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Crédit social

Crédit social
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crédit social est une idéologie économique et un mouvement social qui est apparu au début des années 1920. À l'origine, c'était une théorie économique développée par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Le crédit social est aussi appelé dividende universel, dividende social ou, de façon sans doute plus adaptée, dividende monétaire. Théorie[modifier | modifier le code] C. Le théorème A+B[modifier | modifier le code] Il apparaît alors, lorsque la bulle monétaire s'est mécaniquement effondrée, que la masse des biens produits est très supérieure à la monnaie réelle résultante, provoquant de facto une déflation, et une crise. Pour qu'un tel système soit soutenable, Douglas affirmait qu'une ou plusieurs des situations suivantes devait se produire : La solution du crédit social[modifier | modifier le code] Les idées de Douglas jouissent d'une grande popularité au cours de la Grande Dépression, mais pas assez toutefois pour réaliser son plan.

Revenu minimum Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu minimum est un niveau minimal de revenu que les États décident de garantir à tous leurs citoyens. En pratique, l'État complète les revenus des individus jusqu'à atteindre ce seuil. Les étrangers en situation irrégulière ne sont pas concernés (en France en tout cas). Différence avec le revenu de base[modifier | modifier le code] Le revenu de base (ou allocation universelle) est un cas spécifique de revenu minimum. Selon les pays[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] En France, le revenu minimum s'appelle RSA. Au Québec[modifier | modifier le code] Au Québec, l'équivalent du RMI est l'aide sociale. En Belgique[modifier | modifier le code] 1974 : loi sur le minimum de moyen d'existence (loi Minimex)Loi du 26 mai 2002 : droit à l'intégration sociale (DIS) Le revenu d'intégration est une des formes du DIS. Dans les autres pays[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Retour sur l'île Nous voici sur notre île où nous observons au moment de notre arrivée, une économie relativement stable constituée par une masse monétaire de 1100, dont 100 sont "investis" dans la création d’un système bancaire à effet de levier. La règle imposée à la Banque est simple, sous réserve de conserver 100, et d’avoir 1000 en dépôt (ce qui par ailleurs est une obligation pour la monnaie de l’île, parce qu’il est obligatoire d’avoir un compte en Banque), la Banque peut créer un crédit de 1000. Nos pieds nickelés Banquiers bien malins, forts de cet avantage monopolistique conféré à la monnaie officielle de l’île, et de ces règles accordées via un accord avec le gouvernement de l’île (et non expliqué aux citoyens qui de toute façon ne comprendraient pas l’économie, c’est bien trop complexe), proposent alors à l’Etat de lui prêter 1000 de monnaie à un taux d’ami, disons 5%/an, et pour faire simple sur 20 ans. Voici l’évolution de la masse monétaire dans ce premier cas :

Revenu citoyen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4]. Le revenu de base a été expérimenté notamment au Canada, en Inde ou en Namibie. Montant[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code]

Le B-A-BA de la création monétaire « Non, c’est faux, je parlais de »monnaie initiale« , pas de »monnaie réelle« . Arrêtez de me faire dire ce que je n’écris pas. » La monnaie créée par les établissements de crédit (pour vous faire plaisir) est une monnaie virtuelle, temporaire, amenée à disparaitre via le remboursement du crédit qui, de facto, détruit la monnaie créée par son existence. Votre calcul, s’il était juste, donnerait donc la quantité de monnaie non virtuelle, soit réelle, ou si vous le voulez initiale. Passons sur le fait que cette monnaie initiale soit inférieure aux fonds propres des banques européennes : elles ont surement dû emprunter à des banques qui n’existaient pas encore pour disposer de ces fonds propres... « Soit ces »OAT« sont dans les crédits, et j’imagine que ce sont des crédits » C’est parce que vous mélangez la notion anglosaxon credit et la notion « crédit d’un établissement de crédit ». Ce faisant, vous conviendrez qu’il n’y a pas de création de nouvelle monnaie, non ? Mince alors.

