Centrales nucléaires et leucémies infantiles Notre communiqué de presse du 12/01/2012 La revue Journal International du Cancer vient de publier dans son numéro de janvier une étude scientifique établissant une corrélation très claire entre la fréquence des leucémies infantiles aigües et la proximité des centrales nucléaires [1]. Cette étude épidémiologique rigoureuse, menée par une équipe de l’INSERM [2], de l’IRSN [3], ainsi que le Registre National des maladies hématologiques de l’enfant de Villejuif, démontre pour la période 2002-2007 que la fréquence d’apparition de leucémies infantiles (enfants de 0 à 14 ans) augmente de façon importante dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires françaises - jusqu’à 2,2 fois plus chez les enfants de moins de 5 ans. Cette étude confirme ainsi celle menée en Allemagne par le Registre des Cancers de Mayence en 2008 [4], qui avait abouti à des conclusions similaires. démontage de l’étude faisant la démonstration d’excès de leucémies infantiles autour des centrales allemandes [6].
C dans l'air du 19/07/2012 Survivre a l'effondrement économique Les mots tapés dans les champs TITRE et/ou COMMENTAIRE, et qui doivent être séparés par des espaces, représentent des mots clés qui peuvent ainsi être contigus ou disjoints dans le texte. Lorsqu'une présentation du résultat "En Liste" est demandée, ces deux champs doivent impérativement être constitués d'au moins 3 caractères pour permettre une recherche.Pour en savoir plus sur les possibilités offertes par cette section, affichez l'aide ci-dessus. NumVideo : Titre : Commentaire : Tri : Catégorie : Présentation du résultat : Normale En LISTE AUTOPSIE – Les nuggets de poulet passés au microscope Mario Tama/Getty Images/AFP "J'ai été terrassé." L'œil à peine sorti de son microscope, Richard D. deShazo, professeur de médecine et de pédiatrie au centre médical de l'université du Mississippi, n'en revient pas. Avec son collègue Steven Bigler, pathologiste, le scientifique a disséqué deux nuggets de poulet, pris au hasard dans les restaurants de deux chaînes de fast-food aux Etats-Unis. Publié en septembre dans l'American Journal of Medicine, le résultat montre que ces petits beignets ont parfois un nom trompeur. Le nugget du second restaurant était quant à lui constitué à 40 % de muscle squelettique ainsi que "des quantités généreuses de graisse et d'autres tissus, y compris le tissu conjonctif et des os." University of Mississippi "C'est un mélange de poulet, de glucides, de graisse et d'autres substances qui les font tenir ensemble. Ce qui n'en dégoûtera pas forcément les plus grands consommateurs : les enfants. Signaler ce contenu comme inapproprié
Thank you, Le revenu de base Restauration rapide: des steaks hachés qui n’en sont pas vraiment Abats ou protéines végétales dans les steaks hachés Les steaks hachés destinés à la restauration rapide sont bien rarement conformes, avec la présence d’abats ou de protéines végétales, révèle une enquête préliminaire menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). «La dénomination ‘steak haché’ est réservée aux denrées composées uniquement de muscles squelettiques», rappelle d’emblée la DGCCRF dans un communiqué publié le 17 juin. Rien n’interdit la présence d’abats (cœur, reins, os, etc.) ou de protéines végétales dans de la «viande hachée», à condition qu’elle ne soit pas présentée comme un «steak haché». Or la nuance semble assez peu prise en compte, en particulier chez «certains distributeurs pratiqu[ant] des prix largement inférieurs au prix courant et destin[ant] leurs ‘steaks hachés’ à la restauration rapide type kebab», poursuit la DGCCRF.
les marques derrières les "marques d'apparence"