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News, Augmented » cultures-numeriques

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Comment le numérique transforme les lieux de savoir Par François Jarraud "Ce que le numérique fait à la culture c'est qu'il invite à en repenser le sens, à le resituer dans un contexte de société". L'ouvrage de Bruno Devauchelle revient sur l'histoire du déploiement des TIC dans les lieux de savoirs et particulièrement, mais pas uniquement, dans l'Ecole. "Quelle place pour les savoirs dans une société en risque d'émiettement ? Quel avenir alors pour les lieux de savoirs ? Bruno Devauchelle, Comment le numérique transforme les lieux de savoirs, Le numérique au service du bien commun et de l'accès au savoir pour tous, FYP Editions, 2012. Commander Bruno Devauchelle : "Une nouvelle source vient de voir le jour, comment refuser d'y boire ?" Dans votre ouvrage vous montrez que le numérique transforme les lieux de savoirs. La résistance de l'Ecole est principalement liée à son histoire même.

Publicité et télévision : plus que des contacts, des expériences Catalysée par la multiplication des écrans dans les foyers, la consommation conjointe du web et de la télévision est une immense révolution pour le secteur, et surtout pour ceux qui en financent une large partie : les annonceurs. L’enjeu ? Exploiter un comportement grandissant, le multitasking, pour créer de nouvelles expériences publicitaires. Pour les marques, c’est le moment de replacer la publicité au centre des usages et de marier – enfin – la puissance du média TV avec les capacités de ciblage, d’interactivité et de personnalisation du web. A chaque rentrée, c’est toujours le même refrain. D’après Médiamétrie, 13,3 millions de personnes regardent la télévision sur un autre écran, soit deux fois plus qu’il y a 4 ans. 71% des internautes de 15 ans et plus utilisent les services de replay, tandis que plus de 24 millions de français regardent des vidéos sur Youtube. L’activité mobile augmenterait de plus de 10% pendant les tunnels de pub selon l’étude Widespace/MEC (avril 2013).

[Tribune] Le numérique: où en est-on ? par Gilles Babinet A trois mois de l’élection présidentielle, Gilles Babinet, Président du Conseil National du Numérique, dresse un état des lieux, en onze thématiques, sur la place du numérique et l’implication des pouvoirs publics dans ce secteur. La place du numérique dans le débat public Jusqu’à une période récente, le numérique a été traité comme un sujet à part, comme le sont souvent les sujets nouveaux, qu’on ne parvient à appréhender facilement dans leur globalité. Pour beaucoup d’ailleurs, numérique rimait avec média : Je rappelle que TIC signifie Technologie de l’information et de la communication. Aujourd’hui il est devenu souhaitable de cesser parler du numérique comme d’un sujet, d’une filière. Un levier inégalé de croissance pour la France Avons-nous en tête que le numérique représente 25% de la croissance française, et qu’il a créé 700 000 emplois en 15 ans ? La France versus le reste du monde Les principales mesures à prendre pour revenir dans la course L’enjeu d’une réforme universitaire

Meta-media | La révolution de l'information Apprendre à coder pour apprendre à décoder Par Hubert Guillaud le 20/01/12 | 9 commentaires | 5,239 lectures | Impression Le 9 janvier 2012 le journal britannique The Guardian a lancé une campagne pour améliorer l’enseignement des technologies et de l’informatique dans les écoles et universités anglaises. Image : La campagne pour améliorer l’enseignement des technologies et de l’informatique du Guardian. Réagissant à cette campagne, le ministre de l’Éducation, Michael Gove, a expliqué que l’enseignement de l’informatique à l’école devait être profondément remanié, plutôt que de laisser les enfants “s’ennuyer avec Word et Excel avec des enseignants qui s’ennuient eux-mêmes” et a appelé à créer un programme open source en informatique donnant la liberté aux écoles d’utiliser des ressources pédagogiques conçues à la fois par les industries et les universités. Reste à savoir quelle forme prendra cet enseignement pour le rendre “efficace, créatif et réfléchi”. Certains semblent sûrs de la réponse. Hubert Guillaud

TechCrunch La mutation du quotidien | Chantal Guy | Biographies, récits, essais Mais que faisions-nous avant l'arrivée de l'internet? C'est une question que les plus de 30 ans se posent parfois. La réponse est que nous faisions probablement la même chose, mais sans les possibilités du virtuel, qui ont bouleversé notre vie quotidienne. Nous vivons en quelque sorte dans une «réalité augmentée». «De nouveaux objets et de nouvelles pratiques sont mis en place qui modifient notre rapport à nous-mêmes, au lien social, à notre environnement, croit Milad Doueihi, titulaire de la chaire de recherche sur les cultures numériques à l'Université Laval, et auteur de l'essai Pour un humanisme numérique au Seuil. «Nous vivons une période où il y a presque une manière transparente de passer entre la vie concrète et le virtuel. Et les réseaux sociaux sont des lieux où se poursuit la fonction civilisatrice de la conversation... L'amitié virtuelle est réelle Nous aimons bien répéter que les amis sur Facebook ne sont pas, au fond, de «vrais» amis. Les 50 ans de La galaxie Gutenberg

