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Les effets des pesticides sur l'environnement et la santé

Les effets des pesticides sur l'environnement et la santé

Apprentissage sur les risques des pesticides dans un lycée agricole en France, vidéo Apprentissage sur les risques des pesticides dans un lycée agricole en France, vidéo Economie et société Education et enseignement - Archives vidéos Economie Les moissons du futur, de Marie-Monique Robin L'agriculture sans pesticides, c'est possible. Des preuves? En voici dans le dernier film de Marie-Monique Robin, Les moissons du futur. Celui-ci sera diffusé sur Arte le 16 octobre à 20h40. Voici également la 4ème de couverture de son livre "Les moissons du futur. C’est à cette question que répond ici Marie-Monique Robin, en menant l’enquête sur quatre continents. Du Mexique au Japon, en passant par le Malawi, le Kenya, le Sénégal, les États-Unis ou l’Allemagne, son enquête étonnante montre que l’on peut «faire autrement» pour résoudre la question alimentaire en respectant l’environnement et les ressources naturelles, à condition de revoir drastiquement le système de distribution des aliments et de redonner aux paysans un rôle clé dans cette évolution.'

Agriculture intensive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intensification de l'agriculture moderne a été permise par la mécanisation associée au remembrement et par l'utilisation d'intrants (semences, engrais, pesticides) L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Agriculture et productivité[modifier | modifier le code] En fonction des moyens mobilisés on peut avoir une productivité physique par unité de main-d'œuvre (UTH, pour unité de travail humain) ou une productivité physique par unité physique ou économique exploitée (productivité par hectare de surface agricole, par unité de surface dans un bâtiment d'élevage ou dans une serre, par quantité de capital immobilisé). l'agriculture traditionnelle d'une part,l'agriculture moderne d'autre part. Cas de l'agriculture chinoise[modifier | modifier le code]

Environnement | Mystère du miel bleu : cent ruches contaminées L’impact est énorme vu le nombre de ruches contaminées par des résidus de confiserie, butinés par des abeilles sur le site de méthanisation de Ribeauvillé (DNA d’hier). Le président de la confédération des apiculteurs d’Alsace demande réparation. Edition des abonnés Pour lire l'intégralité de cet article, vous devez être connecté et être abonné. Vous êtes déjà abonné ?

Agriculture, élevage, pêche et industrie L’explosion démographique de la deuxième moitié du 20 ème siècle, de 3 à 6 milliards d’habitants entre 1960 et 1999, a été accompagnée d’une intensification de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de l’industrie. Mais nourrir une population en hausse et lui fournir ses biens matériels a des conséquences fortes sur la nature et sur l’Homme. Agriculture : à la recherche d’un nouveau modèle de performance Le productivisme agricole est né dès le début des années 60. La recherche de productivité a donné naissance à l’agriculture intensive. L’ irrigation est nécessaire à la survie de nombreux pays. La mondialisation de l’agriculture a aussi des conséquences sociales parfois désastreuses. La production d’ OGM (organismes génétiquement modifiés) recouvre 5% des terres arables mondiales. Sur de nombreux critères, le modèle agricole actuel montre ses limites. Elevage : des pays riches trop carnivores Pêche : les stocks se vident La surpêche conduit aussi à d’énormes déséquilibres sociaux .

Jardins familiaux : on ignore tout de la qualité des sols et des légumes De nombreux jardins familiaux sont situés à proximité de l'A35 à Strasbourg (Photo David Rodrigues) Exit le mythe du jardinier urbain qui cultive ses bons légumes bio dans son carré de verdure préservé. Les jardins familiaux strasbourgeois, 5 000 disséminés dans divers quartiers, sont bien souvent en bordure d’autoroute ou à proximité de zones Seveso. Quelles conséquences sur la qualité des légumes cultivés et la santé des jardiniers ? C’est le Graal pour de nombreuses familles modestes, mais aussi pour de plus en plus de trentenaires urbains, désireux de remettre les mains dans la terre. Seulement voilà, ces petits jardins ne sont pas la panacée. Deux études, publiées en 2001 (à lire en bas de page) et 2002, montrent que les polluants sont nombreux, voire dangereux, surtout en bordure des grands axes de circulation. Les usagers préfèrent ne pas trop y penser Miam. « J’avoue que je ne me suis pas renseignée sur la pollution des sols. Encore trois ans de recherches scientifiques

