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L’histoire de deux fillettes révèle les inégalités sanitaires dans le monde

L’histoire de deux fillettes révèle les inégalités sanitaires dans le monde
Inspiré du Rapport sur la santé dans le monde, 2003, ce récit met en parallèle la vie de deux fillettes nées l’une au Japon, l’autre en Sierra Leone, avec un écart d’espérance de vie de 50 ans. Alors qu'une fillette née aujourd'hui au Japon peut s'attendre à vivre jusqu'à environ 85 ans, une autre née au même moment en Sierra Leone a une espérance de vie qui ne dépasse pas 36 ans. La Japonaise va être convenablement vaccinée, nourrie et scolarisée. Si elle tombe enceinte, elle bénéficiera de soins maternels de haute qualité. Plus tard, elle pourra être atteinte de maladies chroniques, mais d'excellents services de traitement et de réadaptation seront à sa disposition et elle peut alors s'attendre à recevoir des médicaments d'une valeur moyenne de US $550 par an, et bien plus si nécessaire. En revanche, la fillette de Sierra Leone a peu de chances d'être vaccinée et risque fort de souffrir d'un déficit pondéral pendant toute son enfance. Voir aussi

Développement et pauvreté, Dharavi, Inde. Compétences I) 1 - Identifier et localiser : Nommer et localiser un lieu dans un espace géographique.II) 1- Exploiter et confronter des informations. Déroulement de la séance : La vidéo est vidéoprojetée. Les élèves réalisent l’exercice en 15 à 20 min. L’exercice présenté ici a été réalisé en début de séquence, afin d’amener les élèves à comprendre la problématique du chapitre : La réduction des inégalités et la satisfaction des besoins des hommes pourra-t-elle se faire sans épuiser les ressources de la planète ? Doc 1 : Inde : les élections se passent avant tout ds les bidonvillesenvoyé par france24. - Regardez les dernières vidéos d’actu. Doc 2 : Photographie. Doc 3 : Le Dharavi Redevelopment Project (DRP) Mais la libéralisation économique des années quatre-vingt-dix a bouleversé la donne. Questions posées aux élèves : 1. 2. 3. 4.

« Pokémon Go » : les multiples facteurs des inégalités géographiques Il est plus facile de jouer au jeu vidéo de Niantic dans une grande ville qu’à la campagne. C’est de la faute des joueurs d’« Ingress », le précédent jeu de l’entreprise. Toutes les communes françaises ne sont pas égales devant Pokémon Go, le jeu en réalité augmentée à succès qui permet de chasser les petits « monstres de poche » dans la réalité grâce à son téléphone. Pour jouer, l’utilisateur de Pokémon Go doit régulièrement s’arrêter à des « pokéstops », des emplacements qui distribuent les pokéballs nécessaires pour attraper les Pokémons et divers bonus. Mais ces pokéstops ne sont pas distribués de manière égalitaire sur le territoire. Il y en a beaucoup plus en ville qu’à la campagne, et certaines communes en sont largement dépourvues. Pour comprendre pourquoi ces inégalités territoriales existent dans le jeu, il faut se pencher sur le fonctionnement d’un autre jeu vidéo, Ingress. Lire : Plongée dans l'univers d'« Ingress », le jeu de Google aux frontières du réel

L’inégal développement de la planète en 2040 – Géographie et prospective* Contexte d’enseignement Classe de 34 élèves Objectifs d’apprentissage - travailler les notions d’acteur, de développement, de croissance démographique et de développement durable. - manipuler et construire un document géographique -croiser des documents - aborder une analyse géographique par échelle -émettre des hypothèses -argumenter -construire un croquis - travailler en groupe - devenir un acteur du territoire, échanger sur l’actualité et le monde qui les entoure - réaliser une présentation orale Apports pour les élèves -comprendre et remobiliser la notion de développement -évaluer les paramètres/leviers du développement -travailler en équipe -percevoir les inégalités et les tendances de celles-ci Production des élèves construction d’une carte par anamorphose ; élaboration d’un croquis de synthèse avec soutenance orale Activités des élèves et étapes Volume horaire 6h pour traiter le chapitre, dont 3 h d’activités relatives à la prospective Apports pour les enseignants

