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Qu'est-ce qu'un logiciel libre / Open Source (GNU, Linux, BSD, Mozilla,...) ?

Qu'est-ce qu'un logiciel libre / Open Source (GNU, Linux, BSD, Mozilla,...) ?
Le Logiciel Libre, c'est quoi ? Selon la FSF (Free Software Foundation), à l'origine du concept, le logiciel libre est un logiciel fourni avec l'autorisation pour quiconque de l'utiliser, de le copier, et de le distribuer, soit sous une forme conforme à l'original, soit avec des modifications, ou encore gratuitement ou contre un certain montant. Pour être libre, un logiciel doit respecter quatre libertés fondamentales : la liberté d'exécution ; la liberté d'étude ; la liberté de redistribution des copies ; la liberté d'amélioration. Cela siginifie en particulier que son code source doit être disponible. Et l'Open Source ? Dans la pratique, un logiciel libre est toujours Open Source; un logiciel Open Source, généralement libre. A sa création, le terme Open Source devait lever l'ambiguité du free de Free Software. Malheureusement, le terme Open Source entraîne une nouvelle ambiguité : celle qu'un logiciel "à source ouverte" n'est pas forcément libre. Des exemples ?

Questions sur l'interopérabilité Le 10 septembre dernier, la société Microsoft organisait une table ronde consacrée à l'interopérabilité. Et force est de reconnaître que les questions qui y ont été posées étaient fort pertinentes. Nous regrettons d'autant plus de ne pas avoir eu l'occasion d'y apporter de vive voix les réponses qui suivent. 1 - L'interopérabilité, une exigence du marché mais une réalité sur le terrain ? L'état des lieux de l'interopérabilité varie substantiellement selon les domaines. Si on considère Internet par exemple, dont la nature même est étroitement liée à l'interopérabilité, on constate que l'on a une très bonne interopérabilité dans les couches basses. Cependant, rien n'est jamais acquis. 2 - La quête d'interopérabilité est-elle bien compatible avec les enjeux concurrentiels du marché ? L'interopérabilité, quand elle est réelle, constitue un élément clé favorisant une concurrence non biaisée sur un marché. 3 - L'interopérabilité, uniquement une histoire de standards ?

Controverse Logiciel libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du projet GNU, initiateur du mouvement du logiciel libre. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement[1]. Ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus[2]. Ces droits peuvent être simplement disponibles (cas du domaine public) ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs »[Note 1]. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : les freewares (gratuiciels) : un gratuiciel est un logiciel gratuit, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Définition[modifier | modifier le code] Premières ébauches[modifier | modifier le code]

Enjeux du logiciel libre, standards ouverts et interopérabilité Pourquoi l'expression « logiciel libre » est meilleure qu'« open source » - Projet GNU [Traduit de l'anglais] Bien que la liberté d'un logiciel ne soit pas dépendante du nom qu'on lui donne, le nom qu'on lui donne fait une grande différence : des mots différents véhiculent des idées différentes. En 1998, quelques personnes de la communauté du logiciel libre ont commencé à utiliser le terme « open source » (logiciel ouvert) au lieu de « logiciel libre ». On associa rapidement « open source » à une approche, à une philosophie, à des valeurs, et même à des critères d'acceptabilité des licences, différents. Le mouvement du logiciel libre et l'open source sont aujourd'hui des mouvements séparés, avec des idées et des objectifs différents, bien que nous puissions travailler ensemble et que nous le fassions sur quelques projets concrets. La différence fondamentale entre les deux mouvements se situe dans leurs valeurs, leurs façons de voir le monde. Relations entre le mouvement du logiciel libre et le mouvement open source Comparaison des deux termes Ambiguïté Peur de la liberté

Enseignement : l’Inria contre la priorité au logiciel libre, la controverse continue Comme nous le rapportions hier, l’Afdel, le Syntec numérique et l’Inria ont écrit une lettre à la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, pour lui demander de revenir sur la priorité aux logiciels libres votée par le Sénat dans le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche, à propos des "services et des ressources pédagogiques numériques". La signature du PDG de l’Inria, Michel Cosnard, au côté de celles des présidents du Syntec numérique, Guy Mamou-Mani, et de l’Afdel Jamal Labed, a été vivement critiquée, notamment par l’Aful (Association francophone des utilisateurs de logiciels libres). "De nombreuses startups Inria sont éditeurs de logiciels" Via son compte Twitter (où il n’avait plus posté de messages depuis fin avril), Michel Cosnard a répondu, d’abord de façon générale le 5 juillet, puis hier directement à Laurent Séguin, président de l’Aful: Vendredi 5 juillet 2013 2. 3. 4. 5. Lundi 8 juillet 2013 @lcseguin Vos propos publics me choquent.

Les DSI français se dotent de schémas directeur Open Source - Journal du Net Solutions Les grands groupes français commencent à adopter des politiques Open Source. Le point sur cette tendance, et les premières bonnes pratiques qui en résultent. Dès 2008, les grands groupes français ont commencé à s'interroger sur la pertinence de se doter d'une politique de choix technologique en faveur de l'Open Source et des logiciels libres. "L'Open Source apporte une culture du réseau susceptible d'enrichir l'intelligence de l'entreprise, tout en établissant un contre-pouvoir face aux éditeurs d'offres propriétaires", expliquait Marc Lagoutte, DSI de Danone, à l'occasion de l'assemblée générale 2008 du Club informatique des grandes entreprises françaises (Cigref). Quelques mois avant, le Gartner s'était également saisi du sujet. Schéma directeur Open Source : la France rattrape son retard "Comparé aux Etats-Unis, la France est en retard en matière de schéma directeur Open Source.

