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Guide de survie aux abrutis: le bocal à con

Guide de survie aux abrutis: le bocal à con
Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes. Ainsi l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans : le bocal à con. J’en reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Le concept est ultra simple. Le bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Relation à soi / aux autres: le cocktail indispensable Protège tes fesses! Related:  communication

Pyramide des besoins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] Représentation dynamique de la hiérarchie des besoins. Besoins physiologiques Besoins de sécurité Besoins d'appartenance et d'amour Besoins d'estime Besoin d'accomplissement de soi C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. L'émergence soudaine des besoins ;La satisfaction absolue des besoins.

Compétences relationnelles (3): savoir dire non Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J.

surtout ne pas etre différent ou ne surtout pas le montrer ... Le bouc émissaire : pour l’avoir certes rarement mais tout de même parfois été ! Petits conseils à mes enfants ... Différent des autresQuoi qu’il se passe dans une école, tous les enfants trouvent que "c’est la faute de Untel" : un manteau est déchiré, on perd le match de football, il y a du bruit dans la classe, c'est toujours Untel qui est désigné coupable. Pourtant, Untel n'abîme pas les manteaux, joue très bien au football, et ne fait pas de bruit en classe. Pourquoi un individu précis devient-il le "bouc émissaire" ? Le "bouc émissaire "est donc celui qu’un groupe accuse de toutes les fautes et de tous les malheurs. Origine du nom "bouc émissaire" Dans la religion juive, un prêtre posait les mains sur la tête d’un bouc avant de l’envoyer dans le désert. On n’emploie parfois aussi l’expression "tête de Turc" pour désigner la personne dont tout le monde se moque. Quelques exemples Les boucs émissaires ont toujours existé. Un coupable… pour cacher les vraies causes

Faire quelque chose pour soi: parce que nous le valons tous! Comme il est difficile de faire quelque chose pour soi et rien que pour soi! Non parce que quand même, il ne faudrait pas être un gigantesque égoïste nourri à l’individualisme comme d’autres sont nourris aux cornflakes et se gonfler tellement de son auto-importance qu’on pourrait finir comme une certaine grenouille dans une certaine fable! Allez, ré-apprenons à faire parfois quelque chose pour nous-mêmes, parce que c’est bon pour tous;) L’autre jour, ma cliente Philomène m’explique en long en large et en travers qu’elle aurait besoin de dégager du temps pour elle, parce qu’elle ne supporte plus ses douleurs chroniques dans le dos et qu’elle a besoin de rééducation et de natation pour entretenir une posture et une musculature qui l’aideraient considérablement. Nous rechignons à faire quelque chose pour nous-même à cause du regard potentiellement désapprobateur des Autres. – Une bonne humeur bienfaisante. Voir aussi Aller plus loin

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene 1.

46: Procrastination : comment la vaincre 1. Procrastination “Good resolutions are useless attempts to interfere with scientific laws. Their origin is pure vanity. Their result is absolutely nil.“Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray1 La procrastination, c’est la difficulté à commencer quelque chose, la tendance à reporter à plus tard ce qui devrait être fait tout de suite. Elle est plus que répandue : “Les estimations indiquent que 80% à 95% des étudiants de 1er cycle s’engagent dans la procrastination (Ellis & Knaus, 1977; O’Brien, 2002), environ 75% d’entre eux se considèrent eux-mêmes comme procrastinateurs (Potts, 1987) et presque 50% procrastinent régulièrement et problématiquement (Day, Mensink, & O’Sullivan, 2000; Haycock, 1993; Micek, 1982; Onwuegbuzie, 2000a; Solomon & Rothblum, 1984). Ses effets ont été démontrés désastreux. Pathologie La procrastination n’est pas une maladie mentale et ne relève pas de la psychiatrie. Les aspects positifs Pourquoi alors la procrastination serait-elle négative ? L’Effet Zeigarnik Notes 2.

Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale Technique d'apprentissage dans les écoles en Finlande Une technique à modéliser dans nos écoles partout dans le monde. C'est d'une simplicité, les enseignants démontrent aux étudiants à construire une carte mentale pour mieux apprendre et surtout ils axent sur l'individualité de chacun dans la compréhension. Un respect et une reconnaissance de l'être est préconisé dans cette approche. BRAVO chers Finlandais! La carte mentale permet de faire immerger le génie en nous, inventé par un psychologue anglais Tony Buzan. Un logiciel vous est offert gratuitement: Méthode d'apprentissage Finlandaise : la carte mentale ...envoyé par le-comite-invisible. - Les derniers test hi-tech en vidéo.

