Monnaie privée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie privée est un type de monnaie dont l'émission et la garantie sont assurées par un organisme indépendant de l'État, par exemple une banque privée, par opposition aux monnaies habituelles, garanties par un gouvernement ou la chose publique, soumises à un monopole d'émission monétaire direct ou délégué à une banque centrale. Il a existé quelques exemples historiques de monnaies privées. Aujourd'hui, la monnaie issue de la banque centrale est officiellement l'outil d'échange dominant, mais la réalité des choses est plus complexe : s'il n'y a officiellement quasiment pas de monnaie privée, les instruments financiers librement émis par le système financier se distinguent assez peu d'une monnaie. Le concept de monnaie privée est essentiellement mis en avant par quelques économistes libéraux, comme Friedrich Hayek ou David Friedman, en tant que moyen pour diminuer la capacité de l'État à manipuler l'économie à son propre avantage.
Les marchés financiers : Economie d'endettement et économie de marchés financiers Il ne s'agit que d'une classification conceptuelle, c'est-à-dire qu'aucune économie concrète présente les caractéristiques de l'un ou l'autre système ; la France a été une forme très approchée du premier cas et les Etats-Unis le sont du second. Ces deux cas de figure ont l'avantage de faire apparaître des logiques de fonctionnement d'économie articulées à l'équilibre du système productif. L'économie d'endettement L'économie d'endettement est un système financier où prédomine la finance indirecte, sous la forme d'un financement par le crédit. Celui-ci suppose l'intervention d'un processus d'intermédiation financière et l'établissement de relations bilatérales individualisées entre les banques et leurs clients. Les banques prennent un risque de crédit après l'avoir évalué et financent les opérations dont elles anticipent favorablement le résultat. L'économie d'endettement ne doit pas être confondue avec l'économie endettée.
Bulle (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bulle. Dans ce genre de situation, dite parfois « exubérante », les prix s'écartent de la valorisation économique habituelle sous le jeu de croyances des acheteurs. Ce genre de comportement plus ou moins irrationnel des marchés, créant des anomalies de prix, fait partie des phénomènes qu'étudie la finance comportementale. Une bulle est due souvent à la combinaison : La cohue rue Quincampoix, à Paris, lors de la spéculation sur le « système de Law » et sa banqueroute en 1720 (gravure satirique et allégorique de Bernard Picart). Les bulles financières sont nombreuses dans l'Histoire des bourses de valeurs et celle des crises monétaires et financières. Quand une bulle financière cesse de se développer, elle risque un effondrement brutal [réf. nécessaire]. En outre de nombreuses valeurs boursières ou monétaires sont en partie adossées à des créances immobilières. Sur les autres projets Wikimedia :
Offre et demande La loi de l'offre et de la demande doit toutefois respecter plusieurs hypothèses, parmi lesquelles la ceteris paribus (toutes choses étant égales par ailleurs), que le marché soit concurrentiel, que chaque prix unitaire soit négocié, qu'aucune entreprise sur le marché ne puisse décider unilatéralement du prix (price taker), etc. L'offre et la demande désignent respectivement la quantité de produits ou de services que les acteurs sur un marché sont prêts à vendre et/ou à acheter à un prix donné. En microéconomie, la théorie de l'équilibre partiel entre l'offre et la demande développée par Alfred Marshall tente de décrire, expliquer, et prédire le prix et la quantité des biens vendus sur les marchés concurrentiels. Le modèle marshalien formalise les théories développées précédemment[Lesquelles ?] et est utilisé comme point de départ pour toute une série de modèles et théories économiques et sociales. Histoire de la théorie[modifier | modifier le code] Élasticité[modifier | modifier le code]
Crise des « subprimes » : si vous n'avez toujours rien compris... C’est un témoignage venu de l’intérieur du système financier. Mr Greed, trader, démonte, pour Rue89, la mise en place de bulles spéculatives liés à aux prêts immobiliers à risque (les « subprimes ») qui ont commencé à exploser l’an dernier aux Etats-Unis, et qui plombent aussi les résultats des banques européennes Après la remise du rapport Ricol sur la crise financière ce mardi au président de la République, peut-on espérer que l’éthique revienne sur le devant de la scène financière ? Ses propositions seront en tout cas discutées au conseil informel des ministres européens des Finances la semaine prochaine à Nice. C’est un rapport très sévère contre les banques et l’ensemble du système financier, responsable selon son auteur, d’une crise sans lien originel avec l’économie réelle. Un système fondé sur le toujours plus Prenons un exemple illustrant cette approche patrimoniale : Tous ces crédits représentent une masse de créances énorme. La diffusion aux hedge funds
€ En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, il est mis en circulation le 1er janvier 2002 à 0 h sous sa forme fiduciaire. Il succède à l'ECU, « l'unité de compte européenne » mise en service en 1979. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions[4], derrière le dollar américain et devant le yuan chinois. Depuis octobre 2006, elle est la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation[5]. Au 1er janvier 2022, 28 187 546 465 billets en euro étaient en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 1 544 370 485 175 €, ainsi que 141 184 192 506 pièces de monnaie pour une valeur totale de 31 233 475 945 €, l'ensemble représentant la somme de 1 575 603 961 120 €[6]. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'euro est géré par la Banque centrale européenne (BCE) qui siège à Francfort et par l'Eurosystème, composé des banques centrales des États de la zone euro. Émission et contrôle[modifier | modifier le code] Notes : J.
Bourse des valeurs New York Stock Exchange en 2005. Valeurs inscrites sur ces bourses[modifier | modifier le code] Le marché de valeurs mobilières comprend le marché primaire où les nouvelles valeurs mobilières sont proposées à la souscription, dès leur émission : par exemple, pour les actions, lors de la création de l'entreprise ou au cours de sa vie, grâce à une opération dite d'introduction en bourse (IPO en anglais), et le marché secondaire, autrement dit portant sur des titres déjà émis, déjà acquis par d'autres acteurs souhaitant les négocier. La bourse incarne le marché secondaire, très réglementé par rapport au marché de gré à gré. La procédure d'introduction en bourse consiste donc pour une entreprise à faire le choix d'admettre ses titres (actions, obligations ou titres hybrides) à la cotation au sein de la bourse, en contrepartie de paiement d'une commission d'introduction pour la société de gestion de la bourse. Une bourse propose plusieurs types de sociétés à la cote. Heures françaises[13]
La monnaie dans l'échange - Qu’est-ce que la monnaie ? La monnaie correspond à l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour réaliser leurs échanges. Pourquoi est-on passé du troc à l’échange monétaire ? Le troc est l’échange direct de marchandises contre d’autres marchandises. Nécessité de trouver un partenaire à l’échangeDivisibilité de la marchandiseCoût du stockage, coût du transport … La monnaie, en revanche, se présente comme un bien intermédiaire, accepté par tous, qui se conserve facilement et va donc faciliter les échanges. Quelles sont les formes de la monnaie ? Plusieurs formes de monnaies se sont succédées à travers les âges : Qu’est-ce que la dématérialisation de la monnaie ? La dématérialisation de la monnaie signifie la suppression progressive de la monnaie «papier» et son remplacement par une monnaie d’écriture. Quelles sont les fonctions de la monnaie ? La monnaie est tout à la fois : Qu’est-ce que la masse monétaire ?
ECLECTIC RANT: SWIFT Pressured to Ban Iran Over Nuclear Ambitions. Category: Columns from The Berkeley Daily Planet Under pressure from the United States and the European Union, the Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT), based in Belgium, is expected to ban Iran's forty banks and institutions from using SWIFT to process its financial transactions, which would effect Iran's foreign trade and access to international payments. United Against Nuclear Iran, a powerful U.S.-based group, had been lobbying for the past month for SWIFT to end its relationship with Iran. More than 40 Iranian banks and institutions use SWIFT to process financial transactions. The average Iranian would also be affected as prices for household goods would soar while the value of Iranian currency drops. The ban from SWIFT's respected network will also escalate global economic pressure on Iran to halt its suspected development of nuclear weapons. SWIFT is the financial equivalent of the United Nations. SWIFT is not a bank and does not hold funds.
Définition jan 9, 2011 La globalisation est un phénomène moderne qui peut être analysé sous plusieurs angles. Le mot provient de l’anglais globalization, où global équivaut à mondial. Cependant, en français, nous avons plutôt tendance à employer le terme mondialisation. En général, il y a lieu de dire que la globalisation consiste en l’intégration des diverses sociétés internationales dans un seul marché capitaliste mondial. Il existe de nombreux courants de pensée selon lesquels la globalisation implique la question économique et recouvre la culture, par exemple. L’origine historique de la globalisation remonte à l’an 1492, lorsque Christophe Colomb est arrivé en Amérique. Le progrès de la technologie, l’essor des télécommunications et du Net ainsi que le développement des moyens de transport ont permis que le phénomène de la globalisation devienne une réalité incontournable dans le monde actuel.
