Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ? Qui a été mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ? La Première Guerre mondiale a vu plus de 8 millions d'hommes être mobilisés en France. Comment savoir si la personne sur laquelle je fais des recherches a été mobilisée ? Une seule certitude : les classes mobilisées. Grâce aux états des classes publiés tous les ans et dont il était fait une forte publicité dans les communes et la presse, on sait quelles furent les classes mobilisées pendant la guerre : celles de 1887 à 1919. Pas 1886 ni 1920 comme on peut le lire parfois. Voici la répartition des classes valable du 1er octobre 1913 au 30 septembre 1914, suivie pour la mobilisation : (1) Pourquoi est-ce la seule certitude ? Par l'engagement volontaire et les carrières d'officiers, des hommes nés avant 1867 peuvent avoir participé au conflit. Les effectifs mobilisés : On trouve aisément sur Internet des statistiques sur les classes et les effectifs mobilisés. - Hommes mobilisés : La suite de la recherche : Sources : 1. 2. 3. 4. 5.
Les objets de l'Historial Aller au contenu principal Accueil > Tresors Darchives > Fonds Publics > Musees > Objets > Les objets de l'Historial de la Grande Guerre de Péronne MuséesObjets Les objets de l'Historial de la Grande Guerre de Péronne L'Historial de la Grande Guerre a sélectionné ces objets dans ses collections. Casque Adrian pour fantassin. © Historial de la Grande Guerre-Péronne (Somme). Casque Stalhelm avec peinture de camouflage. Casque de type Brodie. 1915. « L'Alsace retrouve ses trois couleurs ». « Je vous présente mon camarade, comme vous voyez, il ne fait pas usage de la poudre de riz ! Assiette en faïence de Sarreguemines illustrée d'un dessin humoristique de Benjamin Rabier, dessinateur et caricaturiste animalier, qui s'est rendu célèbre notamment pour le dessin de "La Vache qui rit". Weihnachten 1917. Caméra allemande 35 mm fabriquée sous la marque Herneman, vers 1910. Prothèses de nez et d'œil britanniques. Main-pince articulée pour amputé, Louis Lumière, brevetée SGDG. Le Piou-Piou. HANSI. M.
Verrerie Les conditions de vie des civils pendant la guerre 14-18 Contexte historique Pendant la Première Guerre mondiale, le tribut payé par les poilus est, certes, impressionnant – 1 390 000 morts, près de trois millions de blessés dont 60 000 amputés –, mais ce conflit des plus meurtriers n’a pas épargné les populations civiles. En Belgique, qu’ils ont envahie malgré sa neutralité, les Allemands ne s’attendaient à aucune résistance, mais les Belges ralentissent la progression de l’ennemi, qui exerce des représailles sur la population : 200 civils sont tués dans l’incendie de Louvain, 400 otages sont exécutés à Tamines, 200 à Andenne, 670 à Dinant, hommes, femmes et enfants confondus. Pendant quatre ans, l’ennemi occupe totalement ou partiellement une dizaine de départements français du Nord et de l’Est, et y prélève l’essentiel des ressources et de la main-d’œuvre dont il a besoin. Analyse des images Les deux photographies sont extraites de ce fonds Anne Morgan et ont été prises dans des villages proches de Soissons. Interprétation
Guerre 14-18 Les monuments aux morts, mémoire de la guerre - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers Le monument aux morts d’Annot (Alpes-de-Haute-Provence). Photo : Xavier Lambours © La Documentation française. Agrandir l'image C’est juste au sortir du conflit que sont érigés partout en France des monuments aux morts de la Grande Guerre ; dans chaque ville, chaque village, là où ces hommes vivaient et travaillaient. Sur les champs de batailles, là où ils sont tombés, leurs restes reposent dans de grands cimetières et ossuaires. « La France, comme tous les peuples en guerre, a vécu une véritable "Imitation de la Patrie" que les monuments révèlent. Nommer Pour le cénotaphe communal, on a choisi dans la plupart des cas une stèle, souvent obélisque, du type de celles qui ornaient jusque-là les tombes des cimetières. Croire, combattre, travailler "L'armée protège l'arrière : l’arrière travaille pour l’armée". Photo : Holzapfel © La Documentation française Ces monuments sont pourtant des tombeaux, des tombeaux vides. Des lieux de regrets Le culte du soldat inconnu
Histoire de Lavoûte RECIT FRANCETV INFO. "Je ne crains pas la mort mais j’ai peur d’avoir peur" : à Verdun, au cœur des tranchées à travers le journal inédit d'un poilu Arrivé à Bisseuil, en Champagne, Louis n’a que peu de temps pour faire connaissance avec ses hommes avant de partir au combat : une cinquantaine de soldats, dont quarante combattants et une dizaine d’hommes affectés à l’intendance. Sa section, la 3e, est composée pour moitié de poilus aguerris, de "braves types un peu frondeurs, mais courageux et dégourdis", et pour moitié de jeunes de la classe 1915. Eux n’ont jamais vu le feu, ce qui convient très bien au jeune officier, toujours angoissé de commander des hommes plus expérimentés que lui. A cet endroit de la Marne, les choses sérieuses commencent. L’état-major est toujours persuadé qu’une victoire de grande ampleur est possible sous réserve de percer le front puis d’envoyer des troupes fraîches pour exploiter la trouée. En clair ? Le 3 septembre, Louis monte au front pour la première fois, près de Mourmelon. A 600 mètres de la ligne de feu, les hommes de Louis commencent à consolider un boyau de terre et de craie. L’enfer est patient.