Comprendre le débat autour des brevets logiciels Qu'est-ce qu'un brevet logiciel ?Un brevet, qu'il soit appliqué aux logiciels ou non, permet à son titulaire d'interdire à tout tiers - auquel il n'aurait pas donné d'autorisation explicite - la fabrication, l'importation et la commercialisation du produit ou du procédé concerné. Un brevet protège une invention technique nouvelle - et non évidente - pour une durée de vingt ans maximum. Que se passe-t-il au plan européen depuis 3 ans ? Michel Rocard résume ainsi les limites apportées par le Parlement : "lorsque l'homme utilise de la matière ou met en œuvre les forces de la nature, les coûts sont élevés, une rémunération forte est nécessaire, le brevet la rend possible en interdisant l'usage de l'invention sans rémunération. En mai 2004, le Conseil des Ministres européens a voté une position commune très proche du projet initial de directive, ne tenant pas compte des amendements apportés par les eurodéputés quelques mois plus tôt. Où en est-on aujourd'hui ?

Open Source : décryptage Très tôt choisis par les administrations, les logiciels libres et Open Source se diffusent désormais en entreprise, à presque tous les étages. Définition du concept. Qui développe les logiciels libres ? C'est le projet GNU, initié par Richard Stallman et développé par des hackers, qui est à l'origine des logiciels libres, dès 1984. De très nombreuses communautés de développeurs, dont des fondations, se sont ensuite créées dans le monde, composées de bénévoles, d'étudiants, de chercheurs, etc. Comment est-il possible que les logiciels libres soient compétitifs par rapport aux solutions propriétaires ? Les grandes SSII ont aussi senti le vent tourner, et ont pris le train en marche avec un certain succès. D'un point de vue juridique, que valent les licences des logiciels libres ?

Licences libres - GNU GPL... avec commentaires Nous essayons de lister sur cette page les licences de logiciel libre les plus communes, mais nous ne pouvons pas les lister toutes ; nous ferons de notre mieux pour répondre à vos questions sur les licences libres, qu'elles soient présentées sur cette page ou non. Les licences sont classées grosso modo par ordre alphabétique dans chaque section.1 Si vous pensez avoir découvert une infraction aux termes de l'une de nos licences, veuillez vous référer à notre page « Violation des licences GNU ». Si vous avez des questions au sujet de licences de logiciel libre, envoyez-nous un courriel (en anglais) à <licensing@fsf.org>. Comme nos ressources sont limitées, nous ne répondons pas aux questions portant sur le développement ou la distribution de logiciels privateurs,2 et vous aurez probablement une réponse plus rapide si vous posez une question spécifique qui n'est pas traitée ici ou dans notre FAQ. GNU General Public License (GPL), version 3 (#GNUGPL) (#GNUGPLv3) Clarified Artistic License

Problème Logiciel Libre et développement durable - Projet GNU Un grand nombre d'organisations dont l'objectif est de promouvoir le développement en étendant l'usage de l'informatique se méprennent absolument : elles préconisent l'utilisation de logiciel privateur1 (non libre). L'utilisation de logiciel privateur, ce n'est pas du développement ; cela ne renforce pas la société mais au contraire la rend dépendante. Un logiciel privateur tel que MS Windows ou le système Macintosh est distribué avec l'arrière-pensée de garder les utilisateurs divisés et sans défense. Les utilisateurs sont divisés, car aucun d'entre eux ne peut partager le logiciel avec quiconque ; ils sont sans défense, car les « plans » du logiciel (son code source) sont tenus secrets. Les utilisateurs ne peuvent pas modifier le programme ni vérifier qu'il fait bien ce que le développeur a annoncé (et non autre chose dont le développeur n'a pas parlé). Le moyen d'éviter la division et l'impuissance est d'utiliser du logiciel libre.

Les logiciels libres dans l'entreprise | CommentCaMarche Réservés hier aux initiés, les logiciels libres sont aujourd'hui accessibles à toutes les entreprises et à tous les entrepreneurs, même s’ils ne sont pas informaticiens. Découvrez les applications existantes, mais avant de vous lancer dans le tout libre, prenez conscience des avantages et des inconvénients de cette solution. Les logiciels libres s'opposent aux logiciels commerciaux, appelés aussi propriétaires ou fermés, dominés par Microsoft. Attention, les logiciels libres et les logiciels open source, même s'ils ont une définition très proche, ne sont pas synonymes. Les avantages L'argument principal est bien sûr la gratuité de la grande majorité des logiciels libres. Par définition, les logiciels libres sont téléchargeables en toute légalité. Vient ensuite l'indépendance vis à vis des éditeurs de logiciels payants. Les logiciels open source sont modifiables par tous, le code source du logiciel étant libre d'accès. Les inconvénients Les applications Téléchargement et utilisation

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