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Regles professionnelles

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EL CANTO MOB Les jardins sur les toits de Paris La ville de Paris a adopté son Plan biodiversité le 15 novembre 2011. La capitale est aujourd’hui l’une des premières grandes métropoles européennes à s’être dotée d’un tel plan. Une initiative nous a tapé dans l’œil et nous souhaitions la partager avec vous ! Le plan de la capitale s’articule autour de trois axes principaux - Favoriser les continuités écologiques essentielles au maintien d’une diversité du vivant entre Paris et les grands espaces naturels de la région. - Préserver les nouveaux équilibres écologiques de la capitale, en matière de gestion durable des espaces de vie (espace verts, cours d’eau, urbanisme). - Transmettre à tous les Parisiens et aux générations futures une culture de l’écologie urbaine, grâce notamment à la création de l’Observatoire Parisien de la Biodiversité. Les vertus des toits végétalisés Un des objectifs du plan est de créer 7 hectares de toits végétalisés d’ici 2020. Quelques-uns des fameux toits végétalisés parisiens A propos de Sophie Plumer

Moteur de recherche pour bac acier, tôles isolées et panneaux sandwich en déstockage Frais de reconditionnement Il est possible d’acheter des quantités partielles des paquets offerts. En cas d’une vente partielle, nous facturons les coûts suivants pour l’ouverture du paquet: tôles de 0 – 6,00 m de longueur 50,00 € tôles de 6,00 – 10,00 m de longueur 75,00 € tôles à partir de 10,00 m de longueur 100,00 € Quantité minimum de 3 tôles Enlèvement personnel Si vous désirez enlever votre commande personnellement, cela est possible avec un forfait de chargement de 15 €. Vu que nos lots spéciaux sont stockés dans différents points de vente, il vous est possible d'enlever votre commande au point de vente de votre choix, avec un forfait de 88 € pour transport intermédiaire. Remarques importantes Nous souhaitons attirer votre attention sur le fait que les lots à saisir ne peuvent en aucun cas faire l'objet de réclamation, pour quelque raison que ce soit.

Blois : opération semeurs urbains » ecoloPop La France est le 3ème consommateur mondial de pesticides mais des villes comme Dijon, Rennes, Strasbourg ou encore Vendôme se sont déjà engagées en matière de réduction de l’usage des pesticides. Maintenant que les dangers des pesticides sont connus et avérés, il n’est plus envisageable d’utiliser ces produits comme auparavant. Depuis le début de l’année 2012, la Ville de Blois désherbe désormais sans pesticide l’ensemble des espaces publics, de la voirie aux trottoirs en passant par les parcs et jardins. Après le basculement au traitement naturel pour les parcs et jardins, le choix de la municipalité de passer au zéro pesticide pour la voirie constitue « un engagement politique fort » comme l’explique Marc Gricourt, Maire de Blois. La municipalité a donné la priorité à la protection de la santé des habitants et à l’amélioration de leur cadre de vie. Temps forts

Toiture « So'Legno Habitat (Blog) Par encore la végétalisation, mais une grande étape, celle de ne plus avoir de pluie à l’intérieur… La préparation : Une moquette (Aiguilletée travaux sans sous-couche à 1,6E/m2 chez Saint-Macloux) collée sur la dalle pour protéger la membrane EPDM et permettre une mise en place facilitée. Première étape : Celle de monter la bâche EPDM sur la toiture !!! Là, nous avons eu de la chance, nous avons pu le faire grâce à un voisin et son manuscopic… Bien plus simple que d’essayer de monter les 200 Kg de la bâche à la main ! Deuxième étape : La déplier (dans le bon sens), lui faire une rotation à 90° (parce que ce n’était pas le bon sens) et la mettre bien à plat… Troisième étape : Faire les pliages et découpes des angles au niveau des acrotères… Quatrième étape : Mettre un géotextile par dessus et des sac de cailloux pour que cela ne s’envole pas !!!

Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme - Décroissance forcée Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues. Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. Avec ses maisons saccagées, brûlées ou envahies par la végétation, « Motor City » donne l’impression d’une ville fantôme. Symbole de cette déroute, Détroit vient d’être mis sous la tutelle d’un « coordinateur d’urgence » pour au moins un an. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté. Exode urbain Empruntant l’autoroute qui traverse la ville d’Est en Ouest, Peter Landon s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, au sommet du pont enjambant Red-River.

Le retour en force de l’éco-pastoralisme » ecoloPop On constate depuis quelques années en France le retour progressif de l’éco-pastoralisme que se soit à la campagne, en zone périurbaine ou en ville. Cette pratique, que l’on désigne aussi parfois comme le « pastoralisme urbain » ou l’« éco-pâturage », consiste à assurer le maintien des espaces verts par des troupeaux de caprins, ovins, équins ou bovins le plus souvent issus de races rustiques. Alors que cette pratique était tombée en désuétude au profit de l’entretien mécanique et du désherbage chimique après la seconde guerre mondiale, bon nombre de collectivités, entreprises publiques et privées ou particuliers se tournent de plus en plus vers les herbivores pour l’entretien des pelouses, pâtures, friches, berges etc., et ce pour des raisons très diverses. Ce sont des Moutons de Soay qui assurent l’entretien des abords de la citadelle de Lille (59) – Photo: CC Lamiot Les raisons qui motivent les acteurs publics ou privés à se tourner vers l’éco-pastoralisme sont en fait très variées.

Des fermes urbaines sur les toits de New-York On constate depuis quelques années une explosion de l’agriculture urbaine dans le monde entier. Après les fermes verticales comme en France ou à Singapour, des jardins sur les toits commencent également à proliférer. Aux Etats-Unis, c’est la ville de New-York, ou plus particulièrement les quartiers de Brooklyn et du Queens qui donnent l’exemple avec le développement de plusieurs fermes urbaines commerciales où la culture se pratique en pleine terre ou en hydroponie. Voici deux exemples qui illustrent le fait que même les grandes agglomérations peuvent satisfaire les besoins des locavores. Brooklyn Grange pratique la culture organique en pleine terre depuis 2010 sur les toits de deux bâtiments industriels dans les quartiers du Queens et de Brooklyn. Gotham Greens est une autre ferme urbaine établie depuis 2008 à Greenpoint dans le quartier de Brooklyn qui fonctionne cette fois sous serre et suivant une méthode de culture hydroponique (hors sol).

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