Empowerment Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La microfinance constitue une forme d'empowerment financier dans les pays en développement. Ici, une banque d'épargne communautaire au Cambodge. L’empowerment[1] est l'octroi de plus de pouvoir aux individus ou aux groupes pour agir sur les conditions sociales, économiques, politiques ou écologiques qu'ils subissent[2]. Divers équivalents ont été proposés en français : « capacitation », « autonomisation »[3], « responsabilisation », « émancipation » ou « empouvoir»[4],[5]. Le concept est né au début du XXe siècle aux États-Unis dans un contexte de lutte. Origine de la notion en Amérique du Nord[modifier | modifier le code] Selon Bernard Vallerie, on repère la première utilisation du terme empowerment aux États-Unis, au début du XXe siècle. Au Québec, des associations de lutte contre la pauvreté effectuent la promotion de l’empowerment pour alléger le fardeau social et économique de certains milieux en perdition. Empowerment écologique
Le pouvoir aux habitants Inventées de façon expérimentale après les émeutes des Minguettes au début des années 1980, parallèlement à la “Marche des beurs” pour l’égalité, la Politique de la Ville visait à réformer le fonctionnement de l’État et les relations de ce dernier aux collectivités locales. Pour pallier l’urgence d’une nouvelle question sociale, associée à certains quartiers où les populations immigrées et minoritaires étaient concentrées, une action publique d’exception allait être mise en place, mobilisant une approche locale et ascendante, plus participative et transversale. Trente ans plus tard, il est difficile de mesurer l’effet réel de cette politique qui cumule de nombreux dispositifs : l’écart des quartiers prioritaires avec les autres zones urbaines ne se résorbe pas, et parfois même s’accroît. Pour autant, cette vision, très négative, ne prend pas en compte la mobilité de la population de ces quartiers. Pour citer cet article : Cyprien Avenel & Nicolas Duvoux, « Le pouvoir aux habitants ?
Apprentissage, motivation, émotion : comment apprenons-nous Le cerveau est l'objet le plus complexe de l'univers connu, et c'est de sa compréhension que dépendra l'avenir de nos technologies futures et singulièrement l'intelligence artificielle et la robotique. A l'Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l'architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Les sciences de l'esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s'attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. En neurosciences, on va de la recherche sur la vision à celle des fonctions exécutives. Mais finalement, quelle est la vraie question à se poser sur l'esprit humain ? Comment garder l’information importante Commençons par l’apprentissage. Le rôle des émotions
BarCamp Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les participants au premier BarCamp commentent écoutent et suivent sur leurs écrans en simultané. Un BarCamp est une rencontre, une non-conférence (en) ouverte, qui prend la forme d'ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par des participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp. C'est le principe « pas de spectateur », « tous participants ». L'origine et les principes des BarCamps[modifier | modifier le code] Le nom de BarCamp fait allusion à ses origines, par référence à un terme argotique des hackers, le foobar : le BarCamp est né en août 2005 en réponse au Foo Camp, une « non-conférence » annuelle hébergée par le célèbre éditeur d'ouvrages sur les logiciels libres, Tim O'Reilly, mais qui n'est que sur invitation après sélection des participants. Les Barcamps en pratique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
L'empowerment, une pratique émancipatrice L'empowerment, une pratique émancipatrice Marie-Hélène Bacqué, Carole Biewener La Découverte, 2013 Collection Politique et sociétés 176 pp., 16 € Présentation L'empowerment (le « pouvoir d'agir »), a été utilisé par des mouvements sociaux états-uniens dans les années 1970, adopté à la même époque par des féministes défendant de nouvelles pratiques de développement dans les pays du Sud. C'est un livre important pour celles et ceux qui questionnent l'incapacité des politiques et des experts à répondre aux défis de notre époque troublée. Ce concept a connu depuis un succès planétaire dans le monde anglophone. Des mouvements féministes du Nord et du Sud jusqu'aux programmes de la Banque mondiale et de l'ONU, la notion est utilisée aussi bien dans une perspective radicale d'émancipation que pour conforter les visions néolibérales ou social-libérales. Sommaire Introduction. Chapitre 1. Les racines paradoxales de la notion dans les États-Unis des années 1970 Le travail social en débat Chapitre 2.
