Liste des organismes certificateurs | ministère du Travail publié le23.09.19 mise à jour29.01.24 La loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel a prévu dans son article 6 une obligation de certification, par un organisme tiers, des organismes réalisant des actions concourant au développement des compétences sur la base d’un référentiel national unique, s’ils veulent bénéficier de fonds publics ou mutualisés. Les prestataires d’actions concourant au développement des compétences choisissent librement leur organisme certificateur. Le ministère du Travail diffuse la liste des organismes certificateurs (L. 6316-2 et R. 6316-3) accrédités ou autorisés par le Comité français d’accréditation (Cofrac) à démarrer les activités de certification de ces prestataires d’actions concourant au développement des compétences sur la base du référentiel national de certification qualité (D. 6316-1-1). Lien permanent pour les accrédités Qualiopi : :/fr/easysearch/resultats_advanced.php?list-45162924
Devenir organisme de formation agréé par l’état : Comment créer et déclarer son activité de formateur Comment créer et déclarer son organisme de formation ? Comment devenir formateur indépendant ? Il y a quelques années de cela, il était très facile d’obtenir un numéro de formateur. Il semblerait que les pouvoirs publics aient voulu « faire le ménage » et écarter les charlatans abusant du système de financement des formations, manne financière supposée être facile à atteindre pour certaines personnes sans scrupule. Des règles plus contraignantes encadrent aujourd’hui la profession de formateur : désormais, toute activité de formation est dispensée par un organisme de formation, c’est-à-dire une entreprise détenant un numéro de déclaration d’activité, que le formateur soit indépendant, autoentrepreneur, salarié, ou fondateur d’une entreprise dispensant des formations professionnelles. Éclairages : AppliRH Editeur de logiciels pour la formation professionnelle Prezevent Solutions de gestion de vos événements professionnels Améliorez votre business avec un chatbot conversationnel Cirrus Shield
RDV banque pour création d'entreprise : 5 choses à ne pas faire ! Quelles sont les erreurs à ne pas commettre face à un banquier ou lors d’un RDV banque ? Comment bien négocier l’obtention d’un prêt professionnel ou d’un prêt de création d’entreprise ? Quels sont les critères sur lesquels le porteur de projet est jugé ? Il n’est pas toujours facile de convaincre son banquier de financer son projet d’entreprise. Voici les 5 erreurs ou pièges à éviter absolument lors d’un RDV banque ! ERREUR n°1 : prendre un RDV banque trop vite. Connaissez-vous cette expression ? ERREUR n°2 : arriver les mains vides. Pour prouver votre crédibilité et votre sérieux, il est préférable de se présenter à un RDV banque muni : ERREUR n°3 : ne pas s’entrainer à présenter son projet. Il est important de faire une présentation claire et synthétique de votre projet, avant de rentrer dans les détails. Préparez votre RDV banque et votre présentation orale en retenant bien le plan de votre argumentaire. ERREUR n°4 : ne pas s’attacher aux détails. Vous pouvez noter cet article !
Contrôle des acteurs de la formation professionnelle publié le20.09.19 mise à jour15.04.21 L’État exerce un contrôle administratif et financier sur les contributions versées par les employeurs aux organismes gestionnaires des fonds de la formation au titre de leur participation obligatoire au développement de la formation professionnelle, ainsi que sur l’exécution des actions de formation financées par ces contributions. Le contrôle porte également sur les activités conduites en matière de formation professionnelle par les opérateurs de compétences, les Fonds d’assurance formation de non-salariés, les organismes de formation et leurs sous-traitants, les organismes chargés de réaliser des bilans de compétences, les organismes qui interviennent dans le déroulement des actions destinées à la validation des acquis de l’expérience (VAE) ainsi que sur les activités d’accueil, d’information, d’orientation et d’évaluation en matière de formation professionnelle continue (articles L. 6361-1 et L. 6361-2 du Code du travail).
Créer son organisme de formation : choisir le bon statut juridique - Digiforma Créer son organisme de formation : choisir le bon statut juridique C’est décidé, vous créez votre organisme de formation professionnelle ! Première étape, la déclaration de votre activité auprès de l’URSSAF. L’activité de formation professionnelle est extrêmement réglementée et c’est auprès de la Direccte qu’il faut faire toutes les démarches liées à la qualité et la reconnaissance de votre activité de formateur. Pour le reste, en revanche, un organisme de formation est une entreprise comme les autres. Plusieurs statuts juridiques sont envisageables lorsqu’on crée son organisme de formation et ils présentent chacun avantages et inconvénients. Je suis un formateur seul. Vous êtes formateur indépendant et souhaitez créer un organisme de formation qui vous ressemble. La micro-entreprise Il s’agit là du nouveau nom de l’auto-entreprise et une chose est sûre, la micro-entreprise a le vent en poupe ! L’entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL)
Charges fixes et variables : comment les différencier ? Quelle est la différence entre charges fixes et charges variables ? Comment différencier les charges fixes et variables d’une entreprise ? Quels sont les principaux types de charges concernés ? Les charges fixes et variables ont une importance majeure dans le calcul de la rentabilité d’une entreprise. Voir notre article sur le calcul du seuil de rentabilité. Définition charges fixes : ce sont les charges qui pèsent sur l’entreprise de manière récurrente, quelque soit son niveau d’activité ou ses variations de chiffre d’affaires. Définition charges variables : ce sont les charges qui sont liées au niveau d’activité et donc au niveau de chiffre d’affaires. Voici une liste de charges fixes (non exhaustive) : La liste des charges variables : Les charges variables sont liées au niveau d’activité ou à la production. Certaines charges fixes se révèlent variables, que faire ? Attention toutefois à la dérive qui consisterait à réintégrer la plupart des charges fixes dans la partie variable !
