Le daguerréotype L’invention de la photographie Le 19 août 1839, lors d’une séance officielle à l’Institut de France, Louis-Jacques-Mandé Daguerre (1787-1851), décorateur de théâtre parisien, divulgua le premier procédé photographique qu’il était parvenu à mettre au point en tirant parti des recherches de son associé, Nicéphore Niépce. Surnommé « daguerréotype », ce procédé consistait à fixer l’image positive obtenue dans la camera oscura sur une plaque de cuivre enduite d’une émulsion d’argent et développée aux vapeurs d’iode. Permettant d’obtenir pour la première fois une reproduction directe et précise de la réalité, cette invention fut immédiatement saluée par l’ensemble de la communauté scientifique et franchit les frontières dès septembre 1839, rencontrant un grand succès à l’étranger. En France, l’impact du procédé fut tel que l’État décida en cette même année 1839 d’acheter le brevet pour le verser dans le domaine public. Les multiples usages du daguerréotype Le daguerréotype, miroir de la nature
Le daguerréotype Contexte historique L’invention de la photographie Le 19 août 1839, lors d’une séance officielle à l’Institut de France, Louis-Jacques-Mandé Daguerre (1787-1851), décorateur de théâtre parisien, divulgua le premier procédé photographique qu’il était parvenu à mettre au point en tirant parti des recherches de son associé, Nicéphore Niépce. Surnommé « daguerréotype », ce procédé consistait à fixer l’image positive obtenue dans la camera oscura sur une plaque de cuivre enduite d’une émulsion d’argent et développée aux vapeurs d’iode. Permettant d’obtenir pour la première fois une reproduction directe et précise de la réalité, cette invention fut immédiatement saluée par l’ensemble de la communauté scientifique et franchit les frontières dès septembre 1839, rencontrant un grand succès à l’étranger. En France, l’impact du procédé fut tel que l’État décida en cette même année 1839 d’acheter le brevet pour le verser dans le domaine public. Analyse des images Les multiples usages du daguerréotype
Réalisation d'un thaumatrope | Au coeur de la science ! Ce qu'il te faut... - Carton fin - Feuille A4 - Crayons de couleur - Compas - Elastique (x2) Ce que tu vas découvrir... - En savoir un peu plus sur la vision - Découvrir ce qu'est la persistance rétinienne - Découvrir que l'œil ne voit pas en continu Déroulement de l'activité 1- Avec ton compas, dessine un cercle d'environ 10cm sur le carton, ainsi que deux autres cercles identiques sur du papier. 2- Découpe les trois cercles : un en carton -ce sera le support- et deux en papier 3- Dessine sur un des disques en papier la première partie de ton dessin. Dans notre exemple, nous dessinerons Jack. 4- Dessine sur l’autre disque en papier l’autre partie de ton dessin. Dans notre exemple, nous dessinerons une Citrouille. Les deux faces de notre thaumatrope 5- Colle les disques en papier sur chaque face du cercle en carton Attention à les coller dans le bon sens ! 6- Avec la pointe du compas perce deux trous de chaque coté du disque. 7- Passe un élastique dans chacun des trous et fixe les bien. Comment ça marche ?
Germaine Krull, amazone de l’avant-garde photographique française Elle effectue bientôt des reportages dans toute la France et publie plusieurs ouvrages, La Route Paris-Biarritz, Les Ballets de Monte-Carlo ou Marseille. Germaine Krull innove ici encore par sa publication prolifique de livres photographiques, accordant une place centrale à l’image et dont elle est l'unique auteur. La nationalité néerlandaise qu’elle avait obtenue grâce à son mariage avec Joris Ivens lui permet de ne pas être inquiétée pendant la guerre. Le succès de Germaine Krull comme symbole de la modernité photographique ne dure finalement que quelques années, entre les années 20 et 30. Pour en savoir plus : Bouqueret, Christian, Germaine Krull : Photographie 1924-1936 (Arles : Musées d’Arles, 1988) Bouqueret, Christian, Des Années Folles Aux Années Noires: La Nouvelle Vision Photographique En France 1920-1940 (Paris: Marval, 1997) Frizot, Michel, de Veigy, Cedric, Vu : le Magazine Photographique, 1928-1940 (Paris: Éditions de la Martinière, 2009)
