéressant de comprendre le "pourquoi" de cette dette et de ces intérêts...

Capitalisme – Et si Marx avait raison? Et si Marx avait raison, après tout ? Avec l’effondrement de l’Union soviétique et la chute du Mur, le communisme a été jeté à la poubelle de l’histoire, et lui avec. Mais après la crise de 2008, on peut se demander si nous avons bien compris Marx. Son analyse du capitalisme du XIXe serait-elle plus pertinente aujourd’hui ? Cet épisode décrypte la pensée de l’auteur du Capital, depuis sa jeunesse d’étudiant romantique ami d’Engels jusqu’à son accession au statut de leader théorique de la révolution mondiale. Au-delà de l’idéologie communiste, le film s’attache à sa lecture du capitalisme comme « immense accumulation de marchandises » jusqu’à sa critique des concentrations financières et du capitalisme d’État, démontrant que ses prévisions s’avèrent aujourd’hui très pertinentes. Aimer : J’aime chargement…

«La dette neutralise le temps, matière première de tout changement politique ou social» Entretien de Maurizio Lazzarato conduit par Agnès Rousseau Vous dites que l’Homo debitor est la nouvelle figure de l’Homo economicus. Quelles sont les caractéristiques de ce « nouvel homme »? Maurizio Lazzarato: De nombreux services sociaux, comme la formation ou la santé, ont été transformés en assurance individuelle ou en crédit. Le mode de développement néolibéral est fondé sur le crédit et l’endettement. Cette situation s’est aggravée avec la crise des subprimes de 2007. Le droit à la formation ou au logement s’est transformé en droit au crédit… C’est une logique qui ne fonctionne que si l’économie est en expansion. En quoi cela fonde-t-il un nouveau rapport social, et un nouveau rapport au temps? J’ai repris l’hypothèse que développe Friedrich Nietzsche: le rapport social fondamental n’est pas l’échange économique ou l’échange symbolique, mais le rapport débiteur-créditeur. C’est une nouvelle forme de contrôle. L’endettement de l’Italie est de 120 % de son PIB.

Le site de la dette publique ... Cette page "En savoir plus" est en construction ...donc un peu "en vrac" - Site "Dette et monnaie" - Site "faux monnayeurs" - Site "Chomage et monnaie" - Site du Mouvement Sociétal - Site de l'ADED L'Association pour les Droits Economiques et Démocratiques - Site de Jean Jégu - Vidéo sous - titrée " la monnaie-dette" money as debt, de Paul Grignon - Site "libérons la monnaie" - Livre d'A-J Holbecq et Philippe Derudder La dette publique, une affaire rentable Ci-dessous, l'évolution en euros constants de la dette publique (courbe rouge) et ce qu'elle serait devenue (courbe verte) dans un systeme monétaire où l'état, à partir de 1980 (en partant d'une dette de 229 milliards d'euros fin 1979, déja litigieuse), aurait récupéré son droit de création monétaire. Traité de Maastricht - Article 104

Le plan de relance de Mélenchon tient-il la route ? La relance proposée par Jean-Luc Mélenchon a-t-elle une chance de réussir ? Ou risque-t-elle de conduire à la faillite, comme l’affirment ses concurrents ? Le candidat propose un plan d'investissement de 100 milliards d'euros (pour répondre à "l'urgence écologique" et à "l'urgence sociale" comme le logement) et une augmentation de la dépense publique sur 5 ans de 173 milliards d'euros, soit 34,6 milliards d'euros par an, pour assurer des augmentations de salaires et des emplois pour les chômeurs de longue durée. Cette approche de la politique économique, d'inspiration keynésienne, est controversée : Une partie de la classe politique – la droite du PS, Emmanuel Macron, François Fillon – la juge inopérante. Pour en débattre, nous avons réuni des économistes représentant chacune de ces approches : Liêm Hoang Ngoc, ancien député européen, qui a quitté le PS en 2014 et fait partie aujourd’hui de l'équipe du candidat de La France insoumise. Vous évoquez 100 milliards d’euros d’investissements.

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