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Quelle est l'empreinte environnementale du numérique mondial

Quelle est l'empreinte environnementale du numérique mondial
Alors que le numérique envahit notre quotidien, les impacts environnementaux associés ne cessent de croître. Mais dans quelles proportions ? Quelle est précisément notre empreinte numérique ? De quoi est-elle constituée ? Et quelle est sa dynamique ? C’est pour répondre à ces questions et proposer des solutions concrètes que GreenIT.fr vient de publier l’étude « Empreinte environnementale du numérique mondial ». Réalisée par GreenIT.fr avec le soutien de contributeurs et de l’Institut du numérique responsable, cette étude porte sur l’empreinte environnementale du numérique mondial et son évolution de 2010 à 2025. Empreinte du numérique mondial en 2019 Evolution de 2010 à 2025 La taille de l’univers numérique va tripler à quintupler (selon l’indicateur observé : masse, nombre d’équipements, d’utilisateurs, etc.) et ses impacts environnementaux vont doubler à tripler (selon l’indicateur environnemental observé).« Empreinte environnementale du numérique mondial », GreenIT.fr, Frédéric Bordage

https://www.greenit.fr/2019/10/22/12982/

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L’électricité n’est pas un indicateur environnemental Cet article a été écrit avec la contribution de Julie Orgelet, experte en analyse du cycle de vie chez DDemain. En ce début de 21ième siècle, l’humanité doit faire face à des crises environnementales majeures telles que le dérèglement des climats, l’écroulement de la biodiversité, l’épuisement des ressources abiotiques, etc. Pour trouver des solutions concrètes et efficaces, il faut étudier la situation avec des indicateurs pertinents, c’est-à-dire qui témoignent effectivement d’impacts environnementaux. Or, depuis des années, l’électricité et l’énergie se sont imposées, dans certaines « études » et dans un grand nombre d’articles, comme des indicateurs de référence pour témoigner des impacts environnementaux du numérique. Le problème, c’est que l’électricité n’est pas, et ne sera jamais, un indicateur environnemental. Explications

Le train pollue inutilement à cause de la pub des e-billets Si vous n’en avez pas l’habitude, voici ce à quoi ressemble une confirmation « e-billet », la preuve d’achat d’un billet électronique envoyée par SNCF. On y trouve assez logiquement : un récapitulatif du voyage ;un QRcode qui permet au contrôleur de valider le billet (et de passer les insupportables et dangereux portiques) ;le prix (en tout petit dans une case en haut à droite qu’aucun‧e comptable ne voit jamais) ;…et une publicité pour une location de voiture 🙃 Le dernier point vous surprend ?

Empreinte environnementale du numérique mondial English version Réalisée par GreenIT.fr , dans le cadre de ses travaux sur le numérique responsable et la sobriété numérique, entre décembre 2018 et juillet 2019, cette étude porte sur les impacts environnementaux du numérique mondial et leur évolution de 2010 à 2025. Elle s’appuie sur une méthodologie d’Analyse du Cycle de Vie (ACV) de type screening. Fiche détaillée Etude : Empreinte environnementale du numérique mondial Date de publication : octobre 2019 Première édition : mai 2015 Auteur principal : Frédéric Bordage, GreenIT.fr Contributrices et contributeurs : Fabien Abrikh, Camille Aiguinier, Annaïg Antoine, Céline Berthaut, Jérémy Chatard, Sébastien Delorme, Philippe Derouette, Hugues Ferreboeuf, Bertrand Keller, Julie Orgelet, Nicole Paul, Dominique de Prémorel, Sébastien Solère, Geneviève Van Diest, Olivier VergeynstPérimètre : mondeAnnées considérées : 2010 à 2025Type d’étude : Analyse du Cycle de Vie (ACV) simplifiée Avec le soutien de l’Institut du numérique responsable (INR)

Cinq réflexes à adopter pour réduire sa pollution numérique Les 34 milliards de smartphones, ordinateurs, consoles de jeu et téléviseurs que compte la planète occupent par leur nombre une place centrale dans l’impact sur l’environnement dû à l’utilisation de l’informatique et la navigation sur Internet. Leur coût écologique dépasse même celui des data centers, ces entrepôts de serveurs dans lesquels est stocké l’ensemble des données mises en ligne sur Internet, souvent désignés comme la face cachée polluante du numérique. Quelques bons réflexes d’usage de ces appareils permettent d’en réduire la consommation énergétique. Lire : Les centres de données informatiques avalent des quantités croissantes d'énergie Entretenir ses appareils et les garder le plus longtemps possible

