Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (5/5 En écoutant la diversité et la richesse des réponses apportées à The Edge (voir notre dossier), nous avons eu envie de vous adresser la même question : “Comment l’internet a-t-il transformé votre manière de penser ?” A l’occasion des 10 ans de la Fing, nous aimerions recueillir et solliciter une grande variété de contribution sur ce sujet, sur ce que l’internet a transformé (ou pas), profondément, dans vos pratiques et dans vos manières de penser et d’agir. Si vous regrettez ce qu’il a changé. S’il a tout transformé, ou si au fond vous vous demandez bien ce qu’il vous a apporté, nous sommes preneurs. Vous avez-même le droit de questionner la question. N’hésitez pas à nous signaler vos contributions en commentaires (ou par trackback vers cet article) ou à nous les envoyer par e-mail [hubertguillaud@gmail.com]. Sur ces mêmes sujets Aucun article relatif
Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5 Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. “Nous avons incarné notre rationalité dans nos machines et leur avons délégué nombre de nos choix et de ce fait nous avons créé un monde au-delà de notre propre compréhension. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.
Les médiateurs professionnels organisent les premiers Symposiums sur les risques psychosociaux Les risques psychosociaux (RPS) ne sont définis, ni juridiquement, ni statistiquement, aujourd’hui, en France. Ils sont à l’interface de l’individu et de sa situation de travail d’où le terme de risque psychosocial. Sous l’entité RPS, on entend stress mais aussi violences internes (harcèlement moral, harcèlement sexuel) et violences externes (exercées par des personnes extérieures à l’entreprise à l’encontre des salariés). Les RPS ont un impact dans l’entreprise. En France, il n’existe pas de réglementation spécifique à la prévention du stress au travail. La médiation professionnelle reste un moyen incontestable afin d’anticiper les RPS. Le symposium RPS a pour objectif de fournir à tous les stagiaires des renseignements pratiques et utiles afin de mettre en place une procédure de prévention des risques psychosociaux. Ces événements auront lieu : 13 mars 2012 en Avignon, 22 mars 2012 à Marseille, 29 mars 2012 à Nice. :
Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (2/5 « Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ? », telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. S’il est une grande question qui traverse la majorité des contributions des experts recueillis par The Edge, c’est bien celle de l’attention. L’internet nous rend-il plus attentifs ? Un avis que ne partage pas le philosophe Daniel Dennett, professeur au Centre d’études cognitives de la Tufts University. L’attention est l’alphabétisme du XXIe siècle « Ma façon de lire et mes habitudes de pensée ont radicalement changé depuis que j’ai ouvert une session sur le Net. L’internet affecte jusqu’à notre Moi Hubert Guillaud
André Gunthert : “Internet est une révolution de la consultation Il y a 4 ans, nous rencontrions André Gunthert, directeur du Laboratoire d’histoire visuelle contemporaine (Lhivic), pour évoquer avec lui la révolution Flickr. Depuis, le web 2.0 s’est largement installé, même s’il a aussi largement montré ses limites, notamment à transformer tout un chacun en producteur de contenus, d’images, de vidéos, de textes… Il n’est pas étrange qu’aujourd’hui, ce ne soit plus tant la manière dont on produit des images qu’il nous intéressait d’interroger, que la manière dont on les consulte. Le web créatif des amateurs est-il en train de céder le pas face au web des industries culturelles ? Chacun à leur mesure, Hadopi comme l’iPad d’Apple, “un outil tout entier dédié à la consultation”, n’en sont-ils pas les premiers symboles ? InternetActu.net : Le contenu généré par l’utilisateur (User generated content, UGC) est-il vraiment le “trésor” du web 2.0 ? André Gunthert : Sur YouTube, le modèle dominant n’est pas celui de la création de contenus.
La confiance : comment la gagner et comment la perdre ? Crises économiques, crises politiques, crises corporatives, crises sociales…Que l’on soit à Montréal, Paris, Washington, la confiance est dorénavant devenue l’ingrédient qui manque le plus dans nos rapports avec nos leaders. À titre d’exemple, seulement un américain sur trois fait confiance au gouvernement, au monde corporatif et aux institutions traditionnelles. Au Canada, selon un sondage Ipsos 2011, seulement 9% des répondants font confiance aux dirigeants politiques; et seulement 19% aux chefs d’entreprises… c’est encore moins qu’aux avocats semble-t-il (22%). En France, la situation n’est guère plus reluisante alors qu’en 2011 les Français se montraient les plus pessimistes et les plus méfiants envers leurs élus (sondage BVA et Gallup). Seulement 28 % d’entre eux font confiance aux entreprises. Une étude d’Edelman, grande entreprise de relations publiques, fait ressortir également que le niveau de confiance envers le monde des affaires a connu une baisse de plus de 20 % depuis 2001.
