Loup : les agriculteurs ardéchois exigent le plomb 1 874 attaques et 6 102 victimes en 2012. Depuis sa réapparition, en 1992, dans le Mercantour, le loup n’a cessé d’étendre son territoire, et l’on en compterait aujourd’hui 250 (contre 194 en 2009) sur le sol français. En Ardèche, les agriculteurs exigent que soit “stoppée cette prolifération”. Réapparus, en 1992, dans le parc du Mercantour, les loups ont atteint en 1997 la Savoie, puis l’Ain en 2003, les Pyrénées (2006), l’Isère (2009) et la Haute-Savoie, la Drôme, l’Ardèche, la Lozère, les Hautes-Alpes, les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, le Var, les Vosges et le Doubs en 2011. Aperçus dans près de 500 communes, leur territoire s’agrandirait d’à peu près 25 % par an. “Nous ne nous laisserons pas endormir par de l’argent” La scène se déroule à Privas, en Ardèche, le 25 juin. Ce terrible constat intervient quelques mois après que les représentants de l’État ont tenté de nier la présence du loup en Ardèche, ou de la marginaliser en évoquant “un spécimen égaré”.
Rencontre avec le Peuple Loup - Observer, respecter et partager Prairies fleuries en danger | Caroline Sonnay's Blog i 1 Vote Si 70 % de la population suisse pensent que la biodiversité de leur pays se porte bien, il en ai autre chose lorsque l’on y regarde de plus près. En effet, depuis le début du 20 e siècle, 36 % des zones alluviales, 82 % des marais et 95 % des prairies et pâturages secs de Suisse ont disparu. Les prairies fleuries illustrent bien quant à elles ce phénomène de disparition de milieux riches et varié au profit de paysages toujours plus uniformes. Dombresson (NE): en 2000, cette prairie montrait une bonne diversité d’espèces et de couleurs. La pression constante exercée sur l’agriculture pour qu’elle produise meilleur marché et les incitations financières (paiements directs) ont poussé à une exploitation intensive des prairies. Pour atteindre de meilleurs rendements, les prairies sont de plus en plus souvent réensemencées avec des mélanges pauvres en espèces. Dans ces conditions, les nombreuses espèces typiques des prairies fleuries ne peuvent faire le poids. WordPress:
Rétrospective du retour du loup dans le massif central et de la position des verts locaux Rétrospective de l'arrivée du loup dans le Massif central et de la position des « Verts » locaux OPINION - En 2007, Michel Olivier avais écris un petit texte sur le voyage de Canis lupus de l'Italie vers le Massif central. En voici un extrait... Par Michel OLIVIER Le retour du loup dans le massif central « Le Vercors sera-t-il le tremplin pour la colonisation du massif Central ? « C’est ainsi qu’en dehors de ce massif : un animal a été tué dans les Vosges en 1994, deux animaux ont été tués dans le Massif central en 1995 et 1999, et trois animaux différents ont été détectés dans les Pyrénées orientales entre 1999 et 2000, tous génétiquement identifiés de lignée italienne. » (Dépêche AFP, 23 mai 2006) « Un couple de loups a été observé au nord de la Lozère par des professionnels de la chasse, ce qui inquiète les nombreux éleveurs de bovins de la région où le loup avait été éradiqué dans les années 60, a-t-on appris mardi de sources concordantes. Réactions des Verts au retour du loup
Vivre avec le loup Hamster d'Alsace : des communes du Bas-Rhin refusent d'être transformées en "réserves" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Catherine Vincent 5 / 6La disparition de la luzerne, l'aliment favori du hamster, au profit du maïs qui recouvre aujourd'hui plus de 80% de la plaine d'Alsace explique également la raréfaction du hamster.Crédits : AFP/FREDERICK FLORIN facebook twitter google + linkedin pinterest 6 / 6L'arrêt de la Cour expose Paris à des pénalités fixées par la Commission européenne si la France ne s'y conforme pas.Crédits : AFP/FREDERICK FLORIN facebook twitter google + linkedin pinterest 1 / 6En 2009, la Cour de justice européenne (CEJ), reconnaissait la France coupable de n'avoir pas pris de mesures suffisantes pour protéger le grand hamster d'Alsace, un rongeur en voie de disparition depuis 1993.Crédits : AFP/FREDERICK FLORIN facebook twitter google + linkedin pinterest 2 / 6En cause, la mauvaise gestion des populations de rongeurs et des mesures de protection insuffisantes. Lire le diaporama Mettre en pause Rejouer Accédez au portfolio
Loup: Jean-Marc Moriceau désire réécrire les textes européens ! Jean-Marc Moriceau : "Il faut réécrire les textes européens, il faut rendre le loup chassable sous certaines conditions" Pour ceux qui ne comprenaient pas bien la position mi-chèvre mi-chou que prenait Jean-Marc Moriceau. Voici une interview qui permet de faire tomber le masque sur sa position à propos du loup en France. Une chose est sûre, le loup est pour lui un business juteux... Un loup vient d’être abattu légalement en Savoie (lire ici). Le 22 mai prochain, Jean-Marc Moriceau1 publiera aux éditions Tallandier « Vivre avec le loup ? Comment s’est passé le retour du loup en France ? Combien comptabilise-t-on de loups en France aujourd’hui ? Combien d’animaux d’élevage sont dévorées chaque année ? On entend parfois que les chiens errants seraient plus nuisibles que les loups… J. En cas de pertes dues au loup, les éleveurs sont-ils dédommagés ? Vous parlez même d’injustice envers les éleveurs… J. Quelle solution préconisez-vous ? À quand remonte la figure du grand méchant loup ? Source
Les bouquetins vont retrouver les Pyrénées françaises LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Thépot (Toulouse, correspondance) Après l'ours, une nouvelle espèce emblématique des Pyrénées devrait faire son retour dans ces montagnes. Une quarantaine de bouquetins sont attendus au printemps 2013 sur deux sites français du massif franco-espagnol, au-dessus de Cauterets (Hautes-Pyrénées) et dans la vallée d'Ustou (Ariège). Cette mesure ne devrait pas occasionner d'oppositions aussi farouches que dans le cas de l'ours. Ces bouquetins, vingt mâles et autant de femelles, ne viendront pas des Alpes mais d'Espagne. Farouche opposant à l'ours, le président du conseil général de l'Ariège, Augustin Bonrepaux (PS), a fait savoir qu'il était disposé à cofinancer pendant trois ans un investissement estimé chaque année à 100 000 euros pour 60 bouquetins dans son département. Les principales questions posées par l'arrivée de ces bouquetins ibériques sont d'ordre sanitaire.