Les 1% les plus riches ont accaparé 82% de la richesse mondiale créée en 2017 L’an dernier, 82 % de la richesse créée dans le monde a terminé entre les mains du 1 % le plus riche de la population de la planète, les femmes payant le prix fort de ces inégalités, a dénoncé lundi l’ONG Oxfam. « Le boom des milliardaires n’est pas le signe d’une économie prospère, mais un symptôme de l’échec du système économique », a affirmé la directrice d’Oxfam Winnie Byanyima, lors de la publication du rapport intitulé « Récompenser le travail, pas la richesse » à la veille de l’ouverture du World Economic Forum (WEF) à Davos. >> A lire aussi : Pénicaud veut supprimer d'ici à 2022 l'écart de salaire hommes-femmes à travail égal « 9 nouveaux milliardaires par an » Selon le rapport d’Oxfam, 3,7 milliards de personnes, soit 50 % de la population mondiale, n’ont pas touché le moindre bénéfice de la croissance mondiale l’an dernier, alors que les 1 % les plus riches en ont empoché 82 %. >> A lire aussi : Quand les règles du Monopoly changent pour coller à la réalité

L'IDH municipal pour observer les inégalités de développement au Brésil Nous laissons aujourd'hui les colonnes de notre veille d'actualité à Sébastien Bourdin, qui nous présente une carte sur les inégalités au Brésil. Le Brésil a connu de profonds changements socio-économiques depuis la Grande Dépression des années 1930, en particulier depuis la Seconde Guerre mondiale. Son économie, qui pendant des siècles avait été orientée vers l'exportation d'un petit nombre de produits primaires, a été dominée par un secteur industriel important et diversifié. Cette transformation socioéconomique rapide peut être illustrée par quelques chiffres. Ces réalisations n'ont cependant pas transformé le Brésil en une société où les inégalités sont relativement plus faibles. En termes de bien-être de ses nombreux citoyens, le Brésil reste un pays traversé par de nombreuses inégalités, même si la forte croissance de son économie a entraîné une amélioration effective des conditions de vie de ses habitants. Voir aussi Pour Géoconfluences, mars 2018.

L’« indice Big Mac » est-il fiable pour comparer le coût de la vie à travers le monde ? Le magazine « The Economist » a publié, le 12 juillet, la version actualisée de son indice, un outil visant à comparer le coût de la vie entre plusieurs pays. Créé en 1986 par le magazine britannique The Economist, l’indice Big Mac est un outil interactif, actualisé tous les six mois, permettant de comparer des devises. Il utilise comme référence le prix du célèbre sandwich de McDonald’s, considéré comme un produit universel, la franchise américaine étant présente dans plus de cent vingt pays. Son calcul est basé sur la théorie de la parité du pouvoir d’achat (PPA). Quelle est la méthodologie de calcul de cet indice ? Pour mener cette étude, The Economist a relevé le prix du sandwich au 1er juillet dans la zone euro et dans quarante-huit autres pays à travers le monde. D’après les données mises à disposition par The Economist, au 1er juillet, « un sandwich Big Mac coûte en moyenne 5,51 dollars américains aux Etats-Unis contre 4,04 euros en moyenne dans la zone euro ».

Ces pays et territoires seront les plus riches du monde en 2020 Le Qatar est le pays le plus riche du monde, mais plus pour longtemps. Selon Bloomberg, qui cite des données du Fonds monétaire international, l'émirat va être détrôné en 2020 par la région administrative spéciale de Macao, en Chine, qui est en train de profiter de l'essor des casinos qui y ont élu domicile en nombre. Le FMI, qui classe les pays du monde en fonction de leur PIB sur la base de la parité de pouvoir d'achat (PPA) par habitant, estime qu'en 2020 l'ancien comptoir portugais qui s'est réinventé en Mecque du jeu d'argent génèrera plus de 143.000 dollars par habitant, contre 139.000 dollars pour le Qatar. A 143.000 dollars par habitant, Macao affiche aussi un PIB deux fois supérieur à celui de Hong Kong, son voisin et autre territoire chinois sous administration spéciale. Cet écart devrait se creuser en 2023 pour atteindre 173.000 dollars par habitant à Macao, contre 158.000 dollars par habitant au Qatar.

Ce que les riches pensent des pauvres Comment les classes supérieures vivant dans les beaux quartiers se représentent-elles les pauvres et les classes populaires ? Comment expliquent-elles les différences entre elles et les plus démunis ? Y voient-elles un danger, un problème social ou une injustice à réparer ? En quoi est-ce intéressant de savoir ce que les “riches” pensent des “pauvres” ? Pour vraiment comprendre les inégalités et la pauvreté, il faut aussi s’intéresser à la vision qu’en ont celles et ceux qui bénéficient le plus de l’état actuel de la répartition des diverses ressources : les classes supérieures. Vous avez enquêté dans trois villes très différentes : Paris, São Paulo et Delhi... Les trois villes choisies pour l’enquête, - on a réalisé 80 entretiens approfondis dans chacune d’entre elles, auprès de classes supérieures habitant dans les quartiers les plus exclusifs -, sont les plus importantes métropoles de trois grandes démocraties. Ces représentations sont-elles un frein à la solidarité ? Aller plus loin

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