6 histoires drôles qui sont de vraies leçons de vie professionnelle Vous connaissez ces articles qui vous donnent des conseils pour réussir votre vie professionnelle ? Eh bien là, c'est pareil, mais en plus sympa à lire.Oui, on peut parler de management et de développement de soi au travail avec des petites histoires ! Je suis sûr que La Fontaine n'aurait pas fait mieux... @Andrey Pavlov Un homme rentre dans la salle de bains alors que sa femme vient juste de sortir de la douche, quand la sonnette se fait entendre. La femme se couvre vite avec sa serviette, et dévale les escaliers pour ouvrir. Quand elle ouvre la porte, elle se retrouve nez-à-nez avec Bob, leur voisin d’en face. Avant qu’elle n’ait eu le temps de dire un mot, Bob s’écrie : « Je te donne 800€ si tu fais tomber la serviette. » Après un temps de réflexion, la femme un peu gênée s’exécute finalement et se retrouve totalement nue devant Bob. La femme se rhabille en vitesse et remonte à l’étage. « Rien, c’était juste Bob, le voisin d’en face. » Honteux, le prêtre retire prestement sa main.

10 changements qui se produiront quand vous appréciez d'être seul Certaines personnes pensent que le fait d’être «seul» est une mauvaise chose. Cela signifie soit que vous êtes antisociale, ou non désiré, et dans tous les cas, ça ne fait pas bonne figure. En réalité, être solitaire n’est pas nécessairement une mauvaise chose, car il y a de nombreux bénéfices provenant de la solitude quand vous apprenez à l’accueillir à bras ouverts. Cela ne sous-entend pas d’adopter le style de Tom Hanks dans le film « Seul au monde », parce que personne ne peut discuter des avantages et de la joie provenant de l’accomplissement des relations avec les autres personnes. Mais cependant, lorsque vous apprenez à apprécier d’être seul, vous grandissez en tant que personne. Voici dix changements étonnants qui se produiront dans votre vie lorsque vous apprenez à apprécier d’être isolé. 1. Souvent quand nous sommes entourés d’autres personnes, nous dépensons beaucoup d’énergie. 2. Les événements dans votre vie sont toujours en mouvement et passent à une vitesse folle. 3. 4. 5.

This is how our bodies betray us in a lie Let me start with a question: How do you know if a person is lying? If you’re like most people, your first response will be something like “Liars don’t make eye contact.” In a survey of 2,520 adults in sixty-three countries, 70 percent of respondents gave that answer. People also tend to list other allegedly telltale signs of lying, such as fidgeting, nervousness and rambling. When we are being inauthentic — projecting a false emotion or covering a real one — our nonverbal and verbal behaviors begin to misalign. This idea is not exactly new. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. When people lie, they are juggling multiple narratives: what they know to be true, what they want to be true, what they are presenting as true, and all the emotions that go along with each — fear, anger, guilt, hope. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. Lying and leaking go hand in hand. All participants watched a videotape of ten strangers speaking.

Organisation : la faillite du système pyramidal On lui a prêté tant de vertu qu’aujourd’hui certains ont encore du mal à en voir les limites. En fait, il n’y a qu’un domaine dans lequel la hiérarchie a montré une certaine efficacité : l’organisation militaire ! Et ce n’est pas un hasard, le système pyramidal est construit sur un rapport de force dont les ressorts ont été tantôt le pouvoir, tantôt l’argent, tantôt l’opportunisme et souvent le tout à la fois. La hiérarchie, telle qu’on la connaît, est essentiellement concentrée sur le contrôle des subordonnées et la « répression » des tentatives d’autonomie. Au niveau politique, rien ne va plus ! Il est un pays qui échappe pour le moment à cette désillusion collective, c’est la Suisse ! Pour ce qui est des entreprises et plus généralement des organisations, le constat d’échec est probablement encore plus préoccupant. Les « élites » économiques sont rompues aux rapports de force et aux alliances de connivence, elles « roulent » pour elles. Mais, il ne faut pas rêver ! J'aime :

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