Produit phytosanitaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un produit phytosanitaire (étymologiquement : phyto + sanitaire = « santé des plantes ») est un produit utilisé pour soigner ou prévenir les maladies des organismes végétaux. Par extension on utilise ce mot pour des produits utilisés pour contrôler des plantes, insectes et champignons. Éléments de définition[modifier | modifier le code] Il s'agit d'une substance active ou d'une association de plusieurs substances chimiques ou micro-organismes, d'un liant et éventuellement d'un solvant éventuellement accompagnés d'adjuvants ou d'un tensioactif. L'expression « produits phytosanitaires » est couramment employée dans un sens proche de produit phytopharmaceutique, défini par la réglementation communautaire, ou de produit antiparasite contre les ennemis des cultures défini par la réglementation française, ou encore de pesticide. Les substances actives sont minérales (ex : sulfate de cuivre) ou organiques (ex : carbamates). On parle notamment de :

Un rapport du Sénat dénonce la sous-évaluation des risques liés aux pesticides Les risques des pesticides pour la santé sont sous-évalués. C'est le constat opéré par la mission commune d'information sur les pesticides du Sénat. A la clé, une centaine de recommandations. La mission commune d'information sur les pesticides et leur impact sur la santé, présidée par Sophie Primas (UMP – Yvelines) et dont le rapporteur est Nicole Bonnefoy (Soc. – Charente), a rendu public aujourd'hui son rapport sur les pesticides et la santé. Une certaine "omerta" dans le secteur agricole Que dit ce rapport ? Conçues après la Seconde Guerre mondiale dans une logique productiviste, "les pratiques industrielles, agricoles et commerciales actuelles n'intègrent pas suffisamment la préoccupation de l'innocuité pour la santé du recours aux pesticides", analyse la sénatrice socialiste. Contrôler la validité des AMM au bout de cinq ans La mission préconise également de rendre publiques les études sur la santé, notamment celles précédant une AMM. Améliorer la protection contres les pesticides

Un juge et un critique de Séralini ont servi l’industrie des pesticides Attention, ce qui suit est une interrogation, et elle n’est pas formelle. Je n’accuse personne. Je ne sais rien. Gérard Pascal a longtemps été un homme-clé de notre système de surveillance alimentaire. L’étude ayant été validée par des pairs, et publiée par une revue de haute réputation, à comité de lecture précisément, il me paraît difficile de croire, au plan de la simple logique, qu’elle soit à ce point ridicule. Quand j’ai écrit Pesticides, révélations sur un scandale français (Fayard, 2007) avec mon ami François Veillerette - la bise à tous les trois -, j’ai eu l’occasion d’égratigner Pascal. « La société créée par Serge Michels à son départ de Que Choisir, Entropy, reste à bien des égards une entreprise fascinante. « Regardons un peu mieux le cas Gérard Pascal, personnage clé de la sécurité alimentaire en France. Si vous êtes encore là - sait-on jamais -, vous me direz peut-être : et l’IFN (Institut français pour la nutrition), c’est quoi ? Oh oh ! Un troisième, pour la route :

Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ? - Agriculture Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Photo : source Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Rendre les paysans captifs « Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pourquoi cette redevance ? Sophie Chapelle

De quoi l'agriculture est-elle le nom ? Le point sur le "i" du mot agricole, ou, de quoi l'agriculture est-elle le nom ? Certainement pas d'écologie, même si les plus roublards des paysans, de leurs collectifs marchands et autres réseaux lobbyistes s'ingénient à nous le faire accroire par d'incessantes et tautologiques opérations séduction. De quoi les agriculteurs sont-ils le nom ? Assurément de tout pour leur rendement économique, mais certainement pas de respect pour la Nature et le consommateur. Ces gens, cultivateurs, éleveurs, notoirement connus pour leur brutalité envers les animaux qu’ils exploitent sans vergogne et envoient froidement à l’abattoir, ont de toute évidence toujours été en relations consanguines avec les abominables filières bouchères, semencières, pétrochimiques et agrochimiques. C’est cyniquement qu’ils nous balancent de la viande aux antibiotiques, des fruits et légumes pesticidés. Il n’y a pas un paysan sur cent qui respecte la nature et son travail. Alors, bon appétit ou bonne chance ?

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