background preloader

Mesurer le ROI des réseaux sociaux avec Google Analytics - Journal du Net Solutions

Mesurer le ROI des réseaux sociaux avec Google Analytics - Journal du Net Solutions

France: restaurant, hotel, bar, mode, concert, événement... Ce restaurant était vraiment scandaleux. Il m'avait été recommandé par une personne qui vient d'ici pourtant. On était 4, mais on attendait une personne qui est arrivée assez rapidement. Au moment où…En savoir plus Ce restaurant était vraiment scandaleux. Au moment où mon plat arrive, on nous informe que ce porc au miel est le dernier en stock alors qu'on avait commandé deux plats comme celui-ci. On sent que le service est lent pour tout le monde et qu'on n'est pas les seuls a se retrouver dans cette situation. A la fin du repas, on nous a proposé de nous offrir du champagne mais on était tellement en colère qu'on a refusé.

La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Facebook, un ami qui vous veut du bien : mythe ou réalité pour les acteurs de la grande distribution alimentaire ? par Souheila Kaabachi - Chronique e-Business La réponse à la question « Facebook est-il un ami qui vous veut du bien » représente aujourd’hui un véritable dilemne pour les acteurs de la grande distribution alimentaire. Avec ses 20 millions d’utilisateurs en France, ce réseau constitue une arme à double tranchant pour ceux qui y figurent. Il peut être leur véritable ami si l’on considère ses énormes potentialités en termes d’image, de relation client et de chiffre d’affaires. En revanche, pour celles qui ne maîtrisent pas encore son mode de fonctionnement, celui-ci peut devenir un ennemi redoutable, capable de nuire à leur réputation. Apporter de la valeur ajoutée aux fans Une fois captés, les fans doivent être nourris avec des contenus qui créent de la valeur ajoutée. Grâce à ses deux applicationsMy local Walmart et Shopy Cat, la chaîne de distribution Wal-Mart offre quant à elle des services personnalisés à ses clients.

La valeur de l'information L'intelligence économique nous rèvèle combien l'information est à la fois désirable (il faut garder ses secrets, veiller...), redoutable (on désinforme , on déstabilise, on influence...) et vulnérable (toute entreprise dépend de ses systèmes d'information, de sa réputation...). Au fait que veut dire information ? Soit l’idée que l’information « vaut » quelque chose. C’est une différence qualitative, une variation, qui peut être différemment ressentie ou estimée par un interprétant. L’information est elle-même une différence qui produit une différence pour quelqu’un.. Historicité d’une notion Que l’information soit une valeur semble encore plus évident aux tenants de la théorie dite de l’information de Shannon et Weaver de 1949 : sa fonction est précisément de mesurer la valeur « en information », dans une vision probabiliste. D’abord elle qui porte sur le rapport entre données et connaissance. Une autre ambiguïté porte sur les rapports entre information et communication..

Une émission sur les Business-Angels en prime time Quatre émissions de 70 minutes chacune sur le financement et la création d'entreprise. Du jamais vu dans le paysage audiovisuel français ! « L'entrepreneuriat est un thème très actuel mais pas facile à traiter en télé. Nous avons imaginé un concept original et utile qui permet à de jeunes créateurs de se lancer » explique Medhi Harbaoui de Little Big Prod, la société de production à l'origine de ce projet diffusé sur France 4 depuis janvier. L'idée : proposer à huit candidats créateurs d'être suivis et accompagnés par deux business angels qui les accompagnent et les soutiennent dans leurs démarches. « Le choix des deux business angels s'est imposé de lui-même : nous avons immédiatement pensé à Sandra Le Grand et Aziz Senni, tous deux créateurs d'entreprises et très actifs dans le monde de l'entrepreneuriat » poursuit Medhi Harbaoui. Guider les créateurs Levée de fonds en cours A voir et à revoir sur le site

De la psychologie sociale à la psychologie économique en passant par la psychologie politique Christine Roland-Levy La psychologie sociale s'intéresse à des situations sociales qui sont clairement ancrées dans la réalité sociale du moment, dans un environnement politique donné et dans un contexte économique spécifique. La politique et l'économique nous semblent imbriqués l'un dans l'autre, et travailler sur l'un de ces deux pôles ne peut exclure le deuxième pôle. Ainsi, acheter, choisir, prendre des décisions d'épargne ou d'investissement, gérer et prévoir, font partie des multiples conduites économiques que nous sommes sans cesse amenés à pratiquer, et ces conduites se font dans un contexte socio-politique donné. Par exemple, décider ou non d'investir dans l'immobilier se fera en tenant compte de l'évolution possible de l'économie en rapport, non seulement avec la politique du gouvernement en place, mais aussi en tenant compte de la situation politique et économique d'une manière plus globale. 1.1. 1.2. 2.1. 2.2. 2.3.

Convergence Alimentaire Les erreurs de prix de la grande distribution Réagissez : Partagez : Avez vous confiance dans les prix que vous payez dans votre hypermarché habituel ? Et bien vous devriez les vérifier de temps à autre, car ils ne sont pas toujours exacts. C’est la Dgccrf qui a mené des vérifications dans 1 269 magasins, surtout des commerces alimentaires, équipés d’un système de lecture optique des codes barres. Des erreurs ont été constatées dans plus de la moitié des magasin contrôlés (54%). Des erreurs en votre défaveur dans 60% des cas Et devinez quoi ? Ces erreurs étaient défavorables aux consommateurs dans 6 cas sur 10. Ce n’est pas la première fois qu’on tire la sonnette d’alarme. Conclusion : si comme moi vous ne vérifiez jamais si il y a des différences les prix affichés dans les rayons et ceux payés en caisse, faites-le. Le dossier consommation – shopping

Comment rester un consom’acteur responsable Réagissez : Partagez : Voici une contribution de Tiana qui tente un point sur la consommation durable en ces temps de crise qui bouscule les ambitions écologiques des consommateurs. Il nous explique comment, selon lui, rester un consommateur responsable actuellement. Tiana Mialintsoa Sommes-nous prêts à devenir les principaux acteurs de la consommation responsable ? Bien que le public présente de nombreuses appréhensions au sujet de la consommation responsable, de plus en plus de Français s’initient à cette pratique, malgré la crise. Bien au contraire, la crise mondiale est plus qu’un simple prétexte qui nous pousse à revoir nos méthodes de consommation. Savons-nous réellement ce qu’implique une consommation responsable au sein des foyers ? Il convient de préciser que la consommation responsable régit l’attitude d’un consommateur en fournissant une dimension éthique dans ses actes d’achats. Comment devenir un éco-consommateur responsable et engagé ? Sur le même thème :

Related: