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Le peer-to-peer, clé de voûte pour les économies futures ?

Le peer-to-peer, clé de voûte pour les économies futures ?
Compte-rendu du séminaire W2S par Michel Bauwens à la Cantine, 16 décembre 2011 « Ce ne sera pas une conférence sur comment devenir riche avec des startup, » souriait Michel Bauwens au début du séminaire W2S à la Cantine de vendredi 16 décembre. Les deux heures et demi de présentation et de discussion qui ont suivi, ayant pour thème « From Collaborative Prosumer Capitalism to a Commons-based P2P Economy », ont pourtant mis en avant la possibilité d’un véritable modèle économique alternatif basé sur le peer-to-peer (P2P), qui, loin d’être une utopie pour un futur lointain, s’infiltre toujours plus dans nos pratiques quotidiennes et pourrait constituer la clé de la durabilité à moyen et long terme de nos économies et de nos sociétés. Les évolutions de la coopération Comme M. Le P2P peut être conçu comme un système où l’intérêt individuel se marie à l’intérêt collectif – non pas par altruisme, mais par design social. Pour un dépassement du « capitalisme netarchique » Conclusions.

BLOG Une Nouvelle Année, Une Nouvelle façon de penser. Et si nous commencions l’année 2013 par un grand OUI? C’est une nouvelle année qui commence, un nouveau cycle. Si nous mettons en avant cette très célèbre citation d’Albert Einstein sur notre site, « les problèmes auxquels nous sommes confrontés ne peuvent être résolu au niveau et avec la façon de penser qui les a engendrés » c’est avant partout parce qu’elle est porteuse d’un sens profond de notre relation à la vie. Pour chacun d’entre nous cela veut dire se poser la question du sens de notre existence et comme un fractal, cela se répercute à chaque niveau de notre existence. La vie est-elle quelque chose de positif? Et si nous faisions de cette nouvelle année l’occasion du retour de l’optimisne? Quand nous nous posons le plus honnêtement possible, en toute transparence avec nous-même, la question de notre relation à la vie, nous pouvons savoir qu’elle est elle et si nous la vivons véritablement de manière positive. Tout est possible.

L'HOLOCRATIE, NOUVELLE PROPOSITION POLITIQUE Par définition, la démocratie impose à la minorité les décisions de la majorité. Ce modèle est reconnu comme un moindre mal, mais il n'est en général pas appliqué au niveau des Etats. Même dans les Etats réputés " démocratiques ", la réalité est tout autre : on a généralement affaire à une oligarchie qui prend toutes les décisions importantes sans rendre aucun compte à quiconque. Pour imposer les décisions de la majorité, ou de l'oligarchie dans les faits, la " démocratie " dispose de l'administration et de la force armée. Pourtant, dans l'esprit de beaucoup, démocratie signifie non-violence et suppose respect des volontés individuelles. Existe-t-il un mode de représentation gouvernementale qui puisse respecter ces deux principes qui, a priori, semblent aller de soi pour quiconque dispose d'un peu de réflexion sur les relations idéales entre êtres humains, et ont du mal à imaginer que la coercition puisse être une relation juste ? Qu'est-ce que cela signifie ? Cela est une nécessité.

ACCUEIL Les mouvement sociaux en démocratie Science Politique La démocratie protestataire Éditeur : Presses de Sciences Po * Cet article est accompagné d'un disclaimer. Pour en prendre connaissance, veuillez cliquer sur le footer en dessous de l'article. La démocratie protestataire, parue dans la collection de poche des Presses de Sciences Po, entend faire une présentation synthétique de l’actualité des mouvements sociaux dans leurs diversités en France depuis les années 1990, en les abordant comme des phénomènes occupant une place centrale en démocratie et non comme des objets marginaux de la science politique. Le premier chapitre situe historiquement la reprise de la conflictualité sociale. Le second chapitre entend remettre en cause l’illusion de la nouveauté dans les modes d’action contestataires actuels. Le troisième chapitre aborde la question de la légitimité des mouvements sociaux. Le quatrième chapitre aborde la question des relations, complexes et ambivalentes, entre mouvements sociaux et politique.

Vers une démocratie écologique. Le citoyen, le savant et le politique Développer les processus participatifs et délibératifs à l’image des « forums hybrides » ou des conférences de citoyens Accroître le rôle des ONG environnementales dans le processus d’élaboration des lois et les introduire dans les institutions publiques ou gouvernementales encadrant les secteurs touchant à l’environnement Mettre en place des innovations politiques : reconnaissance de nouveaux objectifs constitutionnels en matière d’environnement, refondre l’édifice constitutionnel au bénéfice d’un « bioconstitution », concevoir de nouvelles institutions (instauration d’un nouveau Sénat, d’une Académie du Futur) Sauvegarder la biosphère exige de repenser la démocratie elle-même. Sommaire Finitude et liberté humaines La question "naturelle" Les limites de la représentation moderne Pour une bioconstitution A propos des auteurs Dominique Bourg est professeur à la faculté des géosciences et de l’environnement de l’université de Lausanne. Interview de Dominique Bourg “H. Selon D. Or selon D.

Instaurer une gouvernance écologique avec l’holacratie Rapport de force, pulsions de l’ego, quête de pouvoir, autocratie : voici ce qui domine dans la majorité des groupes (entreprises, associations) de notre société. Pourtant, des modes de gouvernance existent proposant une alternative à cette façon d'être et de faire. Qu'est-ce que l'holacratie ? L'holacratie qui provient des mots grecs « holos » désignant « une entité qui est à la fois un tout et une partie d’un tout » et de « kratos » signifiant « pouvoir ». Il s’agit donc de donner le pouvoir de gouvernance à l’organisation elle-même plutôt qu’aux egos de ses membres. Elle constitue une pratique pour les organisations en recherche d’efficacité et d’agilité dans leurs structures de base : organisation, processus de décision, réunions. Un système de pilotage dynamique : Avec ce système de prise de décision, l’entreprise s’ouvre à la créativité de ses membres : les individus travaillent en intelligence collective, créant un champ de conscience supérieur à la somme de ses participants. 1.

Société coopérative et participative Une société coopérative de production (scop), parfois également appelée « société coopérative ouvrière de production » ou « société coopérative de travailleurs », est en droit français, une société commerciale qui se distingue des sociétés classiques par une détention majoritaire du capital et du pouvoir de décision par les salariés. Les Scop sont soumises en France à la loi du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération, mais leur spécificité par rapport aux autres coopératives leur est conférée par la loi du 19 juillet 1978 portant statut des sociétés coopératives de production. Historique[modifier | modifier le code] Les premières « associations ouvrières » sont nées dans la clandestinité au début du XIXe siècle, l'associationnisme ouvrier se construisant sur le refus de la subordination économique ou salariale[1]. En février 1848, le gouvernement provisoire arrivé au pouvoir lors de la révolution autorisa pour la première fois les associations ouvrières. Dirigeants Exemples :

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