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Refaire société : La ville Cyborg

Refaire société : La ville Cyborg
"Refaire Société", tel est le programme de la République des Idées, ce collectif animé par plusieurs intellectuels et chercheurs autour de l'historien Pierre Rosanvallon. A l'occasion de son colloque annuel qui se tenait mi-novembre à Grenoble, nous sommes allés suivre les conférences notamment celles qui évoquaient les questions de participation au croisement des nouvelles technologies. Comment "refaire société" ? La science-fiction s’est toujours intéressée à l’usage incontrôlé de la technologie et la manière dont elle transforme l’homme, la société et son environnement. Ces nouvelles cyberpolis s’accompagnent d’interrogations exaltées et inquiètes sur le devenir de l’homme, quand il doit vivre avec des machines qui prennent place jusque dans son corps. Cet homme prothétique est devenu une réalité avec la Grande Guerre et ses 800 000 mutilés, incarnation de la rencontre entre l’homme et l’acier. L’ambivalence du Cyborg, l’homme prothétique L’alerte prend le pas sur la présence. Related:  .caisson test.caisson test

Redis as the primary data store? WTF?! The web is abound with warnings and cautionary tales about going this route. There are horror stories about lost data, hitting memory limits, or people unable to effectively manage the data within Redis, so you might be wondering “What on earth were you thinking?!“ So here is our story, why we decided to use Redis anyway, and how we overcame those issues. First of all, I want to stress that most applications shouldn’t even worry about the engineering hurdles involved with going this route. Redis is Fast. Like memcached, everything is held in memory. You have to be able to fit all your data in memory, andIf your server fails between disk syncs you lose anything that was sitting in memory. Due to these two issues Redis has found a really solid niche as a transient cache of data you can lose, rather than a primary data store, making often accessed data fast with the ability to rebuild when necessary. Muut is offered as a completely free product. All the data’s in memory. Server failures

Ville intelligente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « ville intelligente » est une traduction de l'expression smart city. Ce concept émergent — dont les acceptions sont mouvantes en français[1] — désigne un type de développement urbain apte à répondre à l'évolution ou l'émergence des besoins des institutions, des entreprises et des citoyens, tant sur le plan économique, social, qu'environnemental[2]. Une ville peut être qualifiée d’intelligente quand les investissements en capitaux humains, sociaux, en infrastructures d'énergie (électricité, gaz[3]), de flux (humains, matériels, d'information) alimentent un développement économique durable ainsi qu’une qualité de vie élevée, avec une gestion avisée des ressources naturelles, au moyen d'une gouvernance participative et d'une utilisation efficiente et intégrée des NTIC (en 1992 G. Dupuy parle à ce sujet d'« informatisation des villes »[4]). Le concept anglo-saxon de smart cities[modifier | modifier le code] Amsterdam Smart City.

Repenser l?internet des objets (1/3) : L?internet des objets n?est pas celui que vous croyez ! ? InternetActu.net Par Daniel Kaplan le 23/04/09 | 18 commentaires | 6,410 lectures | Impression L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots Le sac Vuitton apparaît alors comme une incarnation possible de l’”internet des objets”. D’autres y ajoutent les capteurs, des objets producteurs de données. Les multiples récits de l’internet des objets Admettons donc que ce qui précède décrive le substrat technologique de l’internet des objets. Daniel Kaplan

tout le débat s'ouvrant DONC à partir de la Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code] Lecteurs[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes[modifier | modifier le code] Le marqueur se compose : Contraintes[modifier | modifier le code]

"Avec mon ordinateur, j'ai ouvert et fermé la porte d'une banque" Il y a quelques jours, le département de la Sécurité intérieure des États-Unis a reconnu que le fonctionnement d'une centrale de production d'énergie avait été perturbé par une attaque informatique sur le sol américain. L'internaute français fo0_ explique au Point.fr tout ce qu'il est possible de faire, sans compétence particulière, depuis un simple ordinateur. Pour que les entreprises et les particuliers en soient enfin conscients. Pourquoi tant d'attaques en ce moment ? En fait, les attaques les plus spectaculaires sont dues au grand nombre d'Interface Scada. Ah bon, et qu'avez-vous réussi à faire, par exemple ? Il y a deux ans, j'ai eu accès au système de climatisation d'une école à Singapour. Tout cela depuis chez vous, tranquillement installé dans votre canapé ? Oui, et j'ai même pris le contrôle d'un crématorium... Est-ce compliqué ? Non, pas vraiment.

Qu’est-ce que l’intelligence collective ? Le thème de l’intelligence collective a fait l’objet de nombreux travaux durant les quarante dernières années. Même si les appellations diffèrent, un objet commun semble se dégager : noosphère de Teilhard de Chardin, écologie de l’esprit de Gregory Bateson, écologie des représentations de Dan Sperber, sujet collectif de Michel Serres, cybionte de Joël de Rosnay, hive mind de Kevin Kelly, intelligence connective de Derrick de Kerckhove, super-brain de Francis Heylighen, Global Brain de H. Bloom, intelligence émergente de Steven Johnson, etc. Stricto sensu, l’intelligence collective est un concept régulateur qui peut être défini comme une intelligence variée, partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences [1]. L’intelligence collective constitue également un champ de recherche dont l’objet est l’étude de la coopération intellectuelle entre humains dans un environnement techniquement augmenté.

Domotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation graphique schématique d'items relatifs à l'« habitat intelligent » (version évoluée de la domotique des années 1970-80), avec leurs relations entre eux et avec l'usager Maison de démonstration dite « Maison T-com », à Berlin Les domaines de la domotique[modifier | modifier le code] Exemple d'interface avec un logiciel de contrôle de l'éclairage Le Home cinema est l'un des « services » qui peut, être intégré dans la domotisation Exemple d'une famille de modules domotiques électroniques et électromécaniques (vannes, vérins) pouvant être commandés par une même unité centralisée Les principaux domaines dans lesquels s’appliquent les techniques de la domotique sont : Domotique et environnement[modifier | modifier le code] La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses. Avec le temps, la domotique tend à sortir de la maison. Coût de la domotique[modifier | modifier le code]

Robot d'indexation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Spider. Fonctionnant sur le même principe, certains robots malveillants (spambots) sont utilisés pour archiver les ressources ou collecter des adresses électroniques auxquelles envoyer des courriels. En Français, depuis 2013, crawler est remplaçable par le mot collecteur[1]. Il existe aussi des collecteurs analysant finement les contenus afin de ne ramener qu'une partie de leur information. Principes d'indexation[modifier | modifier le code] Pour indexer de nouvelles ressources, un robot procède en suivant récursivement les hyperliens trouvés à partir d'une page pivot. Un fichier d'exclusion (robots.txt) placé dans la racine d'un site Web permet de donner aux robots une liste de ressources à ignorer. Deux caractéristiques du Web compliquent le travail du robot d'indexation : le volume de données et la bande passante. Le comportement d'un robot d'indexation résulte de la combinaison des principes suivants :

Demain, les réseaux sociaux d’objets La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Observer qui date de début novembre, article que l’on doit à Ben Popper et qui s’intitule “Créer le Facebook des objets”. L’article commence très à l’américaine, le journaliste raconte être assis en face d’une jeune entrepreneure du nom de Joe Einhorn, dans son bureau. Ils discutent. Soudain, Einhron regarde l’anneau que le journaliste porte au doigt et lui demande : “Qu’est-ce que c’est que ça ?”. “Google, poursuit le journaliste, a créé le plus gros moteur de recherche du monde en trouvant la meilleure manière de classer les relations entre les milliards de pages qui constituent le Web. Et son projet, c’est de conquérir ce territoire. Image : Homepage de l’un des services de Thing Daemon. Mais, remarque le journaliste, une base de données n’est pas très intéressante, ni même efficace, s’il n’y a pas quelque chose au-dessus d’elle, et si les gens ne se mettent pas à l’utiliser. Quelques mots sur ce papier. Xavier de la Porte

Quels sont les piliers du transmédia en 2014? Le transmédia est un terme récent qui tente de traduire une mutation de l’information, de son fond, de sa manière d’y accéder, de sa manière de la communiquer. Les interprétations varient tout comme la mise en oeuvre de stratégies transmédia et leur réussite, néanmoins il est indéniable que le transmédia est un concept qui s’appuie sur trois piliers : le contenu, les plateformes et l’auditoire, définis par la maison de production Toast Studio dans le cadre de la 5e édition du Forum Blanc. 1. Les piliers du transmédia Le contenu La valeur qui était autrefois intrinsèque à un contenu s’est déplacée vers la relation qu’un auditoire a avec les contenus – C. La stratégie de contenu est au coeur même d’un projet transmédia. La marque devra veiller à ce que ses valeurs sous jacente ne soit pas masquées par l’histoire mais portée par celle-ci. Les plateformes Le producteur a ainsi la lourde tâche de concilier les aspects créatifs et les aspects d’expérience-utilisateur, dans un contexte de marque.

L’INTERNET DES OBJETS «L’Internet des objets» Aujourd’hui, c’est déjà demain La vie quotidienne de millions de personnes a été bouleversée par l’Internet, qui nous relie les uns aux autres, indépendamment des distances et des fuseaux horaires. Aujourd’hui, selon un rapport récemment publié par l’UIT, nous sommes à la veille d’une nouvelle révolution: au cours des vingt prochaines années, le nombre d’internautes, pourtant en pleine augmentation, sera vraisemblablement infime par rapport à la multitude d’objets inanimés qui pourront communiquer les uns avec les autres par voie électronique. Par exemple, les réfrigérateurs pourront échanger des informations avec les rayonnages des supermarchés, les machines à laver pourront faire de même avec les vêtements — et même les vêtements que vous portez pourront «parler» à d’autres objets qui vous entourent. La mise en place de l’infrastructure nécessaire à l’Internet des objets avance à grands pas (Figure 1). Les technologies en vedette De nouveaux marchés potentiels

Quelle tête donner à un robot ? Quand la psychologie influence le design Une étude de l’Institut Technologique de Georgia Tech s’est intéressée aux robots assistants du futur et en particulier à leur forme. En questionnant deux groupes de personnes, formés de jeunes et de moins jeunes, on peut tirer des leçons sur les attentes des utilisateurs. L’assistant intelligent du futur sera-t-il humanoïde ? androïde ? Nous avons découvert que les participants, aussi bien les jeunes que les plus âgés, associent des émotions en fonction des traits caractéristiques du visage du robot. Les participants étaient confrontés à différentes séries de photos de robots ayant un visage soit humain, soit robotisé, soit mi-homme mi-robot. Mais lorsque les personnes âgées apprenaient que ce robot compagnon à visage humain pourrait les aider dans leur quotidien et notamment pour faire leur toilette, certains revenaient sur leur choix. Cette étude montre encore une fois qu’en matière de design en robotique personnelle, la tâche n’est pas facile. Ces sujets vous intéresseront aussi :

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