John Coplans. Self-Portrait (Feet Frontal). 1984
This is a black and white photograph of the artist’s feet, greatly enlarged. Touching at the joints of the big toes, the feet are flexed so that the toes remain on the ground while the heels are raised. The image is cropped at the ankles to emphasise the narrow space between the arches of the feet.
Norman Rockwell ( ) Triple autoportrait . 1960
Triple Self-Portrait, 1960 Humor and humility were essential aspects of Norman Rockwell's character, so when asked to do a self-portrait that would announce the first of eight excerpts of his autobiography, the results were lighthearted and somewhat self-deprecating. Rockwell was a stickler for neatness, but here he has scattered matchsticks, paint tubes, and brushes over the studio floor. The glass of Coca-Cola, Rockwell's usual afternoon pick-me-up, looks as if it will tip over at any moment. Other discrepancies can be explained away.
Jeff Koons (1955-). Autoportrait. 1991. Sculpture en marbre.
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Chuck Close. (1940 - ). Autoportrait. 1991
Like many Post–Minimalist artists, Close values handiwork; he has used obsessively time-consuming and labor–intensive techniques to make portraits in a variety of mediums. The meticulous photorealism with which Close began his career, demonstrated in his portrait paintings of the 1970s and 1980s, gave way in the 1990s to an increasingly painterly style. To make Self-Portrait he mapped a large Polaroid photograph onto a roughly drawn grid of squares, then used a somber palette of grays and browns to fill in the squares with organic shapes resembling lozenges, donuts, and hot dogs. Together the shapes form an allover, teeming field of dark–hued abstraction that, from the short distance of a few steps, transforms into a recognizable, head–and–shoulders likeness of the artist. Viewers can see the component parts and the cohesive whole as well as the two-way street between them. In this way they collaborate with the artist in the breakdown and composition of the image.
Marc Chagall (1887-1985). Autoportrait aux sept doigts. 1912
Né le 7 juillet 1887 à Vitebsk en Biélorussie, Marc Chagall à toujours été logiquement "marqué" par le chiffre sept. Installé au début de l'année 1912 à La Ruche (à Montmartre, au Bateau-lavoir et aux alentours), Chagall, s'il peint à Paris, son coeur et son esprit sont tournés vers la Russie où l'attend Bella Rosenfeld, sa première femme, qui aura une grande influence sur son travail. Derrière lui nous pouvons apercevoir à travers une petite fenêtre, une vue sur Paris et la Tour Eiffel, emblème de la modernité de l'époque, flanquée d'un petit parachutiste atterrissant sur les toits. Devant lui, nimbées dans un nuage de nostalgie justement, l'église et les maisons de Vitebsk.
Sandro Botticelli (1445-1510) L'Adoration des Mages. 1475 (Autoportrait à droite de la composition)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Adoration des mages (Adorazione dei Magi en italien)[1] est un tableau exécuté autour de 1475 par Sandro Botticelli (qui en a peint plusieurs sur ce thème[2] et en laissera une, inachevée, à sa mort en 1510). Cette peinture réalisée en tempera sur bois de 111 × 134 cm, conservée[3] aujourd'hui au musée de la Galerie des Offices de Florence a été commissionnée par Gaspare di Zanobi del Lama, un banquier florentin, courtisan de la cour des Médicis, pour être le retable de la chapelle Lami de la basilique Santa Maria Novella. L'Adoration des mages est l'épisode de la vie de Jésus qui s'inscrit juste pendant la Nativité, un des thèmes de l'iconographie chrétienne. Il montre Jésus enfant qui vient de naître, entouré de sa mère Marie, de son père Joseph, souvent en retrait. Les cortèges s'étalent en deux groupes distincts ramassés à droite et à gauche sans profondeur, mis à part deux ou trois personnages éloignés dans les ruines de gauche.
Arno Rafael Minkkinen (1945-). Autoportraits
Arno Rafael Minkkinen est un photographe américain d’origine finlandaise. Depuis les années 70 il réalise ces autoportraits en noir et blanc où son corps nu se contorsionne et se tord pour s’intégrer dans les formes et les lignes naturelles du paysage. Il y a plus d’images sur son site.
Yan Pei-Ming (1960- ). Autoportrait rouge. 2009
Né à Shanghai en 1960, Yan Pei-Ming arrive à Dijon en 1980 à l'âge de 20 ans où il intègre l'école des Beaux-arts. Rendu célèbre par ses portraits de Mao traités en grisaille sur de grands formats traduisant avec fougue les traits de ses modèles, l'artiste décrit sa pratique de la peinture comme « une attaque, une détermination qui a un sens à la fois spirituel, moral mais aussi critique ». Pensionnaire à la Villa Médicis en 1993, il va alors concevoir une oeuvre monumentale, s'inspirant d'un conte chinois, Les 108 brigands, composé des portraits de son entourage à Rome et des visiteurs qu'il a reçus. C'est ainsi qu'il mêle avec talent l'histoire et l'actualité.
Lee Friedlander Puts Your Selfies to Shame
Self portrait, Santa Fe, 2008 Shadow Against Grass Sod, 1960 “At first, my presence in my photos was fascinating and disturbing. But as time passed and I was more a part of other ideas in my photos, I was able to add a giggle to those feelings.” – Lee Friedlander
Egon SCHIELE (1890-1918). Autoportrait.1912.
"Entraver un artiste est un crime, cela revient à assassiner une vie en germe!" Egon Schiele, 23 avril 1912 Egon Schiele, peintre autrichien, naît à Tulln à 40 km de Vienne, le 12 juin 1890. Il décède le 31 octobre 1918. Egon Schiele - Autoportrait - 1912 A l’age de 16 ans Egon Schiele réussit l’examen d’admission à l’académie des Beaux-arts de Vienne.