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Notion de structure Mintzberg

Notion de structure Mintzberg
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Connaître AIR LIQUIDE mission et stratégie Air Liquide > Le Groupe > Nous connaître Air Liquide est leader mondial des gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé. Notre ambition Être le leader dans notre industrie, en étant performant sur le long terme et en agissant de façon responsable. Notre mission Les idées d’Air Liquide créent de la valeur sur le long terme. Notre positionnement Air Liquide, leader mondial des gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé. Notre stratégie Notre stratégie consiste à réaliser une croissance rentable sur le long terme. Notre signature Air Liquide – Creative Oxygen* *De l’oxygène naît l’inspiration Modalités de croissance de l'E La croissance d'une entreprise, c'est l'augmentation de sa taille. Cette évolutionse mesure dans le temps par différents indicateurs : augmentation de la capacité de production accroissement du chiffre d'affaires hausse du bénéfice élargissement des parts de marché augmentation des effectifs ... Tout dirigeant d'entreprise à la volonté de développer son activité. Les objectifs de la croissance Les dirigeants qui engagent un processus de croissance de leur entreprise visent plusieurs objectifs : augmenter l'efficacité de la production grâce à la réalisation d'économies d'échelle atteindre une taille suffisante pour se maintenir face à ses concurrents et éviter les raids financiers (O.P.A hostile) renforcer le pouvoir de négociation vis-à-vis de ses partenaires extérieurs créer une synergie dans le cas d'une croissance externe. Les modalités de la croissance Les conséquences de la croissance Le choix d'un mode de croissance

Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Dominique Grootaers, Le GRAIN asbl, 14 décembre 2005 Henry Mintzberg est une figure de référence internationale dans le domaine de la sociologie des organisations. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Au fur et à mesure des essais de Henri Mintzberg s’est profilée une théorie qui est depuis lors abondamment utilisée, commentée et soumise à la critique et qui s’avère d’un intérêt fondamental pour analyser une organisation avant d’envisager la manière d’y opérer un changement. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses composantes internes d’une organisation. 1. Mintzberg distingue en effet trois composantes essentielles des organisations, étroitement coordonnées entre elles : 1.1. 1.1.1. La dimension verticale 1.1.2. 1.2. 1.3. 2.

Stratégies concurrentielles de PORTER I – La stratégie de domination par les coûts Il s’agit avant tout d’une stratégie agressive consistant à vouloir conquérir des parts de marché se caractérisant par une « concurrence au couteau » – En réduisant au maximum les coûts de production l’entreprise baisse ses prix et gagne des parts de marché. Les délocalisations peuvent s’inscrire dans cette logique ! Les stratégies génériques – M.Porter Les coûts sont réduits sur tous les éléments de la chaîne de valeur. En terme d’avantages attendus, il n’est pas douteux qu’en réduisant les coûts et en augmentant ainsi les quantités produites, l’entreprise génèrera aussi bien des économies d’échelle que des économies d’apprentissage (effet d’expérience) L’effet d’expérience : On appelle expérience la production cumulée d’un produit depuis le début de sa commercialisation. Une relation s’établit donc très nettement entre le niveau d’expérience d’une entreprise et le coût de la dernière unité produite. Courbe d’apprentissage – effet d’expérience

Les nouvelles formes d'emploi COASE entreprise marché La révolution numérique est en train de faire émerger une nouvelle organisation du travail dite "collaborative". Un phénomène mondial qui se développe dans toutes les villes. Près d'une centaine d'espaces de coworking ont été créés à Paris. Des tiers lieux, espaces de rencontres entre personnes et compétences variées, où se regroupent des travailleurs indépendants et autonomes, des entrepreneurs, des étudiants qui forment des communautés.Un reportage d'Annabelle Grelier complété par vos témoignages et le point de vue de Jeremy Rifkin. Les locaux sont modestes mais l’accueil y est chaleureux. Noémie De Grenier est co-directrice générale de Coopaname : Plutôt que de monter chacun notre petit statut d’auto entrepreneur, on se rassemble au sein de la même structure. Coopaname © Jérémie Wach-Castel Car c’est bien la Coopaname qui salarie ces travailleurs. « La grande utopie que porte CooPaname c’est de se dire : on a envie de réinviter le rapport au travail. « Il y a un très bon accompagnent.

Hamel & Prahalad Introduction : Les entreprises de toute taille se doivent de prendre en compte le facteur humain dans leur gestion – ce n’est plus à démontrer. L’anticipation des besoins du consommateur est également indispensable dans un contexte environnemental d’exacerbation de la concurrence. Dans le souci de répondre à toutes ces exigences, l’analyse des compétences , de la chaîne de valeur, et des forces et faiblesses internes devient primordiale. Les méthodes utilisées varieront mais le but recherché sera fondamentalement toujours le même. I – L’évaluation des compétences et des ressources de l’entreprise A – Evaluer les ressources internes de l’entreprise 1 – Les Ressources humaines 2 – Les Ressources physiques Il s’agit ici d’apprécier le degré de modernité des équipements, les capacités de production, le potentiel inutilisé, la productivité réelle du matériel etc.. 3 – Les Ressources financières 4 – Les ressources intangibles ou immatérielles Qu’appelle t’on cœur de compétences ou compétences clés ?