La télévision - Histoire et Invention Offre spéciale de notre partenaire L'invention de la Télévision est l'aboutissement d'un long cheminement de découvertes et d'inventions faites dès la fin du XIXe siècle. Le 26 janvier 1926 voit la première diffusion publique d'images télévisées par l'Écossais John Logie Baird. Confidentielle et longtemps en noir et blanc, le poste de télévision connait ensuite un developpement fulgurant à partir des années 1950, gagnant la couleur et s'invitant dans la plupart des foyers. Invention de la télévision Parmi les précurseurs de la télévision, on peut citer Willoughby Smith, qui montra la photoconductivité du sélénium en 1873. A la suite de la démonstration publique faite par Baird en 1926, l'Américain d'origine russe Vladimir Zworykin dévoile son kinescope où l'écran du tube cathodique devient le petit écran du téléviseur. Histoire de la télévision À la charnière des années 1960-1970, l’histoire de la télévision s’accélère. La TV à l'heure du numérique Pour aller plus loin Pour aller plus loin
» Format / ratio En premier lieu, je vous recommande la lecture du chapitre « format » du module Image Cinéma, l’un des 3 modules d’analyse filmique conçus à l’origine pour la licence professionnelle Cian, mais utiles pour tous ceux qui s’intéressent à cette matière. Le terme « format » est polysémique; attention donc de bien préciser de quoi exactement vous parlez. En effet, on emploie aussi ce terme pour désigner les différents supports d’enregistrement et de diffusion : Il faudrait d’ailleurs ajouter au document précédent des informations relatives aux formats numériques, qui sont maintenant les plus utilisés (voir le cours sur le cinéma numérique). Revenons à la polysémie du mot format. Trois principaux types de ratio coexistent au cinéma actuellement, le 2.35 (on dit aussi 2.39, ou 2.40, mais je m’en tiendrai au 2.35, utilisé aussi sur le site de référence imdb.com), le 1.85 et le 1.37 : Il y a, bien sûr, une histoire des formats, mais ce n’est pas le propos de ce cours. Une anecdote pour terminer.
Histoire du son au cinéma Edison invente le phonographe en 1877, puis le kinetoscope en 1891 qui permet de voir des films courts à travers un œilleton. Le rêve d'Edison de coupler les deux appareils est réalisé par un de ses employés, W.K.L. Dickson, dès 1895. Mais, dans les salles, le son tarde à se généraliser. Avant d'entendre une bande-son enregistrée avec l'image, les sons au cinéma sont d'abord ceux du public, d'un conférencier, d'un musicien, d'un phonographe ou ceux de l'extérieur de la tente du forain. Plus tard on entend les sons produits par les premiers systèmes de synchronisation, puis les grands orchestres des salles de prestige. Textes : Martin Barnier, professeur des universités en études cinématographiques. Bibliographie : cf. la première entrée de la frise en plein écran
IEC - FILM FORMATS - PAGE 1 35mm | 4-perf | 3-perf | 2-perf Page 1: 35mm | 4-perf | 3-perf | 2-perf Page 2: 8mm | 16mm | CinemaScope | Cinerama IMAX | MGM Camera 65 | Panavision Page 3: Scope | Showscan | Super 8 | Super 16 Super 35 | Superscope | Technirama Techniscope | Technovision Page 4: Todd-AO | VistaVision | Widescreen 35mm: 4-perf, 3-perf & 2-perf In 1889, celluloid-based transparent, flexible 35mm film was invented by the Rev. The first decade of motion picture production saw a mixed bag of film formats and sprocket holes and hardly any standardization. See also: Wikipedia [List of Film Formats] 4-perf becomes standard In 1907, a voluntary agreement was reached, which became known as the Motion Picture Patents Agreement of 1907. 35mm and certain other specifications were defined as a standard motion picture film: 35mm in width, 4 perforations along both sides of each frame [4:3 or 1.33:1] and a film speed of circa 16 frames per second. > Camera Speed > Sound > From nitrate to safety base > Negative pulldown 3-perf
Bretagne et cinéma - Cinémathèque de Bretagne Depuis plus de 100 ans... La Bretagne et le cinéma, c'est quelques 250 œuvres de fiction tournées en Bretagne pendant ce premier siècle du cinéma. André Antoine, Marcel L'Herbier, Henry Diamant-Berger, Jean Epstein, Jean Grémillon,Claude Chabrol, Raoul Walsh, Christian-Jaque, Richard Fleischer, Iradj Azimi, Roman Polanski, René Vautier, Jean Becker et bien d'autres sont venus et revenus pour le paysage, la lumière, les décors, l'imaginaire de notre région. Ces films peuvent êtres regroupés selon différents thèmes d'inspiration, reflets de leur époque de tournage ou de sensibilités différentes. Des thèmes oniriques : la Bretagne mystérieuse, La Bretagne des châteaux, la Bretagne Balnéaire. Des thèmes de réflexion : La Bretagne historique, La Bretagne en lutte, des "bécassineries". Cette exposition a été réalisée en 1995 à l’occasion du premier siècle du cinéma, par les organismes suivants : ARC, Cinémathèque de Bretagne, Côte Ouest et Daoulagad Breizh.
