« Les réseaux sociaux d’entreprise transcendent la hiérarchie et ont tendance à aplatir la pyramide » Interview croisée de David Fayon, co-auteur du livre « Réseaux sociaux et entreprise : les bonnes pratiques » et Anthony Poncier, auteur du livre « Les réseaux sociaux d’entreprise : 101 questions ». Ces deux experts en technologies numériques nous parlent des réseaux sociaux d’entreprise, de leurs opportunités aux risques engendrés par leur utilisation. Techniques de l’Ingénieur : Comment définit-on les réseaux sociaux ? Quels sont ceux existant, publics et professionnels ? Anthony Poncier : Généralement, on distingue trois types de réseaux sociaux. Les réseaux sociaux grand public comme Facebook ou Twitter, bien que la frontière ait tendance à se diluer étant donné que de plus en plus de professionnels sont présents sur Facebook avec des pages « fan » pour du e-commerce. Même si l'entreprise peut les ouvrir à ses clients, ces réseaux sont contrôlés intégralement par l'entreprise qui les met en place. Comment sont-ils utilisés ?
Blogs et wikis cimentent la fonction collaborative des RSE - Etude Intranet et RSE 2012 CCM Benchmark - Journal du Net Solutions Les grands comptes interrogés à l'occasion de l'étude Intranets et RSE 2012 par CCM Benchmark ont été invités à s'exprimer sur les fonctions collaboratives présentes dans leur outil de réseau social d'entreprise. Sur les huit qui ont accepté de répondre à cette question à choix multiples, une majorité a mis en avant le fait que leurs solutions sont pourvues de fonctions de blogs et de wikis. Ce n'est pas le cas pour les fonctions de messagerie et de calendrier, fournies par le biais d'autres outils (bureautique, solution dédiée...), et encore moins pour la fonction de centre de tâches et de messagerie interne. "Les fonctionnalités collaboratives du RSE peuvent faire double emploi avec celles proposées par l'intranet historique.
Reseaux Sociaux, Quel ROI pour chaque partie prenante de l'entreprise? Les médias sociaux apportent de la valeur aux programmes de marketing interactif de différentes manières, mais cette valeur est difficile à mesurer. Le volume d'information et de données peut rapidement devenir assez écrasant pour les différentes parties prenantes. Pour que l'équipe reste concentrée sur ses objectifs il faut que la personne en charge du sujet devienne la plaque tournante du marketing "social" de son entreprise et crée des rapports types pour les différents acteurs (Community Managers, stratégistes des réseaux sociaux…) par campagne, un reporting annuel de l'image de la marque pour le marketing et un reporting trimestriel financier pour les dirigeants. Les différentes fonctions ont besoin de différentes informations. Le marketing sur les réseaux sociaux crée une énorme quantité de données. Il y a 3 groupes d'intervenants qui sont concernés par la performance des actions sur les réseaux sociaux: - "Stratégistes" et "Community Managers" qui sont impliqués au quotidien.
La gestion des médias sociaux en entreprise doit-elle être centralisée ou distribuée au sein de tous les départements d’une entreprise? C’est avec cette question assez difficile que démarre une série d’articles, co-rédigés par les membres de Media Aces, dans le but de fournir un éclairage original sur la gestion des médias sociaux en entreprise. Selon Yves Landoyer (CCI de Paris), une direction spécifique doit centraliser le dispositif de com digitale ou de marketing digital au niveau global, pour assurer la cohérence, et il doit impérativement y avoir des directions relais avec des acteurs-relais. Philippe Gérard (CEGOS) renchérit. La question se résume donc à savoir si les directions de l’entreprise doivent mener des actions « médias sociaux » pour leur propre compte (les RH pour le recrutement; la Communication pour les RP; le Commercial pour la prospection; etc.), indépendamment des autres directions, au sein de la même entreprise. La première hypothèse, celle où chacune des directions mène ses propres actions, trouve vite ses limites en termes de coûts, de bénéfices et de cohérence globale.