Basic income guarantee An unconditional basic income (also called basic income, basic income guarantee, universal basic income, universal demogrant,[1] or citizen’s income) is a proposed system[2] of social security in which all citizens or residents of a country regularly receive an unconditional sum of money, either from a government or some other public institution, in addition to any income received from elsewhere. A basic income is typically intended to be only enough for a person to survive on, so as to encourage people to engage in economic activity. A basic income of any amount less than the social minimum is sometimes referred to as a 'partial basic income'. On the other hand, it should be high enough so as to facilitate any socially useful activity someone could not afford to engage in if dependent on working for money to earn a living.[citation needed] Basic income systems financed on returns to publicly owned enterprises are major components in many proposals for market socialism. Properties[edit]

La Bourse est-elle la Vie ? Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse… et elle cassera cette cruche ! Tant que nous ne ferons que du « Kapitalisme », et non réellement de l’économie, qui plus est un « Kapitalisme » essentiellement financier : rien ne s’arrangera ! De l’utilité à l’utilitarisme, et utilitarisme oblige, la micro-économie a eu raison de la macro-économie ! C’est ainsi qu’il n’y a plus de théorie économique, qu’il n’y a que des pratiques systémiques qui quand elles ne s’ignorent pas se combattent les unes les autres ! Y a-t-il, notamment en économie, des gens encore capables de raisonner « fondamentalement » ? A l’évidence Il semblerait que non ! Positivisme oblige, le « comment sans le pourquoi », incapable de poser fondamentalement les problèmes, pris dans l’action sans réelle réflexion, inv capable de poser les problèmes dans leur complexité, nous ne faisons qu’ajouter des conséquences à des conséquences et forcément des problèmes à des problèmes.

Que cache le "revenu citoyen" de Dominique de Villepin ? - KillianSurf sur LePost.fr Dominique de Villepin enchaîne les interviews et pose les jalons de sa campagne pour les présidentielles de 2012. Le produit d'appel, qui fait son bien dangereux petit effet, le revenu citoyen fait penser au revenu d'existence... mais il n'en est rien. Le réel revenu d'existence Suffisant (se loger, se nourrir,...)Cumulable (non dégressif et certainement pas plafonné)Inconditionnel (sans contrepartie au sens d'un droit)Universel (de la naissance à la mort) Découvrir les mécanismes du réel revenu d'existence par un film de 1h36 : VIDEO Qu'est ce que le revenu citoyen de Monsieur de Villepin a de commun avec le réel revenu d'existence ? Absolument rien ! Certains supposent une mesure de gauche par un homme de droite, encore une fois... il n'en est rien. Il est d’autant plus dommageable aux partis de gauche l’absence de communication massive sur ce modèle durant les 10 dernières années qui leur aurait permis de se positionner fortement en rupture et de préserver les citoyens français. Le montant

Dominique de Villepin: “Ich schlage die Schaffung eines Bürgereinkommens vor.” Dominique de Villepin, französischer Ex-Premierminister auf dem Ticket des konservativen Parteibündnisses Union pour un mouvement populaire und jetzt Präsident der von ihm im Juni 2010 neu gegründeten Partei République Solidaire, veröffentlichte in der französischen linksliberalen Tageszeitung Libération vom 1. März 2011 einen Vorschlag für ein Bürgereinkommen unterbreitet (der Artikel als pdf-Dokument auch hier und hier). Villepin begründet den Vorschlag so: „Jahrhundertelang hat die Menschheit kein anderes Ziel gehabt, als das eigene Überleben zu sichern. Die industrielle Revolution hat das innerhalb von zwei Jahrhunderten geändert. Täglich erfahren wir die einfache Wahrheit: Es gibt Überfluss, aber nicht für alle. In einem Interview sagt Villepin zu seinem Vorschlag: „Ich schlage die Einführung eines Bürgereinkommens vor für alle Menschen, die in finanziellen Schwierigkeiten bzw. unter der Armutsschwelle leben. Literatur: Baumann, Zygmunt: Die Krise der Politik. Beitrag bewerten:

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