background preloader

Dépollution des sols : la Chine cultive les plantes" accumulatrices"

Dépollution des sols : la Chine cultive les plantes" accumulatrices"
Les premières mentions de fougères utilisées comme accumulateurs d’arsenic remontent à 2001, année de la publication d’un article dans Nature. Le 3 juin 2009, le China Daily a publié un long entretien avec Chen Tongbin, spécialiste des sols à la CAS (Académie Chinoise des Sciences). Ce chercheur explique qu’après de longues années de travaux, il a mis au point une remédiation des sols pollués à l’arsenic dès 1999. Chen continue ses recherches sur le sujet mais ses découvertes sont aussi utilisées opérationnellement, par exemple dans le Hunan, à proximité de sites miniers. Ils ont entraîné, dans un rayon de 30 à 40 km, de fortes pollutions. La fertilité des sols cultivés est réduite à néant. Phytoremédiation : une technique "améliorée" Les sols peuvent être dépollués en 5 ans par la culture de Pteris vittata L ( Ptéris rubané), une fougère de la famille des Pteridacae. La pollution des sols préoccupe la Chine Source : Agence pour la diffusion de l’information technologique (Adit) Voir le site

The Urb – Urban Beehive for Homes by Chris Weir Urban Beehive The reddot award winning Urban Beehive from Philips Design shows us that ant farms are obsolete and we should be gunning our attention on bees. The Urb is in line with the concept and makes beekeeping a ‘less daunting and more attractive process for novices.’ The biggest advantage is that you don’t need to adorn the protective garb when you handle the bin. Designer: Chris Weir edenspace corporation Phytoremédiation, les désillusions Les plantes capables d'accumuler les polluants suscitent un grand espoir pour la réhabilitation des sols contaminés. Pourtant, toutes les étapes du processus ne sont pas encore maîtrisées. La communauté scientifique s'était peut-être emballée un peu trop rapidement sur la phytoremédiation, cette technique de dépollution des sols par les plantes. « Depuis le début des années 80, époque où le concept s'est développé », comme le rappelle Jean-Louis Morel de l'Ecole nationale supérieure d'agronomie et des industries alimentaires (INRA, Nancy), de nombreuses espèces hyper-accumulatrices ont pourtant été découvertes. En 2001, Lena Ma de l'université de Floride (Etats-Unis) a ainsi montré que la fougère Pteris vittata est capable d'accumuler l'arsenic dans ses feuilles. Ces propriétés ont très vite attiré l'attention des investisseurs, ainsi la société Edenspace (Virginie) détient, depuis, les droits exclusifs de son utilisation aux Etats-Unis.

Istanbul: City of Seeds It was generous of the The Building Information Centre (YEM) and 34Solo to host an xskool event in their city last week. Our starting premise, after all, was that Turkey’s 30 year long construction boom is losing momentum. True, the sound of jackhammers was pervasive in Istanbul during our visit – but the cold winds of the global crisis are making themselves felt. An estimated 600,000 dwellings stand unsold in the city and, in January, a first attempt to raise private funding for a third bridge across the Bosphorous failed. Back in 1995, Mayor Erdogan of Istanbul declared that a third bridge would be “murder” for forests and reservoirs around the city. What drives this ecocidal policy? Trouble is, just because a property bubble is Too Big To Fail does not mean it will not fail. A next economy: already here This is where xskool comes in – as a kind of social seed exchange of the next economy. The city still boasts, too, an amazing infrastructure of small scale manufacturing.

Pour dépolluer, faisons pousser les plantes Les hommes polluent, les plantes limitent les dégâts. Comment ? Grâce à leurs capacités à stocker voire à éliminer les produits toxiques qui les environnent. Des scientifiques de l’université de Rennes 1 [1] ont ainsi découvert comment faire pousser des plantes dans des milieux ou elles n’auraient pu résister en temps normal. « Bien entendu les plantes ont leurs limites et ne peuvent supporter des accumulations de polluants trop importantes qu’on pourrait retrouver au cœur de certains sites industriels. La phytoremédiation semble avoir de nombreux avantages. (Crédit photo : Photo-libre.fr) [1] Equipe Mécanisme à l’origine de la biodiversité de l’unité mixte de recherche UMR-CNRS 6553-Ecobio, rattachée à l’université de Rennes 1 et au Centre Armoricain de Recherches en Environnement (CAREN).

Vertigo - vol 10 - Agriculture urbaine Sous la direction de Eric Duchemin (VertigO - La revue électronique en sciences de l’environnement) (Institut des sciences de l’environnement, Université du Québec à Montréal) (Université du Québec à Montréal), Luc Mougeot (CRDI, Canada) et Joe Nasr (Collège Ryerson, Canada) Depuis maintenant plus d’une décennie - selon la plus récente estimation disponible – ils sont mondialement environ 800 millions à pratiquer l’agriculture urbaine (AU). 200 millions d’entre eux réalisent de la production de marché et 150 millions le font à plein temps. Ces gens produisent environ 15% de la production mondiale de nourriture. Selon les prédictions, ce pourcentage pourrait doubler dans la prochaine génération. Maison Phytoremédiation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple de phytoremédiation, ici sur une ancienne plate-forme gazière de Rønnede (Danemark) via plusieurs espèces de saules (Salix). La phytoremédiation est la dépollution des sols, l'épuration des eaux usées ou l'assainissement de l'air intérieur, utilisant des plantes vasculaires, des algues (phycoremédiation) ou des champignons (mycoremédiation), et par extension des écosystèmes qui supportent ces végétaux. Ainsi on élimine ou contrôle des contaminations. La dégradation de composés nocifs est accélérée par l'activité microbienne[1]. Qu'est-ce que la phytoremédiation ? L’étymologie provient du grec « phyton » = plante, et du latin « remedium » = rétablissement de l'équilibre, remédiation. Principe de phytoremédiation[modifier | modifier le code] Grands principes de la phytoremédiation. Effet rhizosphérique[modifier | modifier le code] Principe de décontamination[modifier | modifier le code]

Et si on transformait le toit de votre immeuble en potager ? Une ferme Lufa sur un toit de Montréal (Fermes Lufa) Une batavia fraîchement cueillie qui craque sous la dent est un plaisir simple mais difficile à satisfaire pour un citadin. A mesure que les villes s’étendent et que les bonnes terres agricoles s’épuisent, l’appétit des consommateurs pour les produits frais et locaux se fait plus pressant. L’idée En Amérique du Nord, l’agriculture urbaine est en plein essor. Depuis, les jardins sur les toits de la « Grosse Pomme » ont fait souche et pris de l’ampleur. Une ferme sur un toit, « l’agriculture de l’avenir » Son créateur, Mohamed Hage, un jeune informaticien né au Liban, aime raconter s’être inspiré de la lufa (ou loofah), une variété de courge grimpante qu’il voyait pousser, enfant, jusque sur le toit de sa maison natale : « Pour moi, c’était tout naturel de construire une serre sur un toit. En 2009, il fonde la société Les fermes Lufa qui commercialise depuis avril 2011 les récoltes de sa première serre urbaine. Ce qu’il reste à faire

Related: