Epais et Tordu, le site officiel de Manu Larcenet Le catalogue Christie’s. Je reçois le catalogue Christie’s d’une vente aux enchère d’originaux de bandes dessinées. Je dois avouer que, si la vente me laisse froid, je reste des heures à admirer ce catalogue. Le génie de certains grands anciens, pionniers, virtuoses vous explose à la figure. Les fac-similés sont superbes. On voit les repentirs, les retouches, la densité des traits, les crayonnés, le sens des traits, leur force, les tensions, les repos… Une Bible pour dessinateur, pour peu qu’on aime la bande dessinée classique. Au sortir de ce grand moment, je me dis que, tout de même, il est dommage que j’en sois réduit à me palucher sur un catalogue d’exposition! Eux ont des livres d’art. publicité Aujourd’hui, les Rêveurs sortent le livre époustouflant de Carlos Nine « rapport visuel sur la ville de Buenos Aires et ses environs. » Sans oublier mon propre « Microcosme ». Ses deux livres ont été somptueusement habillés par Aude Charlier, grâce lui soit rendue.
IDFA DocLab 2011 | Showcasing new and unexpected forms of digital documentary storytelling Tu mourras moins bête Epais et Tordu, le site officiel de Manu Larcenet » Le Journal Le catalogue Christie’s. Je reçois le catalogue Christie’s d’une vente aux enchère d’originaux de bandes dessinées. Je dois avouer que, si la vente me laisse froid, je reste des heures à admirer ce catalogue. Au sortir de ce grand moment, je me dis que, tout de même, il est dommage que j’en sois réduit à me palucher sur un catalogue d’exposition! Eux ont des livres d’art. publicité Aujourd’hui, les Rêveurs sortent le livre époustouflant de Carlos Nine « rapport visuel sur la ville de Buenos Aires et ses environs. » Sans oublier mon propre « Microcosme ». Ses deux livres ont été somptueusement habillés par Aude Charlier, grâce lui soit rendue.
bouletcorp clichy comme la place merwan chabane blog le fin du fond Fiche d'identité : « Persepolis » de Marjane Satrapi Samedi 26 mai 6 26 /05 /Mai 10:48 Titre de l’œuvre : Persépolis Nature/genre de L’œuvre : Bande-dessinée Artiste : Marjane Satrapi (1968- ) Date de création : 2000 Catégorie (domaine/thématique) : Arts du visuel Vie de l’artiste : Moments importants de sa vie… Marjane a dix ans lorsque la révolution éclate, elle habite Téhéran avec ses parents. Contexte historique de création : cadre géographique ? Style, mouvement ou courant : Aucun en particulier Description de l’œuvre Le dessin est noir et blanc, il est épuré et laisse la place à un texte fourni (paroles et commentaires de la narratrice). Vignette 16 (illustration ci-dessus ou sur planche principale) : Le père, la mère et Marjane sont représentés dans cette vignette, ils sont dessinés en plan rapproché. Vignette 17 (illustration ci-dessus) : C’est un gros plan sur la mère : elle est parfaitement au milieu de la vignette, son visage est partagé en deux, une partie blanche et l’autre noire, son poing est levé.
BD : « Des dessinateurs se pensent antiracistes parce qu’ils aiment les femmes noires » | Rues d’Afriques Le nouvel album de Stassen (Futuropolis, Paris.) Stassen, 48 ans, auteur de bande dessinée, est de ces personnalités entières, qui ne sont pas faites pour la diplomatie et encore moins pour le compromis. On l’a ainsi croisé, très énervé, à la fin d’une soirée culturelle organisée par les Pays-Bas à Paris. En alerte, un peu à vif, toutes antennes déployées pour capter le réel, il en retient l’essentiel. Son dernier livre, « I comb Jesus », paru le 9 janvier chez Futuropolis, réunit cinq reportages africains, du Maroc à l’Afrique du Sud en passant par le Congo et le Rwanda, publiés entre 2007 et 2013 dans la revue XXI et la Revue dessinée. Au fil des pages, on suit Stassen dans « son » Afrique, sans fards ni fantasmes, mais avec un regard acéré et une subjectivité assumée. Rue89 : Comment avez-vous réagi à l’annonce de l’attentat contre Charlie Hebdo ? En fait, j’habite juste à côté de Charlie Hebdo. Je dois dire que je n’aime pas Charlie Hebdo. Le bar du vieux français Des noms !
Jirô Taniguchi : «Me trouver en face d’auteurs comme Mœbius… J’étais comme dans un rêve» A 67 ans, Jirô Taniguchi, le mangaka le plus littéraire de sa génération, lève le pied sur les interviews. Assailli de toutes parts avant sa venue à Angoulême, il a répondu à nos questions par mail. Sensei, votre discrétion est légendaire. Mais de là à ne plus accepter d’interviews en face-à-face… Etes-vous las des journalistes ? La situation est un peu particulière : je reçois vraiment trop de demandes pour pouvoir toutes les satisfaire durant le peu de temps que j’aurai à Angoulême. La première fois que vous êtes sorti du Japon, c’était pour aller à Angoulême, en 1991. Que d’excellents souvenirs. Cette date a-t-elle marqué un tournant dans votre carrière ? Cela n’a fait que renforcer mon intérêt pour la bande dessinée et son influence sur mon travail d’auteur de manga. On vous dit souvent «le plus européen des dessinateurs nippons». J’ai découvert chez eux comment il était possible de travailler le détail de chaque case. Quels sont les mangakas qui ont compté pour vous ? Oui.