La low-tech : un outil de résilience pour l’humanité Dans un monde fini tel que le nôtre, comment peut on encore croire que l’univers numérique va continuer son expansion dans sa forme et à son rythme actuels ? Les ressources pour fabriquer nos doudous numériques commencent déjà à manquer. Dit autrement, le numérique, tel qu’il existe aujourd’hui, est en voie d’extinction. Et il accélère notre perte. Low Tech : comment faire plus et mieux avec moins ? Dans le cadre de la coalition #sauverleprésent qui, réunit une fois par mois plusieurs médias, France Culture, Le Parisien, la revue Usbek & Rica, et nouvellement arrivé dans l’équipe, Science & Vie Junior, nous avons choisi de questionner cet univers des Low Tech. La société dite 'High Tech' a longtemps cru qu'elle pouvait s'appuyer sur la capacité des technologies pour répondre à nos besoins et à nos envies. Mais la planète, elle, dit "stop" et n'a pas de sœur jumelle pour assouvir nos demandes. Aussi, face à l'urgence et à l'augmentation de la population mondiale, des solutions se font jour, des initiatives émergent et viennent s'agréger derrière un nouveau logo : les "Low Tech". Leur slogan "Faire plus et mieux avec moins" est-il le reflet d'une société rêvée en devenir ou bien l'annonce d'un monde "rabat-joie" qui réclame de renoncer à la surconsommation et à ses dérives ?

Digital for the planet Basée sur des algorithmes, à la fois open-source et développés en interne, notre technologie est développée par une société internationale de développeurs durables, de UX designers et de data scientists.. Nous sommes régulièrement conseillés par les experts les plus brillants en technologie deep learning. Nous travaillons avec des géants des ICT pour tirer parti de leurs sources de données open-source.

Sobriété numérique : les clés pour agir Smartphones, ordinateurs, tablettes, consoles de jeux, GPS ont envahi notre quotidien. Chaque jour, nous les utilisons pour nous connecter à internet, regarder la télévision, communiquer sur les réseaux sociaux, partager des photos, acheter un billet de train… Cet univers numérique grossit à une vitesse prodigieuse. Nous sommes plus de 4 milliards à nous connecter, et la quantité comme le poids des données échangées ne cessent de croître : les 70 Ko qui ont permis d’aller sur la Lune en 1969 suffisent désormais à peine à envoyer un e-mail ! Cette boulimie a un coût environnemental considérable. L’empreinte écologique de l’univers numérique représente déjà un 7e continent.

Référentiel Général d'Amélioration de l'Accessibilité Les services publics numériques et certains services privés ont l’obligation d’être accessibles de façon équivalente à tout citoyen, qu’il soit ou non en situation de handicap (visuel, auditif, moteur, trouble dys…). Un service numérique accessible est plus facile à utiliser pour les personnes handicapées et de meilleure qualité pour tous. Pour faciliter la mise en œuvre de l’accessibilité numérique, la DINUM édite depuis 2009 le référentiel général d’amélioration de l’accessibilité – RGAA, créé pour mettre en œuvre l’article 47 de la loi handicap de 2005 et son décret d’application actualisé en 2019. Il fait régulièrement l’objet de nouvelles versions et mises à jour pour s’adapter aux évolutions du Web mais aussi aux changements de normes et réglementations.

- Reconnaître les arbres : deux clés de détermination papier Illustration © ONF Pas de mystère, le camp des résineux est celui du sapin et de ses cousins. On les appelle aussi conifères parce qu'ils portent des cônes. Ce sont les fameuses pommes de pin notamment, formées d'écailles ligneuses et renfermant les graines. Contrairement aux feuillus, les résineux ont des feuilles sous forme d'aiguilles qu'ils conservent toute l'année, on parle alors de feuillage persistant.

Quelle résilience des médias numériques face à l’urgence climatique ? Par Diana Liu, France Télévisions, MediaLab Dans un contexte de crise climatique, la survie des médias sera en partie déterminée par leur capacité à développer une « résilience climatique ». Mais que veut dire « résilience » pour les médias numériques ?

Pour une low-tech numérique Dans deux précédents articles, nous avons établi que le numérique est une ressource critique, non renouvelable et qui sera épuisée dans une génération. Compte tenu de cette tension, il est urgent de lui trouver une alternative pour permettre à l’humanité de continuer à transmettre sa connaissance de génération en génération et à s’organiser en communiquant. Deux clés indispensables pour assurer notre résilience. Plus les années passent et plus il apparaît évident que la low-tech est la seule voie possible pour construire la base de notre avenir numérique. Outils collaboratif en ligne libres et éthiques, modèles économiques [Labomedia Ressources] Outils collaboratifs Mailing list groupe de discussion Liste de diffusion (pour envoi 1 expéditeur > plein de destinataires) Des outils libres d'organisation, de communication et d’échange

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