Internet Society (ISOC) Future Internet Scenarios What Will The Internet Look Like In 10 Years? The Internet Society engaged in a scenario planning exercise to reveal plausible courses of events that could impact the health of the Internet in the future. While obviously not intended to be a definitive overview of the landscape or all potential issues, we believe the results are interesting and, we hope, thought-provoking. We are sharing them in the hope that they will inspire thought about possibilities for the future development of the Internet, and involvement in helping to make that happen in the best possible way. Future Scenario Resources Besides viewing the video scenarios below, you can: Common Pool Scenario Link to transcript of video Positive “generative” and “distributed & decentralised” properties. Boutique Networks Scenario Link to transcript of video Moats and Drawbridges Scenario Link to transcript of video Porous Garden Scenario Link to transcript of video
Peut-on être anonyme sur le Net ? Du mot « anonyme » et des notions aussi mal comprises d’appellation et d’identifiabilité en marge de la révélation de l’identité de Noisette Sociale. Notions abordéesNotion abordée : Le niveau d’identifiabilité d’une personne décrite par un ensemble d’informations ne résulte pas nécessairement de l’usage ou non d’identificateurs. Un fait divers presque banal sur le Web, dont voici la version de la journaliste Josianne Massé de Branchez-Vous ! : « Noisette Sociale a blogué sous un pseudonyme pendant deux ans. (…) Au milieu d’un conflit entre blogueurs, sous la forme d’un commentaire anonyme, la véritable identité de Noisette Sociale a été dévoilée.“Je n’avais pas de personnage, je n’inventais rien. Évidemment, l’incident a reçu moult échos dans la blogosphère. « Je me demande quoi penser de quelqu’un qui blogue de façon anonyme, pis qui ferme son blog parce qu’on l’a reconnu. » « Peut-on vraiment espérer demeurer anonyme ? En effet. « Anonyme » : mot à double sens Premier exemple.
whaller.com - Réseautez en confiance Simplicity Create your social networks in one click and invite all of your close friends to your spheres! Control With Whaller you always know who can read your messages, at every moment. Protection The spheres are completely separated from each other; your colleagues in one sphere, your family in another! Internet, tel que prédit en 1969 « Il va falloir trouver un nouveau mot pour définir cette nouvelle approche de l’image et du son, car la télévision implique la passivité face aux informations, ce qui ne sera plus le cas dans le futur. » Cet étonnant document vidéo qui date du 12 novembre 1969, imagine la télévision de demain et évoque Internet sans pouvoir le nommer. Courrier électronique instantané, impression à la demande, jeux en réseau, télé haute définition, catalogue de VPC, commande en ligne et même le clic : tout ce que nous connaissons aujourd’hui d’Internet y est prédit avec une précision déconcertante. Celui qui avait ainsi prédit Internet, n’était pas un scientifique illuminé, ni un geek première génération, mais un homme de médias, penseur et homme de terrain : Jean d’Arcy, directeur de l’information audiovisuelle de l’ONU. Internet » devient une appellation officielle.
Les 5 M de la déresponsabilisation Savez-vous ce qui explique la déresponsabilisation au sein de votre organisation ? de vos équipes ? Savez-vous comment y remédier ? Comme le disait Howard Gardner, le leadership est un processus à deux côtés: celui de l’influence et celui de l’imputabilité. Alors lorsque l’on parle de leadership partagé, ce que l’on souhaite c’est élever le sentiment de responsabilisation à la grandeur de l’équipe ou de l’organisation face à la mission commune; c’est faire en sorte que le plus grand nombre possible dans l’organisation se sente imputable de la réalisation du but commun. Aujourd’hui je vous invite à réfléchir autrement à la responsabilisation en examinant les 5 M de la déresponsabilisation: Se MéfierMédireMépriserMentirSe Méprendre Se Méfier. La déresponsabilisation prend très souvent sa source dans un environnement de méfiance. Mépriser. Médire… c’est parler contre quelqu’un ou un groupe de personnes. Ne pas se prêter soi-même à ce jeu social. Mentir… se Méprendre… Conclusion. Edith Luc, Ph.D.