Petite et grande histoire du féminisme en bande dessinée
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Dans une tribune publiée par "Libération", la romancière, victime d'un viol dans son adolescence, salue le départ d'Adèle Haenel en pleine cérémonie. Elle dit "avoir envie de chialer de rage et d'impuissance". La romancière Virginie Despentes publie une tribune, lundi 2 mars, dans Libération, pour apporter son soutien à l'actrice Adèle Haenel, qui a quitté la cérémonie des César après la remise du prix de la meilleure réalisation à Roman Polanski.
Unpopular opinion : la tribune de Despentes n’est pas féministe, et elle a oublié Aïssa Maïga. – Collectif Auto Media énervé
Lorsqu’elle parle de sa colère lors de la nomination de Polanski aux César, et lorsqu’elle décrit la réaction d’Adèle Haenel, avant qu’elle ne rejoigne les manifestantes devant la salle, les mots de V. Despentes décrivent la rage que nous avons toutes ressentie, notre dégout commun de ce « crachat au visage », et la puissance que nous avons puisé grâce à A. Haenel. Le reste du texte, pour nous : elle aurait pu s’en passer. 1/ Il est étonnant que, alors que V.
Femmes « intruses » en politique, « stupides » dans la télé-réalité : le sexisme se porte bien
On n'a jamais autant parlé de sexisme qu'en 2019. Si bien qu'il n'est pas toujours facile de se rendre compte des réelles avancées sur le front de l'égalité. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE) vient de publier son rapport annuel sur l’état du sexisme en France. On n’a jamais autant parlé de sexisme qu’en 2019. « Jamais autant qu’au cours de l’année écoulée, le mot, et, plus largement, l’expression "violences sexistes et sexuelles", n’ont été utilisés », constate le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, énumérant l’ampleur du mouvement #MeToo, le recensement tout au long de l’année de 149 féminicides, les révélations de violences sexuelles dans la culture et dans le sport, la création de nouvelles infractions comme l’outrage sexiste, la mobilisation sans précédent de la société civile, le Grenelle des violences conjugales, et l’émergence de nouveaux sujets autrefois tabous comme celui des règles ou de la jouissance féminine. Brève actu
Le travail des femmes en France de 1914 à 2000
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Césars : ce que veut dire quitter la salle
Tribune. De la 45e cérémonie des césars, il ne faudra retenir que l’«exit» de plusieurs femmes dont Adèle Haenel qui quitte la salle en se fendant d’un «c’est une honte», Florence Foresti qui refuse de venir clôturer la soirée et qui écrira ce mot sur Instagram : «écœurée». Ce sont des mots de l’émotion et aussi du discernement. De la honte à l’écœurement se déploie une contre-scène à la masculinité affirmée des césars : une même puissance de nommer le mal, de faire jaillir l’indécence d’une situation.
Être un homme, un vrai : lexique de la néo-masculinité en ligne
Notre civilisation serait en crise, et le féminisme en serait la cause : c’est en tout cas l’avis des néo-masculinistes. Très présents sur certains forums et sites spécialisés, ils y développent leur propre langage, fondé sur la hiérarchie entre les sexes et le retour aux valeurs traditionnelles. Décryptage des formules et acronymes les plus courants dans leur jargon.
Féminisme, rien n'est acquis !
On accole beaucoup d’images, et parfois péjoratives derrière le terme « féministe ». Certains n’imaginent souvent qu’un gang de femmes en colère, hurlant leur indignation à qui veut l’entendre. Et pourtant, le féminisme n’est autre qu’un mouvement politique, philosophique et idéologique qui cherche à promouvoir les droits des femmes, dans la vie réelle comme dans la vie publique, afin de gommer les inégalités entre les sexes.