Salariés ou demandeurs d’emploi : financer sa formation, mode d’emploi Compte personnel de formation, congé individuel de formation, VAE, période de professionnalisation... Tour d’horizon des différentes options. Pour financer sa formation, le salarié dispose de cinq possibilités, dont le compte personnel de formation (CPF) est aujourd’hui le plus efficace. Les demandeurs d’emploi, quant à eux, disposent d’un système spécifique. Dans tous les cas, le processus reste complexe. « C’est pourquoi il faut se faire épauler en utilisant le conseil gratuit en évolution professionnelle et additionner les différentes sources pour boucler son budget », conseille Thierry Cormier, directeur du Fongecif Bretagne. Lire aussi : Formation continue : comment convaincre son employeur de financer ? Le CPF concerne tous les salariés et aidera cette année quelque 250 000 bénéficiaires. Le congé individuel de formation (CIF) profite à près de 40 000 personnes par an. Lire aussi : La validation des acquis de l’expérience (VAE), véritable parcours du combattant
Le guide 2020 des Organismes de Formation (OF) - Digiforma Le marché de la formation professionnelle en France en 2022 L’Etat, Pôle Emploi, les régions, les OPCA, OPACIF, organismes de formation, centres de formation, et entreprises sont les principaux acteurs du marché de la formation professionnelle en France. Depuis la réforme du 5 mars 2014, les actifs disposent d’un compte personnel (CFP) abondé en nombre d’heures et mobilisable tout au long de leur vie active. Le marché de la formation professionnelle compte environ 87 000 organismes de formation privés et publics qui réalisent un chiffre d’affaires de 15 milliards d’euros. Depuis la loi « Avenir professionnel » promulguée en septembre 2018, le rôle des organismes paritaires collecteurs agrées (OPCA) s’est considérablement modifiés. Le décret qualité et le Datadock Le décret du 30 juin 2015 a défini 6 critères de qualité d’une formation professionnelle et a modifié en profondeur les rôles des financeurs de la formation (OPCA, OPACIF, Régions, Pole Emploi, État et Agefiph).
Seuil de rentabilité, point mort : formule de calcul Comment calculer simplement son seuil de rentabilité ? Qu’est-ce que le point mort ? Définition : Le seuil de rentabilité est le niveau de chiffre d’affaires qui permet d’atteindre l’équilibre financier ou « point mort ». Le seuil de rentabilité se calcule pour une période donnée, par exemple un mois ou une année. Pour calculer le seuil de rentabilité ou point mort, il est nécessaire de connaître : Le montant des charges fixes,Le taux de marge global de l’activité, qui dépend lui-même des prix de vente pratiqués et des charges variables. Voir notre article sur la différence entre charges fixes et variables. Voir notre article sur le taux de marge et le calcul de la marge. La méthode de calcul du seuil de rentabilité : Le seuil de rentabilité peut s’obtenir par déduction, comme suit : Lister et faire la somme des charges fixes mensuelles. Formule de calcul du seuil de rentabilité : La formule la plus simple consiste à utiliser le taux de marque. Calcul de seuil de rentabilité sur Excel :
Formation professionnelle : principe généraux publié le28.01.19 mise à jour29.01.24 La formation professionnelle est un outil majeur à la disposition de tous les actifs : salariés, indépendants, chefs d’entreprise ou demandeurs d’emploi. Elle permet de se former tout au long de son parcours professionnel, pour développer ses compétences et accéder à l’emploi, se maintenir dans l’emploi ou encore changer d’emploi. La loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel a profondément changé le paysage de la formation professionnelle. Cette nouvelle ambition se caractérise par l’actualisation de certains dispositifs existants, comme le compte personnel de formation (CPF), mais aussi par la création de nouveaux dispositifs, tel que celui dédié à la reconversion et promotion par l’alternance appelé (PRO-A), qui remplace les périodes de professionnalisation et s’insère dans un contexte de fortes mutations du marché du travail. Par ailleurs, une place prépondérante est donnée à l’apprentissage. 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3.