Le Blog de Pierre Jovanovic 2008 - 2012 : REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE LA VRAIE INFORMATION REND LIBRE (LE MONDE A VOLONTAIREMENT IGNORÉ L'ASSASSINAT DE D. ROSSI) cliquez sur l'image pour mon reportage NOTE: le reportage d'ARTE n'a même pas osé dire que David Rossi a été battu et que sa montre est tombée bien après sa chute... Incroyable mais habituelle lâcheté des journalistes de télévision. De notre lecteur Willy " voici la base de données LE MONDE - DECODEX LIEN ICI (à sa sortie... elle évoluera par la suite sans doute). C'est assez intéressant de la parcourir d'un bloc, plutôt que de le faire site par site... vous comprendrez pourquoi... Avec quelques lignes de code, un programmeur un peu expérimenté arrivera à la mettre en forme... De notre lecteur Sacha: " comme en France (Le Monde), en Allemagne la guerre contre le " Fake News " (la vérité) a debuté. - 925.000 euro de Brost-Stiftung => fondation très près de FUNKE-Mediengruppe (groupe Media) - - 114.000 euro de Stiftung Adessium => fondation Néerlandaise, connue pour être aux alentour de Mr. LoL M.
Bureau central de renseignements et d'action Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) était pendant la Seconde Guerre mondiale, le service de renseignement et d'actions clandestines de la France libre. Créé en juillet 1940 par le général de Gaulle, désigné sous différentes appellations au fil des années, il sera fusionné en 1943 au sein de la Direction Générale des Services Spéciaux (DGSS). Création[modifier | modifier le code] Le service, créé en juillet 1940 par le général de Gaulle, qui plaça à sa tête André Dewavrin (connu sous le nom de guerre « Passy »), prit en réalité plusieurs désignations successives : Deuxième bureau, à sa création le 1er juillet 1940, désignation commune depuis 1870 du service de renseignement de l'armée française, Service de Renseignements (SR), à partir du 15 avril 1941, Bureau central de renseignements et d’action (BCRA), à partir du . Création des services secrets de la France Libre[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code]
Accueil Musique Libre, pourquoi, comment ? L'archive musicale Dogmazic.net propose plus de 55 000 titres musicaux, tous téléchargeables gratuitement "en toute quiétude et en toute légalité".Les musiciens publiant sur Dogmazic ont tous choisi de placer leur musique sous licence de libre diffusion. Selon la licence choisie, de nombreux droits peuvent être accordés d'emblée aux auditeurs. L'association Dogmazic.net existe depuis 2004 grâce aux bénévoles de l'association Musique Libre qui édite le site, sans but lucratif. Adhérer à l'asso Plus nous serons nombreux dans l'association, et plus notre parole aura de poids pour représenter les musiciens sous licence libre ou ouverte et leurs auditeurs auprès des acteurs de l'industrie musicale.En rejoignant l'association, vous serez conviés à nos assemblées générales qui ont lieu via internet, et vous pourrez voter pour les prises de décision. Dogmazic a besoin de vous ! En septembre 2017 l'association Musique Libre a tenu son assemblée générale.
Direction générale des études et recherches Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Direction générale des Études et Recherches, (DGER), est un organe de renseignements créé en 1944. Il résulte de la fusion entre l'ancien BCRA de Londres et les Services de renseignements d'Alger, devenus respectivement en 1942 le BRAL (André Dewavrin) et le BRAA (Paul Paillole). La fusion de ces deux services constitue la DGSS, confiée à André Dewavrin. Le sigle DGSS restera provisoire (ses deux dernières initiales rappelant trop de tristes souvenirs). Il est transformé en DGER. Lors de sa fondation, la DGER est constituée de plus de 10 000 hommes d'origines diverses.
Le Financement de la Mafia - La mafia, un Etat dans un Etat ... Dans les formes traditionnelles de criminalité, l’activité illégale a toujours pour but essentiel la consommation, et peu importe si cet objectif est réalisé par le biais de crimes et de souffrances. Le financement de la Mafia provient de différentes activités : Le blanchiment d’argent, la drogue, le racket, le proxénétisme, le jeu, le trafic d’armes, et de déchets toxiques. Toutes ces activités sont présentes dans la société, ceux qui le subissent et qui en sont témoins se taisent, car la loi du silence est la première règle à respecter en tant que victime ou témoin sous peine de menaces, voire de mort. Le financement mafieu se divise en deux grandes parties. L'économie illégale, et l'économie légale mafieuse. Tout d'abord, l'économie légale de la Mafia est semblable aux autres économies légales, en revanche les ressources de cette économie légale, est issue d'une économie illégale. De plus, l'activité illégale est la plus grosse source de revenus de la Mafia.
