Bernard Charbonneau
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Toute son œuvre est marquée par l'idée que « le lien qui attache l'individu à la société est tellement puissant que, même dans la soi-disant “société des individus”, ces derniers sont si peu capables de prendre leurs distances avec les entraînements collectifs que, spontanément, ils consentent à l'anéantissement de ce à quoi ils tiennent le plus : la liberté. »[1] Durant les années 1930, il dénonce la dictature de l'économie et du développement[2] et s'impose comme pionnier de l'écologie politique [3]. Se méfiant toutefois de l'écologie partidaire, il propose de concevoir une forme d'organisation de la société, radicalement différente des idéologies du XXe siècle, solidement ancrée sur l'expérience personnelle. En cela, il affirme sa dette intellectuelle envers le personnalisme. De même, il voit dans le progrès technique la source de toujours plus d'organisation, donc de plus de conformisme, donc de moins de liberté. Publications posthumes :
Freud Théorie
Pourquoi donc le rêve ne peut-il pas représenter de manière directe ce que voulait dire l’inconscient ? Le mécanisme principalement responsable est appelé " censure ", non seulement il déforme, mais fait aussi oublier avec une extrême rapidité, la majorité des rêves ou leurs détails les plus importants. Une fois établies, l’existence de cette " censure ", l’ultime question est : Que veut elle défendre, et pour quelle raison ? Les ratés de l’action ou de discours révèlent ce que leur auteur entendait soigneusement protéger. On oubli un nom pour oublier un autre contenu qu’on veut garder refoulé, on oubli le nom qui lui est lié par un lien associatif. Le lapsus et les actes manqués sont le produit du conflit entre deux intentions, l’une manifeste, l’autre refoulée.
Jacques Ellul
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Ellul dans sa maison à Pessac, en 1990. Jacques Ellul (né le à Bordeaux et mort le à Pessac) est un professeur d'histoire du droit, sociologue, théologien protestant et libertaire[1] français. Surtout connu comme penseur de la technique et de l'aliénation au XXe siècle, il est l’auteur d’une soixantaine de livres (la plupart traduits à l’étranger, notamment aux États-Unis et en Corée du Sud) et de plusieurs centaines d’articles. Ayant adopté comme devise « exister, c’est résister »[4], il disait lui-même de son œuvre qu'elle est entièrement centrée sur la notion de liberté[5] : « plus le pouvoir de l'État et de la bureaucratie augmente, plus l'affirmation de l'anarchie est nécessaire, seule et dernière défense de l'individu, c'est-à-dire de l'homme »[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il réussit le concours d’agrégation de droit romain et d’histoire du droit en 1943.
Psychologie positive
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychologie positive est l’étude scientifique des forces, du fonctionnement optimal et des déterminants du bien-être. Ce champ de la psychologie vise à mieux cerner ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue. Voici quelques thèmes de recherche fréquents dans la documentation scientifique de ce courant[1],[2],[3] : - Forces de caractère (sagesse, humour, curiosité, persévérance, créativité, intelligence émotionnelle, etc - Émotions positives et gratitude; - Sens à la vie et engagement vers un but; - Relations saines, empathie et compassion; - Motivation, passion et expérience optimale (flow); - Espoir et optimisme; - Présence attentive et savourer pleinement les expériences positives. - Bonheur, bien-être, satisfaction, résilience (leurs déterminants); - Auto-détermination, auto-efficacité; Confusion avec « pensée positive »[modifier | modifier le code] Ressemblances et distinctions avec « psychologie humaniste »[modifier | modifier le code]
John Thackara welcome
To do things differently, we need to see things differently. That’s what Doors of Perception is about. The author of this blog, and the founder of Doors of Perception, is John Thackara. Above right: John’s one page speaker flyer and formal cv. Profile (Photograph: Uros Abram) For thirty years John Thackara has traveled the world in his search of stories about the practical steps taken by communities to realize a sustainable future. John is the author of a widely-read blog at designobserver.com and of the best-selling In the Bubble: Designing In A Complex World (MIT Press) – also translated into nine languages. A Brit who now lives in southern France, John studied philosophy, and trained as a journalist, before working for ten years as a book and magazine editor. John is a Senior Fellow of the Royal College of Art, in London, and a Fellow of The Young Foundation, the UK’s social enterprise incubator. Fast Company described John Thackara as “a business provocateur….”.
Histoire de l'hypnose
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article présente un résumé de l'histoire de l'hypnose. L'hypnose est un état modifié de conscience ainsi que les techniques permettant de créer cet état et les pratiques thérapeutiques utilisées pendant cet état. Origines lointaines[modifier | modifier le code] On peut retracer les origines lointaines de la pratique de l'hypnose chez les guérisseurs chamaniques sur les peintures rupestres préhistoriques. Les Sumériens (-4000) ont décrit sur leurs tablettes des méthodes hypnotiques. Il semblerait que certains bas-reliefs égyptiens décrivent des « passes » réalisées par un « magnétiseur ». Les Grecs anciens pratiquaient une médecine par les songes dans le sanctuaire d'Épidaure (culte d'Asclépios). Jean François Billeter fait un rapprochement entre les textes de Tchouang-Tseu et la transe hypnotique. Le magnétisme animal[modifier | modifier le code] Le fluide universel de Franz Anton Mesmer[modifier | modifier le code]
Pour une société de décroissance, par Serge Latouche
« Car ce sera une satisfaction parfaitement positive que de manger des aliments sains, d’avoir moins de bruit, d’être dans un environnement équilibré, de ne plus subir de contraintes de circulation, etc. » Jacques Ellul (1) Le 14 février 2002, à Silver Spring, devant les responsables américains de la météorologie, M. George W. Bush déclarait : « Parce qu’elle est la clef du progrès environnemental, parce qu’elle fournit les ressources permettant d’investir dans les technologies propres, la croissance est la solution, non le problème. (2) » Dans le fond, cette position est largement partagée par la gauche, y compris par de nombreux altermondialistes qui considèrent que la croissance est aussi la solution du problème social en créant des emplois et en favorisant une répartition plus équitable. Après quelques décennies de gaspillage frénétique, il semble que nous soyons entrés dans la zone des tempêtes au propre et au figuré... Entendons-nous bien. Vaste et utopique programme, dira-t-on ?
decroissance.info
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