Développement de la motivation et choix de la méthode pédagogique Il arrive que devant le constat d'un manque apparent de motivation pour les apprentissage chez ses élèves, un enseignant soit conduit à s'interroger sur sa "méthode pédagogique". Comment mener cette interrogation dans des termes qui permettront de dégager des pistes de changement ou de réaffirmer les choix initiaux ? Cinq méthodes pédagogiques principales La méthode pédagogique décrit selon le site Competice de l'Education nationale, qui reprend ici une défiition largement acceptée par les enseignants et les chercheurs en sciences de l'éducation, "le moyen pédagogique adopté par l’enseignant pour favoriser l’apprentissage et atteindre son objectif pédagogique". Méthode expositive, transmissive, passive ou magistraleMéthode démonstrativeMéthode interrogativeMéthode active ou de découverteMéthode expérientielle Rapprocher l'école de la vie, y'a une méthode pour ça ? Arrêtons-nous sur le degré de didactisation des savoirs à construire ou à transmettre. Agir.
Atelier C2 : Organiser un BarCamp sur l'intégration pédagogique des TIC pour la formation à tous les niveaux | Contenus numériques Responsable de l'atelier Patrick Giroux, UQAM et Martine Peters, UQO Participants Jean Bernatchez, UQAR - Denis Lamy, UQTR - Bruno Poulin, UQTR, Rolland Sasseville, UQTR - Jean-François Savard, ENAP, Martine Peters, Patrick Giroux - Dominique Papin, UQ - Mario Asselin, Opossum - Daniel Oliva, ETS - Sébastien Paquet, TELUQ - Céline Poncelin de Raucourt, UQ - Serge Barondeau, UQAM - Jacinthe Tardif, UQAR Que s'est-il dit ? Définition du BarCamp Un BarCamp est une rencontre, une non-conférence ouverte qui prend la forme d'ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp. Intéressés ? Toutes les personnes présentes... personne à convaincre ! Comment faire ? Mettre en place un comité pour organiser un BarCamp sur l'intégration pédagogique des TIC pour la formation à tous les niveaux. Questions Demande CSR pour les déplacements ? Autres propos : Acteurs universitaires ? Tous les intéressés.
L’Empowerment : pouvoir par tous, pouvoir pour tous Suite à la publication du rapport d’Emmanuel Porte intitulé « Des pratiques d’engagement en transformation : enjeux pour l’avenir de l’éducation populaire », l’Injep a organisé, mercredi 11 décembre 2013, à l’Assemblée nationale la seconde édition des Rencontres de l’Observatoire de la Jeunesse. Cette année, elles étaient consacrées aux pratiques non-instituées de l’éducation populaire. Ces rencontres se sont faits en partenariat avec le Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d’éducation populaire (Cnajep), l’association Jets d’Encre, la MJC d’Elbeuf ainsi que le Réseau national des maisons des associations (RNMA). La question du savoir est directement reliée à celle du pouvoir et de l’agir. Une réponse aux limites de la démocratie ? L’affaiblissement de l’offre de participation Dossier sur les rencontres de l’Observatoire de la jeunesse et des politiques de jeunesse 2013 La démocratie d’engagement
le connectivisme – sketchnote Un petit sketchnote sur le connectivisme à partir de lectures d’articles de Siemens et Downes. Je lis ce mot depuis quelques temps, notamment dès qu’il s’agit de moocs, et j’avais fini par croire qu’il s’agissait juste d’inviter les apprenants à se balader et à se faire un parcours dans différentes ressources. Les hypothèses du connectivisme sont en fait assez radicales, et remettent en cause certaines représentations qui nous accompagnent depuis le behaviorisme jusqu’au socio-constructivisme. Dans les dessins et textes qui suivent, je traduis « learning » par « apprentissage ». J’ai bien conscience que ce n’est pas tout à fait la même chose, mais je n’ai pas mieux ! cc by – cliquer pour agrandir – réalisé avec Krita Les choses ont changé A l’origine du connectivisme, un premier constat : les connaissances ont une durée de vie de plus en plus courte. Parallèlement, les apprentissages changent de forme. Un point commun de nos apprentissages est la place qu’y occupe la technologie. J'aime :