Prévenir les cancers professionnels. Une priorité pour la santé au travail / Guides / Publications Date de publication : 2014 Nombre de pages : 84 Auteur(s) : Marie-Anne Mengeot (journaliste) Avec la collaboration de : Tony Musu et Laurent Vogel (ETUI) Les cancers constituent la première cause de mortalité provoquée par de mauvaises conditions de travail en Europe. Pesticides : un tribunal reconnaît la maladie professionnelle d'un travailleur agricole Plus de dix ans après sa première demande de reconnaissance en maladie professionnelle auprès de la Caisse de mutualité sociale agricole (MSA), un retraité d'une coopérative agricole a obtenu, le 11 avril, devant la tribunal des affaires de sécurité sociale (TASS) du Vaucluse, la reconnaissance de son cancer du sang en maladie professionnelle, annonce Génération futures. Exposé à de nombreux pesticides pendant plus de trente ans, JM Bony a développé en 2002 un lymphome malin non hodgkinien (LNH). Il saisit deux ans après la MSA d'une demande de reconnaissance en maladie professionnelle. S'ensuit un long parcours judiciaire et le rejet de sa demande par trois Comités régionaux de reconnaissance des maladies professionnelles (Marseille, Montpellier et Lyon). Pour qu'une maladie soit reconnue professionnelle, il faut qu'elle soit inscrite dans un tableau agricole de maladies professionnelles et que les pathologies du plaignant répondent à un certain nombre de conditions.
Un roman-photo sur le stockage des produits chimiques (/accueil/pages-contact/FormulaireEnvoyerLien.html?currentUrl=http%3A%2F%2Fwww.inrs.fr%2Faccueil%2Fheader%2Factualites%2Froman-photo-stockage-produits-chimiques.html¤tTitle=Un%20roman-photo%20sur%20le%20stockage%20des%20produits%20chimiques) ( (/accueil/pages-contact/Choixformulaire.html? Mis en ligne le 20 juin 2012 L’INRS propose une nouvelle vidéo de sensibilisation sur le risque chimique. Télécharger (/accueil/produits/mediatheque/doc/audiovisuels.html?
Un combat pour en savoir plus sur les dangers du bitume le 10/06/2012 à 05:00 par P. Mi. Vu 458 fois Brice Werner, ancien secrétaire général du Cnir, Frédéric Mau, nouveau secrétaire, et Laurent Orlich, responsable fédéral de la CGT construction en charge de la santé au travail. Pendant une semaine, une cinquantaine de syndicalistes de la CGT ont participé, à La Petite Pierre, au Comité national de l’industrie routière (Cnir). « Des cobayes » Dans le même temps, la pathologie était reconnue par le comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles. « C’est un début de jurisprudence », souligne Frédéric Mau, nouveau secrétaire général du Cnir. Dans un dossier où beaucoup font le parallèle avec l’amiante, « ce procès pose aussi le problème de la communication des matériaux utilisés pour fabriquer les enrobés. « Les salariés sont les cobayes d’une industrie », enchaîne Frédéric Mau, affirmant que chaque entreprise fabrique ses enrobés « sans livrer aucune information sur ce qu’ils contiennent.
La mort est dans le pré, documentaire sur les agriculteurs victimes des pesticides La mort est dans le pré, documentaire sur les agriculteurs victimes des pesticides PARIS - Les agriculteurs subissent de plein fouet les effets des pesticides, déversés dans les champs depuis des décennies : plusieurs d'entre eux, malades, témoignent dans la mort est dans le pré, un documentaire d'Eric Guéret, qui les a suivis pendant un an. Leucémies, maladie de Parkinson, lymphome, cancers de la prostate ou de la vessie : les soupçons sont nombreux à être soulevés dans ce film (diffusé mardi sur France 2) qui se place clairement du côté de ceux dont la maladie n'est pas reconnue comme professionnelle par la Mutualité sociale agricole (MSA), faute de preuves. Des dossiers, dit un médecin, ne sont même pas présentés puisqu'ils sont toujours refusés. Selon ce praticien, on estime que 5 à 25% des cancers de la vessie - surnommé cancer des viticulteurs - sont liés à des produits toxiques. Mais si on touche à ces firmes, qui ont tous les moyens à leur disposition, qu'est-ce qu'on va devenir ?
Une alternative possible au perchloroéthylène Publié le 04/04/2012 à 10H50 | Mis à jour le 04/04/2012 à 12H47 - Vu 157 fois Nogent-sur-Seine- Le pressing nogentais a été pris en exemple pour avoir préféré l'aquanettoyage à l'utilisation du traditionnel solvant aujourd'hui discrédité En octobre 2010, Corinne Lefeuvre et Patricia Michon ouvraient un pressing avenue Pasteur à Nogent. Au lieu d'utiliser du perchloroéthylène comme la majorité de leurs confrères, elles ont préféré pratiquer l'aquanettoyage. « C'est du nettoyage à l'eau avec des lessives adéquates selon les programmes. Mon associée avait travaillé avec le "perchlo", elle connaissait ses désagréments », explique l'une des responsables. « Son odeur est entêtante. Des aides pour des projets de substitution La Fédération française des pressings et blanchisseries a récemment proposé au ministère de l'Écologie de remplacer les machines au perchlo de plus de 15 ans dès 2014 au lieu de 2018.