Le premier retour sur investissement des réseaux sociaux d’entreprise:«l'engagement» 01net. le 22/02/12 à 07h30 Un réseau social d'entreprise (RSE) n’est pas un Facebook interne mais un outil de travail destiné à mobiliser salariés et partenaires autour de conversations. Lancer un RSE fait avancer les équipes et les structures sur le chemin du changement numérique. L’aventure est belle, mais nécessite du temps et de l’argent. Le « retour sur valeur » n’est pas directement mesurable mais est induit par des changements fondamentaux au niveau des interactions et des comportements collaboratifs. Les avantages en termes de « retour sur productivité » sont plus directement mesurables et s’appliquent à trois domaines spécifiques : amélioration de la communication, travail collaboratif et recherche des connaissances, gestion plus efficace du temps. Toutefois, ces deux mesures dépendent grandement du niveau d’adoption et d’implication des utilisateurs vis-à-vis du réseau social d’entreprise. Aligner les objectifs métier et les contenus de la communauté Redécouvrir sa communauté
Des communautés plus ou moins spontanées D'une organisation à l'autre, les règles de création de communautés en ligne peuvent différer du tout au tout. Et c'est tant mieux ! Il n'y a pas une bonne façon de faire qui convienne à toutes les situations. Les besoins, les ambitions et les contextes culturels nécessitent des adaptations. Les approches les plus radicales, qui sont aussi les moins courantes, visent soit à accorder une entière liberté aux employés, soit au contraire à rendre quasi obligatoire l'adhésion à une communauté. La première option, celle choisie par plusieurs sociétés du monde IT, permet à tout salarié de créer une communauté sans avoir besoin de justifier son existence. La position se défend. Entre laisser-faire et contrôle intégral, de multiples options intermédiaires A l'opposé, bien loin de l'esprit initial des RSE, certaines entreprises imposent la création de communautés. Entre ces deux approches, il existe de multiples options intermédiaires. Il arrive même que des communautés soient suggérées.
Justifier l'investissement dans les réseaux sociaux : ROI ou ROA ? - Vincent Dutot - Les entreprises ne se questionnent plus sur "aller ou ne pas aller sur les réseaux sociaux". La question qu'elles se posent est "comment je me lance sur ces nouvelles plate-formes de manière efficace ?" Et très rapidement, la notion du retour sur investissement apparaît. Plus de 900 millions de pages sur Facebook (et un lancement en bourse le 18 mai), Instagram racheté pour 1 milliard de dollars, lancement de Google+, LinkedIn qui acquiert slideshare. Si les grandes entreprises (françaises notamment) sont présentes en grande majorité sur Facebook, LinkedIn, Youtube ou encore Twitter, les PME sont encore trop peu nombreuses. Je veux vous parler ici de la notion de retour sur investissement pour les réseaux sociaux. Et puis, lors d’un déplacement, avec un collaborateur, nous en sommes venus à nous entendre autour de la notion de ROA. Comment mesurer le ROA (retour sur attention) ? Après quelques recherches, je suis tombé sur cette définition du ROA par Bakas Media :
Bibliographie en gestion des connaissances Les métiers de l'information et de la communication évoluent très vite. Nos formations s'adaptent. Le département info&com de l'uB propose désormais une offre de formation de la première année de licence au master 2, avec une spécialisation progressive vers les deux spécialités "communication" (média, journalisme) et "documentation" (entreprise et institutionnelle / enseignement). Elle se décline en : Dispensé par des enseignants-chercheurs et des intervenants professionnels, le programme des masters mêle progressivement formation pratique et professionnelle (informatique, création web et audiovisuelle, gestion de projet, économie d'entreprise, techniques de communication, droit, traitement d'enquêtes pour les sciences sociales) et formation fondamentale en sciences de l'information et de la communication. La première année du Master 1 "ingéniérie des métiers de l'information" (iMi) est commune aux deux spécialité commmunication et documentation.
Les réseaux sociaux, leviers de la productivité en entreprise - Journal du Net Solutions Les bénéfices liés à l'utilisation des réseaux sociaux comme Facebbok, Twitter ou Yammer explosent. 68% des cadres supérieurs français les utilisent au moins 1 fois par semaine. Qu'ils soient internes ou externes, les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Yammer transcendent la collaboration. C'est ce que tend à confrimer la dernière étude "How Social Technologies drive Business Success" réalisée par l'institut Millward Brown pour le compte de Google. Cette dernière livre en effet une série d'indicateurs sur les apports des réseaux sociaux en contexte professionnel. Et ils sont nombreux. D'autres indicateurs méritent également d'être relevés et concernent plus particulièrement les apports des réseaux ou outils sociaux en termes de productivité. L'utilisation des réseaux sociaux permettrait également d'économiser des gains de temps loin d'être négligeables.
Knowledge Management, management des connaissances - Méthode ECOUTE 360® Méthode mise en oeuvre en Phase I pour diagnostiquer les attentes, les freins, les leviers, le contexte, les initiatives des acteurs "cibles" du projet Knowledge Management Contexte d’applicationAnalyse préalable au lancement d’une démarche de KM La mise en place d’une méthode de partage des connaissances ne vaut que si elle est acceptée par les acteurs : chaque acteur est à la fois consommateur et producteur d’information, un acteur ne sera motivé à « capitaliser son savoir » que s’il en est lui-même bénéficiaire ou au moins s’il a une visibilité sur l’utilité de sa contribution, l’ergonomie du système, sa capacité à répondre aux questions et non à accumuler de l’information inutile, sont des facteurs capitaux, les flux de connaissance se situent dans un environnement où il y a des freins, des leviers, des opportunités et des menaces (SWOT), qu’il convient d’identifier. On ne peut pas demander à un opérateur dans une usine quels sont ses besoins en matière de Knowledge Management !