Le marché de la TV connectée Les TV connectées sont-elles le "device" clé des années à venir après les smartphones et tablettes ? Un nouvel éco-système se met en place avec des modèles d'affaires innovants. La moyenne de 5 écrans par foyer (répartis entre smartphone, TV, tablettes, PC), soient 120 millions d'écrans en France, ouvre des perspectives alléchantes pour l'écosystème de la TV connectée. Si les constructeurs ont toujours joué un rôle prépondérant sur ce marché, les producteurs de contenu, les FAI, les diffuseurs, les OS, ou les services à valeur ajoutée qui sont apparus ces dernières années, ne font qu'augmenter la difficulté pour les régulateurs à favoriser le système français face aux géants globaux. « De 246 millions d'€ actuellement, le marché de la TV connectée passera à 671 million d'€ en 2015 », d'après Guillaume Lacroix, Directeur TV connectée d’Orange. La distribution de services via les FAI s'organise au travers des différents parcs déjà existants.

L’ancien président d’Harvard prône une utilisation collaborative des savoirs grâce au numérique « Un des paradoxes de l'enseignement supérieur américain est le suivant : les grandes universités, à travers leurs exigences académiques, contribuent beaucoup à définir ce que l'on enseigne dans le secondaire, et d'une manière plus générale, à établir le modèle de l'homme ou de la femme éduquée », écrit Lawrence Summers, ancien président de l'université Harvard et ancien secrétaire au Trésor américain, dans le « New York Times », le 20 janvier 2012. « Les campus sont perçus comme étant à la source des nouvelles façons de penser, des nouvelles idées, à la pointe de la société.(…). Et pourtant, la formation initiale évolue remarquablement peu au fil du temps » ajoute-t-il. Les technologies de l’information et de la communication ont un rôle important à jouer selon lui dans cette évolution nécessaire de l’enseignement supérieur. Apprendre par l’utilisation collaborative des savoirs L’apport des nouvelles technologies Fake mammoth in ZOO Dvůr Králové, Czech Republic. Articles liés :

Mes six mois au CNN: Breaking Bad... Habits Bon, je vous en avais parlé ici, vous avez dû le lire sur Slate.fr et ailleurs mais la France a ressenti le besoin de se doter d’un Conseil national du numérique et ce à l’initiative du président de la République. Ça n’existe pas ailleurs, «ça» a six mois d’existence et comme je suis un des membres du «ça», je me dis que cela vaut peut-être le coup d’en dire quelques mots, de vous tenir au courant, six mois après ma précédente chronique. Surtout que pour marquer le coup de ces six mois, le chef de l’Etat nous a réunis autour de lui et, comme c’est la seule récompense de faire partie du «ça» (note à tous les commentateurs grincheux: on n’est pas payé, on est bénévole et on y passe pas mal de temps), je me suis précipité pour jouir des ors de la République et dialoguer avec le Président. publicité Ce dernier a tout de suite insisté sur le fait que rien n’était off et qu’on pouvait tweeter/facebooker/hurler ce qu’on voulait sur ce qui se disait pendant ce déjeuner. Giuseppe de Martino

Le Français numérique Randonneurs vigilants ou baroudeurs pragmatiques? Dans une enquête, Inria tire le portrait des Français et de leur rapport au numérique. Découvrez dans quelle catégorie vous vous situez. C’est une première en France : un organisme public, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), associé à un institut de sondage (TNS Sofres), propose une étude sur les perceptions qu’ont les Français du numérique, et établi une typologie. Cette enquête qualitative, réalisée à partir d’entretiens en “face à face” sur un panel de 1 200 personnes, dessine les contours de perceptions paradoxales, entre optimisme et craintes. La perception du numérique, globalement positive, semble avoir évolué avec l’arrivée massive des smartphones et d’Internet dans les foyers français. Retrouvez les principales conclusions de l’étude dans l’infographie ci-dessous:

Français et monde numérique : quelle confiance et quelle utilité des outils et services ? (enquête) L’INRIA (organisme public de recherche, dédié aux sciences et technologies du numérique) délivre les résultats de la première édition de son enquête-baromètre : les Français et nouveau monde numérique sur la thématique générale : Quelle compréhension les Français ont-ils de l’influence du numérique sur le monde ? Les résultats de cette enquête sont présentés sous la forme d’une page descriptive, d’un module interactif et d’une infographie récapitulative. Quelques résultats signifiants de l’enquête les Français et nouveau monde numérique La population s’avère relativement confiante par rapport au numérique (64% des personnes interrogées) et curieuse (71%) concernant les avantages, les bénéfices et l’influence du numérique dans leur quotidien. L’internet et l’informatique sont entrés dans le quotidien indispensable d’un français sur 2 : 59 % ne peuvent plus se passer de leur téléphone mobile, 56 % d’internet, 52 % des moteurs de recherche, 51 % de leur ordinateur personnel. Licence :

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