La première séance publique de cinéma En passant aujourd’hui devant le 14, boulevard des Capucines (9e arrondissement), on remarque uniquement le très luxueux Hôtel Scribe, noyé dans le tumulte permanent des Grands Boulevards parisiens. Si vous regardez de plus près, vous remarquerez pourtant une plaque commémorative au niveau de l’entrée des restaurants et salons de l’Hôtel : « Ici le 28 décembre 1895 eurent lieu les premières projections publiques de photographie animée à l’aide du cinématographe, appareil inventé par les Frères Lumière ». Alors que le première photographie d’un être humain fut prise à Paris, c’est également dans la capitale qu’eut lieu la première séance publique de cinéma. Paris, un lien éternel avec l’histoire de l’art ! À l’emplacement de l’hôtel Scribe actuel se trouvait en effet au 19e siècle Le Grand Café, dont les sous-sol ont été utilisés le 28 décembre 1895 par Auguste et Louis Lumière pour présenter au public leur invention : le cinématographe. La presse est conviée, mais ne viendra pas. 1. 2. 3.
Histoire du cinéma muet Les tendances dans quelques pays Le cinéma occupe désormais une place majeure. Dans les grandes villes, on construit des salles de plusieurs milliers de places, véritables palais dédiés à cet art. En Allemagne, l’expressionnismeAu cinéma, ce courant artistique se caractérise par des scènes nocturnes, des effets de contraste ombre/lumière très marqués et des perspectives déformées, une esthétique qui sera reprise dans le film « noir » américain et dans de nombreux films d’épouvante., déjà présent en peinture et en littérature, trouve dans le cinéma en noir et blanc et muet un champ d’action particulièrement approprié qui donne une forme originale aux premières œuvres de grands réalisateurs : Murnau, Pabst et surtout, Fritz LangFigure incontournable du cinéma muet dans les années 1920, Fritz Lang n’en sera pas moins le premier à expérimenter, dès 1933, toutes les possibilités offertes par la présence de la bande-son, dans son film M le maudit., dont le succès commercial est considérable.
Le Top 100 cinéma de la Rédaction d'AlloCiné De La Sortie de l'usine Lumière à Lyon en 1895 à aujourd'hui, les rédacteurs d'AlloCiné ont voté pour leurs cent films préférés de l'histoire du cinéma. Vous y retrouverez des chefs d’œuvre du monde entier et de toutes les époques. 1. 1 - Le Parrain + Francis Ford Coppola (1972, 1974, 1990) Lire la suite © Paramount Pictures 1 - Le Parrain (1972/1974/1990) Perfection formelle, récit labyrinthique et pourtant lumineux, tragédie déchirante... 2 - Citizen Kane (1941) D’une audace esthétique et narrative révolutionnaire, Orson Welles entame sa carrière avec un film qui va bouleverser le langage cinématographique. 3 - L'Aurore (1927) "Un jour nos films seront vus par des gens qui n'ont pas vu L'Aurore de Murnau". 4 - Psychose (1960) Ça commence comme un thriller avant de prendre le virage du film d’horreur et de se conclure en exploration cinématographique de la psyché. 5 - Rashômon (1950) 6 - Le Mécano de la Générale (1926) 7 - Le Dictateur (1940) 8 - La Monstrueuse Parade / Freaks (1932)
CNC Moteur de référencement VOD Le cuirassé Potemkine d'Eisenstein Acte 1 : Des hommes et des vers. Juin 1905. La mer démontée. Un carton :"L'esprit de la révolution se propageait sur la terre russe. Un processus, mystérieux mais gigantesque, touchait ne multitude de cœurs. La personnalité, ayant à peine eu le temps de se reconnaître, se dissolvait dans la masse, et la masse dans l'élan". Le matelot Matiouchenko s'adresse à son camarade Vakoulintchouk : "Nous les matelots du Potemkine, devons soutenir nos freres ouvriers et être avec eux aux avant-postes de la révolution". Au matin, les marins découvrent que les quartiers de viande apportés à bord du navire sont pourris. Acte 2 : Drame dans la baie de Tendra. Le commandant Golikov, fait monter tout le monde sur le pont. Acte 3 : un mort réclame justice. Du môle le bruit se répandit, à l'aube il atteignit la ville : le cuirassé dans la rade, il y a une mutinerie. La délégation d'Odessa vient sur le Potemkine et convient du même mot d'ordre. Acte 4 : L'escalier d'Odessa. Acte 5 : Rencontre avec l'escadrille.