"Nous, les petits actionnaires, on est toujours avertis quand la maison est (déjà) brûlée" Selon l'AMF (Autorité des marchés financiers), 7,6% des plus de 15 ans détenaient des actions au mois de mars 2017, contre 6,2% en mars 2016. C'est la première fois, depuis la crise de 2008, que ce taux de détention remonte. Ces trois à quatre millions de petits porteurs sont majoritairement des hommes, âgés de plus de 55 ans et qui touchent un revenu mensuel supérieur à 3.000 euros. A l'occasion du salon de l'actionnariat, nous leur avons demandé pourquoi ils investissent. Louis Bulidon, 81 ans, le collectionneur - activiste Ancien ingénieur chimiste, Louis Bulidon a commencé à investir en bourse il y a plus de 20 ans pour "placer (ses) économies". Je veux voir quels sont les métiers, je veux voir ce qu'ils font, je veux comprendre. Cette implication a permis à Louis Bulidon de multiplier ses investissements par "plus de quatre". Dominique, 57 ans, spéculateur malgré lui Gérant d'un bureau d'étude dans l'automobile, Dominique se définit lui-même comme un "spéculateur de nature".
Comment fonctionne la création monétaire > Qu’est-ce que la monnaie ? C’est un instrument de paiement reconnu par les Etats, les ménages et les entreprises. Pendant des millénaires, on s’est contenté d’utiliser des matériaux précieux pour régler ses achats (pièces d’or ou d’argent, sel et même coquillages). Mais à partir du milieu du XVIIe siècle, les orfèvres londoniens, à qui les riches marchands confiaient leur or, ont commencé à émettre des certificats de dépôt. Et leurs possesseurs se sont rendu compte qu’il était beaucoup plus facile de payer et de se faire payer avec ces bouts de papier (en qui tout le monde avait confiance) qu’avec des pièces métalliques. > Qui crée la monnaie ? Contrairement à ce que l’on croit souvent, les instituts d’émission (BCE, Réserve fédérale américaine et toutes les autres Banques centrales), seuls habilités à imprimer des billets et à frapper des pièces, ne sont à l’origine que d’environ 10% des liquidités en circulation. > Comment font-elles ? Au pays du Père Noël, cela marcherait sûrement.
Hollande mis en cause par un ex-élu sur un dossier de corruption Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 16:24 par Thierry Lévêque PARIS (Reuters) - Un ancien élu PS du Pas-de-Calais décrit dans un livre un système de corruption mis en place selon lui de longue date dans sa région par son parti, et assure que François Hollande n'a pu en ignorer l'existence. Gérard Dalongeville, ancien maire de Hénin-Beaumont, écroué durant huit mois pour corruption en 2009, décrit dans cet ouvrage sorti jeudi, "Rose mafia", un dispositif, dit-il, devenu habituel, avec enveloppes d'argent en espèces, marchés truqués et clientélisme. Il désigne François Hollande, premier secrétaire du PS de 1997 à 2008. "Qui peut croire que ni Aubry ni Hollande n'aient jamais été informés des irrégularités, des dérives de la fédération du Pas-de-Calais ?" Ce silence de François Hollande, actuel candidat à la présidentielle, tiendrait, selon le livre, à ses liens avec Jean-Pierre Kucheida, dit "JPK", député-maire de Liévin et homme fort depuis deux décennies du PS dans son fief du bassin minier.
Globalisation Le terme « globalisation » est un anglicisme qui désigne le phénomène de mondialisation, la connotation de supranationalité attachée au terme « mondialisation » étant discrètement absente de la notion plus positive, ou plus édulcorée, de « globalisation ». Mondialisation ou globalisation signifient d’une part l’intégration des productions et l’interconnexion des marchés de biens et de services et des marchés financiers au plan mondial, et d’autre part la définition de la stratégie des acteurs et des entreprises au plan mondial également. Cette « intégration » croissante désigne le fait qu’un produit est aujourd’hui issu, beaucoup fréquemment qu’il y a 20 ou 30 ans, de l’activité de nombreuses entreprises distinctes, elles-mêmes bien souvent originaires de pays distincts. Les conséquences de la mondialisation ne sont pas nécessairement aussi radicales qu’on le suppose. Cette démarche était très peu fréquente il y a 20 ans.