le blog de Philippe de LARA
Il a été peu question de l’université dans la campagne présidentielle et cependant le départ de Nicolas Sarkozy et l’élection de François Hollande seront loin d’être sans conséquences pour les universités. Mais quelles conséquences ? L’héritage de la LRU tient à la fois du champ de ruines et du champ de mines, ou encore du chantier en panne. La crise de l’enseignement supérieur et la confusion des programmes politiques sont telles qu’il n’est pas évident de s’y retrouver. La rupture annoncée par la gauche est ambiguë, comme le fut son attitude depuis 2007 sur la LRU. La liste de ce qu’il faudrait réparer est longue : - mode de scrutin et attribution absurdes qui font des présidents d’université des dictateurs faibles, stratèges de supérette face à une collégialité académique affaiblie (voir mon billet « Plein la bouche » de septembre 2009), - « nouvelle licence » démagogique et inapplicable, Les trois clés de voûte du changement Ce dont le concours est le nom
Peut mieux faire | Le blog de la rédaction du Monde Éducation
Pédago@Blog
Blog Headway
L’Isep c’est aujourd’hui l’école qui monte au point d’avoir dépassé des poids lourds, comme Supélec, dans le dernier classement de L’Usine nouvelle et de projeter de faire passer ses promotions ingénieur de 200 étudiants à 280 en 2018. A quelques mois de l’ouverture de ses nouveaux bâtiments à Issy-les-Moulineaux, Michel Ciazynski, son directeur général, nous parle d’une école qui mise sur le numérique et l’international. Olivier Rollot : Vous avez spectaculairement progressé dans le dernier classement des écoles d’ingénieurs de l’Usine Nouvelle en vous classant 14ème alors que vous étiez 82ème en 2013. Michel Ciazynski: L’école n’a pas changé tant que ça d’une année sur l’autre mais les critères nous sont plus favorables, notamment parce que le budget rapporté au nombre d’étudiants n’est plus pris en compte. Partager cet article Comment former aux mieux ses étudiants ? Des entrées par métier pour les licences pros Un choix très politique 17 h 30. Privilégier les alliances
Mammouth mon amour
La sélection commence de plus en plus tôt: 4 ans, même, dans certaines maternelles, qui font passer des tests aux enfants-candidats pour déterminer s’ils sont prêts, ou non, à suivre leur cours. C’était déjà le sujet de l’excellent documentaire de Clara Bouffartigues, L’école à bout de souffle. Pour l’Express cette semaine, je suis allée voir cela de plus près. J’ai été reçue avec beaucoup de méfiance au début (mais finalement une parfaite gentillesse) à L’Ecole active bilingue Jeannine Manuel (Paris 15ème), où sont scolarisés une floppée d’enfants de stars – allez à la sortie à 16 h 30, vous croiserez forcément un people… Les enfants de Dany Boon, de Nicolas Sarkozy (Louis), de Jean-Louis Etienne, sont passés par là. J’y ai rencontré notamment Florence Bosc, directrice générale adjointe, chargée des inscriptions. - Accueil des enfants et des parents. - Les tests s’effectuent par groupe de 10-12 enfants et durent 1 h 30. - Dans un deuxième temps, les enfants sont assis à une table.
Il y a une vie après le bac ! | Tout ce qu’il faut savoir pour s’orienter dans l’enseignement supérieur
Prof ! c'est le pied
Université Versailles-Saint-Quentin : « Pourquoi une telle stigmatisation ? »
Il avait déserté son blog. Depuis que les critiques se sont abattues sur l'université Versailles Saint-Quentin (UVSQ) , Jean-Luc Vayssière, son président, n'avait pas pris "la plume" pour s'exprimer. Il nous [communauté universitaire et journalistes de l'enseignement supérieur] avait habitués à ses positions parfois provocatrices comme sur la sélection à l'université ou encore la nécessité d'augmenter les frais de scolarité. Un mail dans notre boîte nous avertissait "Le blog Jean-Luc Vayssière a posté un nouvel article". Ces dernières semaines, il avait opté pour des discussions plus "confidentielles" avec nous, quelques SMS pour s'indigner ou s'interroger : pourquoi un tel acharnement, du ministère, des journalistes contre son université ? Mercredi 27 novembre, à 12h49, un mail est venu nous prévenir qu'il était sorti de son silence. Injuste et inacceptable "Je veux dire clairement que la mise en cause actuelle de notre université est injuste et inacceptable. Nathalie Brafman
Le professeur masqué
Projet SLECC
Carnet de correspondance - Emmanuel Davidenkoff
Je suis en retard
Marcel Gauchet
Interro Ecrite - Luc Cédelle
Véronique Soulé est journaliste éducation à Libération. Elle se tient "à l'affût de tout ce qui bouge de l'école à la fac", commente sur son blog les grands sujets qui font polémique et relaye des événements locaux dignes d'intérêt. by lucilem1405 Apr 6