Service de documentation extérieure et de contre-espionnage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE) est un service de renseignements français, qui a été créé le et remplacé le par la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE)[1]. Il ne prend pas pour autant la fonction du Deuxième Bureau qui reste alors consacré au renseignement militaire traditionnel. Directeurs généraux du SDECE[modifier | modifier le code] Le général Paul Grossin a été directeur général du SDECE entre 1957 et 1962. Les directeurs généraux du SDECE ont été successivement[2] : Opérations connues[modifier | modifier le code] Guerre d'Indochine : Renseignement et opérations de maquis avec les partisans montagnards via le GCMA (groupement de commandos mixtes aéroportés).Opération « Condor » du colonel Jean Sassi à Diên Biên Phu le 30 avril 1954.Guerre d'Algérie : Tentative d'appropriation du pétrole nigérian en 1968 aux dépens des États-Unis et du Royaume-Uni en soutenant les séparatistes biafrais.
Quelques infos sur "le squale" Le une demande de réquisitoire supplétif le 9 février, sur la base de soupçons liés aux conditions d'emploi de Jean-Baptiste Squarcini, fils de Bernard Squarcini, Squarcini et M. Jean-Noël Guérini" et affirmait que celui-ci lui aurait donné instruction d'augmenter le salaire de Jean-Baptiste Squarcini, ... Service Action Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir SA. Le service Action (SA) est un service de la direction des Opérations (DO) au sein de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE). Son quartier général est situé au fort de Noisy à Romainville, France. Mission[modifier | modifier le code] Le service Action est chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines. opérations « arma » : sabotage, destruction de matériel ;opérations « homo » : assassinat ou enlèvement de personnes. Le service Action est également utilisé pour infiltrer ou exfiltrer clandestinement des personnels (agents, personnalités, ex-otages, etc.) d'un pays[1]. Rattachement hiérarchique[modifier | modifier le code] À la création du SDECE, le service Action, aussi appelé Service 29 puis Service VIII sous Paul Grossin, dépend directement du directeur du SDECE. Organisation[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]
Direction générale de la sécurité extérieure Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La , couramment connue sous le sigle , est le service de renseignement extérieur de la France . Placée sous l'autorité du ministre français de la Défense , la DGSE est dirigée depuis le 10 octobre 2008 par Erard Corbin de Mangoux . Sa devise serait « Partout où nécessité fait loi », qui exprime l'impératif de la raison d'État [ 2 ] ou, selon d'autres sources [ 3 ] , « » (« À des résultats grandioses par des voies étroites ») [ 4 ] . Sous l’autorité du ministre français de la Défense , elle est chargée, selon les termes de l'article D. 3126-2 du Code de la défense , « de rechercher et d’exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d’espionnage dirigées contre les intérêts français afin d’en prévenir les conséquences [ 5 ] ». La DGSE est membre de la communauté française de renseignement . Pierre Marion , du 17 juin 1981 au 10 novembre 1982
Commando Hubert Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le commando Hubert est un commando-marine créé en décembre 1947. Il porte le nom du Lieutenant de vaisseau Augustin Hubert, tué au combat le à Ouistreham. Organisation[modifier | modifier le code] Fort de 100 hommes, tous chuteurs opérationnels, le commando Hubert est placé sous le commandement d'un capitaine de corvette. La 1re compagnie est composée d'une cinquantaine de nageurs et se divise en 4 sections (ou escouades) : La section A, cellule de commandement et de contrôle, s'occupe du soutien opérationnel de la compagnie et aligne les équipages des embarcations semi-rigides (15 membres environ).La section B a pour mission le contre-terrorisme maritime. La 2e compagnie sert d'unité d'appui et travaille comme une base arrière. Transmissions.Énergie/propulsion.Commissariat.Entretien.Conduite des navires. Opérations[modifier | modifier le code] Fanion[modifier | modifier le code] Autres commandos[modifier | modifier le code]