Philippe De Jonckheere Le clavier cannibale Hurrah ! La revue La femelle du requin vient de sortir son 40ème numéro, avec un double dossier consacré à Georges-Arthur Goldschmidt et moi-même, assorti d'un beau bonus spécial Edgar Hilsenrath. On ne peut pas dire que La Femelle fasse les choses en petit: tous nos livres sont disséqués, des articles de fond inspectent certains aspects de nos œuvres, le tout agrémenté d'un entretien-fleuve et de photos rugueuses signées JL Bertini. On remercie évidemment toute l'équipe des "requins" pour leur patience, leur écoute, leur bienveillance et leur profondeur de vues (et aussi le vin blanc). Goldschmidt y est cuisiné royalement, à petit feu pertinent, il évoque ses nombreux livres, parle de son traducteur, s'émeut devant Haendel et Sticky fingers des Stones. "La parole humaine est comme un chaudron fêlé où nous battons des mélodies à faire danser les ours quand on voudrait attendrir les étoiles." Voilà voilà.
Chloe Delaume AVEC "LE CORPS EN OEUVRE", LA PERFORMANCE S’EXPOSE : JAN FABRE, STEVEN COHEN, MIET WARLOP… Posted by infernolaredaction on 19 octobre 2013 · Un commentaire Le corps en œuvre / Galerie Coullaud & Koulinsky / exposition 12 septembre – 2 novembre 2013 / Performances les 19, 25 et 26 octobre à la galerie. La performance s’expose à la galerie Coullaud & Koulinsky. Imaginée par Maria-Carmela Mini, initiatrice du festival Latitudes contemporaines à Lille qui programme depuis 2003 tout ce qu’il y a de plus audacieux et passionnant dans la danse contemporaine, l’exposition Le corps en œuvre réussit un pari de premier ordre : cultiver et maintenir cette énergie perturbatrice de la performance et les ruptures de régime de réalité qu’elle impose, entre les œuvres plastiques montrées, issues de la production des artistes qui ont fait de leur corps leur principal moyen d’expression. Le premier espace de la galerie est défini par le couple de forces que semble constituer les œuvres de Franko B. et de Jan Fabre. Plusieurs temps forts ponctuent le déroulée de ce projet curatorial.
Jean-Philippe Depotte Alors, je suis allé voir le fameux film ! Le film aux Oscars. Birdman. J’avais adoré Babel, du même Iñarritu. 21 grammes, aussi. Alors, forcément, il ne faisait aucun doute que Birdman serait mon film de l’année… pas vraiment. En réalité, je suis sorti de la salle sans savoir quoi penser. Et puis, justement… voilà le point qui m’a chiffonné. Mais Birdman, c’est différent. Alors on remarque les plans-séquence parce qu’Iñarritu veut qu’on les remarque. Ok. Hmmm… la vérité, c’est qu’au sortir de la salle, je n’éprouvais pas d’enthousiasme. Je pense que dans quelques mois j’oublierai « Birdman » comme on oublie un raisonnement pourtant brillant et qui nous avait impressionné. Le Matricule des Anges, magazine littéraire
Irène Delse Espaces, instants Lionel Davoust 16 avril 2014 LD0 réaction Affiche Juan Miguel Aguilera Nous pouvons l’annoncer avec plaisir, pour ceux qui l’attendaient, l’initiative est reconduite cette année : démarche novatrice initiée par les Imaginales, la Masterclass vous offre l’occasion d’acquérir méthodes et techniques qui faciliteront ou amélioreront votre travail d’auteur. Encadrés par Jean-Claude Dunyach et moi-même, ces deux jours vous apprendront que l’écriture est aussi un métier, et visent à vous donner les clés pour trouver votre méthode, votre voix, vos propres outils de création. Ces deux jours d’échanges, d’enseignement et de travaux guidés (mercredi 21 et jeudi 22 mai 2014) visent à transmettre les outils essentiels de l’écrivain, des briques de base de la narration comme le point de vue, la construction d’un scénario, aux réalités financières et légales du métier (distribution, droit d’auteur…). En compagnie de professionnels reconnus, apprendre les règles du jeu. 15 avril 2014 LD2 réactions Couv. Les intervenants :
TRAFIC DE LECTURES Vendredi dernier à la librairie L’Acacia, la revue La Femelle du Requin organisait une rencontre pour marquer la sortie de son nouveau numéro.Je l’avoue : cela fait plusieurs fois que je commence ce compte-rendu, l’abandonne, le recommence. Pas simple de trouver les mots quand l’un des participants, et non des moindre, a déjà raconté la soirée, ici. J’étais venue là parce que j’aime bien La Femelle du Requin, pas seulement à cause de son titre, aussi parce qu’elle vous donne de quoi dévorer dans ses pages, prenant le temps d’interroger longuement les écrivains, de parler de tous leurs livres, de laisser la place aux textes aussi. Et puis on y trouve les beaux portraits d’écrivains de Jean-Luc Bertini. J’oublie beaucoup de choses, mais je n’ai pas noté pendant la discussion, pas pris de photos non plus, et personne n’enregistrait… Bon, on fera mieux la prochaine fois.
Sylvie Denis paumée