Alain Deneault : « Une multinationale comme Total n’est pas ‘une société’ au sens traditionnel : c’est un pouvoir Votre livre De quoi Total est-elle la somme ? est à la fois un portrait de Total et une analyse du pouvoir des multinationales aujourd’hui. D’où vient ce projet ? C’est un livre qui me semblait manquer. Au final, la problématique qui m’a servi de fil conducteur pour organiser la masse d’informations à laquelle j’étais confronté a été de prendre au sérieux l’assertion répétée des dirigeants de Total selon laquelle tout ce que fait l’entreprise est entièrement légal. Pourquoi Total en particulier ? Le choix de Total était commode à plusieurs titres. En quel sens s’intéresser à Total permet-il de faire le portrait de « la multinationale » aujourd’hui ? Total vaut comme un cas d’école. C’est donc trop simplement qu’on présente Total comme « une société pétrolière française » ; chacun de ces quatre termes pose problème. D’un point de vue historique, le secteur pétrolier est le deuxième à voir l’émergence de firmes multinationales, le premier étant le secteur bancaire.

DAS : Domaine d'activité stratégique Introduction : La stratégie c’est la détermination des buts et objectifs à long terme que s’assigne une entité et le choix des actions à conduire ainsi que de l’allocation des ressources nécessaires pour les atteindre (A.D Chandler). Pour une entreprise il s’agira de mettre en adéquation ses capacités et les caractéristiques du domaine d’activité sur lequel elle entend se développer. Le concept de stratégie a été emprunté à l’armée et a été adapté au monde des affaires. Au niveau de l’entreprise il faut donc distinguer les notions de politique, stratégie et tactique Politique :Ce terme désigne les orientations globales, les objectifs généraux pris par les entreprises au regard de l’environnement dans lequel elles évoluent : • La concurrence est-elle féroce ? Stratégie :La stratégie sert à matérialiser les orientations de politique générale prises par l’entreprise. Tactique :Il s’agit ici de la mise en œuvre, au jour le jour, des choix stratégiques. I – Le modèle LCAG (FFOM ou SWOT) 1. 2.

Christian Chavagneux, Alternatives Economiques - Macron veut refonder l’entreprise ? Chiche ! Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions de Christian Chavagneux Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Xerfi Canal autres chaînes Accéder à Stratégie & Management Accéder à Xerfi Business Abonnez-vous à la newsletter Xerfi Canal Les nouvelles émissions Xerfi Canal Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Les incontournables

Pestel & Forces concurrentielles PORTER Introduction : On ne peut concevoir l’entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L’entreprise doit surveiller en permanence son environnement car, d’une part, elle s’intègre dans cet environnement et, d’autre part, elle agit sur ce même environnement. L’entreprise peut être influencée par son environnement de manière positive (opportunités environnementales) ou de manière négative (contraintes environnementales). L’entreprise doit surveiller de manière permanence l’évolution des marchés, l’évolution de la concurrence et des technologies. Il s’agit également d’identifier les risques de « cassures » technologiques (apparition d’ innovations majeures) ou structurelles (nouveaux lobbies, nouvelle réglementation, influence grandissante des organisations de consommateurs, etc…). I – La surveillance permanente de l’environnement Comme il a été dit en introduction, l’entreprise ne peut être conçue comme une entité isolée. Analyse PESTEL PEST signifie Source : pearson France

Emmanuel Faber, PDG de Danone : « Nous mettons fin au mode de décision pyramidal » « Le projet “Une personne, une voix, une action” va donner le pouvoir à nos équipes d’aller chercher l’avenir », estime le PDG du groupe agroalimentaire. A l’occasion de l’assemblée générale (AG) des actionnaires de Danone, réunie jeudi 26 avril, le PDG, Emmanuel Faber, a présenté son projet « Une personne, une voix, une action », destiné à faire participer les 100 000 salariés du groupe agroalimentaire aux choix stratégiques à l’horizon 2030. Quelles sont les raisons qui vous poussent à faire évoluer votre gouvernance ? Il faut repartir de la vision que nous avons du métier de l’alimentaire. Nous sommes au bout d’un modèle. Toute une génération, pendant des décennies, a fait confiance aux grandes marques pour apporter plaisir, sécurité et santé. Face à cette révolution, on peut résister ou prendre la vague. Lire aussi : Danone veut décliner ses marques en bio Quelles seront les modalités ? Nous avons fixé neuf objectifs interdépendants les uns des autres. Ils ne vont pas être surpris.

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