Comment la désinformation sur le climat se diffuse et se finance sur YouTube « Le changement climatique est l’un des plus grands défis de notre époque […], des mesures immédiates doivent être prises à l’échelle mondiale pour limiter et, idéalement, inverser [ses effets] », clame Google dans son rapport environnemental 2019. Pourtant, malgré ces propos volontaristes, l’entreprise semble bien démunie, voire complaisante, face à la diffusion de contenus climatosceptiques sur sa plate-forme de vidéos YouTube, selon un rapport de l’ONG Avaaz publié jeudi 16 janvier. Ce document d’une trentaine de pages compile des éléments attestant de l’ampleur de la circulation de thèses fallacieuses sur le changement climatique sur YouTube. Il montre également comment le fonctionnement de la plate-forme vidéo peut amplifier ce phénomène. L’ONG souligne aussi que les contenus problématiques sont souvent pleinement intégrés dans son système de monétisation publicitaire. « Détoxifier l’algorithme de YouTube » « Ces contenus bénéficient de l’algorithme de recommandation de YouTube.
L’Internet pendant le confinement On parle beaucoup en ce moment d’une « saturation des réseaux », de « risques pour l’Internet », qui justifieraient des mesures autoritaires et discriminatoires, par exemple le blocage ou le ralentissement de Netflix, pour laisser de la place au « trafic sérieux ». Que se passe-t-il exactement et qu’y a-t-il derrière les articles sensationnalistes ? La France, ainsi que de nombreux autres pays, est confinée chez elle depuis plusieurs jours, et sans doute encore pour plusieurs semaines. La durée exacte dépendra de l’évolution de l’épidémie de COVID-19. Certains travailleurs télétravaillent, les enfants étudient à la maison, et la dépendance de toutes ces activités à l’Internet a suscité quelques inquiétudes. On a vu des médias, ou des dirigeants politiques comme Thierry Breton, réclamer des mesures de limitation du trafic, par exemple pour les services vidéo comme Netflix. Réseaux et services D’abord, il faut différencier l’Internet et les services qui y sont connectés. Conclusion
Créez des contextes d'apprentissage riches et signifiants grâce à l'actualité! Q : À qui s’adresse la plateforme SCOOP!? R : Aux enseignants du secondaire et du 3e cycle primaire. (Équivalent pour la France : 6e et +) Q : Quelles sont les disciplines visées? R : Variées, toujours en lien avec les TIC, simplement! Utilisation de médias et/ou applications Web, recherche documentaire, exploitation du TBI, rédaction et création à l’aide de logiciels appropriés, publication et partage des productions finales, etc. Principalement en : – Français, langue d’enseignement : beaucoup d’accent sur la compréhension écrite, expression orale et techniques d’écriture variées, ainsi que la synthèse des idées! Parfois aussi : anglais (lecture et compréhension orale) et arts (moyens d’expression artistique variés pour concrétiser les projets). Idéal aussi pour enrichir les attentes des compétences transversales! Q : Qu’est-ce qui est compris dans mon abonnement? Les guides SCOOP! Q : Qu’est-ce que l’apprentissage par défis (challenge based learning)? Sources : – Wikipédia. R : Non.
Propagande, publicité, information et désinformation - Université de tous les savoirs Statut Psychiatre et psychanalyste, enseignant en psychopathologie à l'Université de Paris VII (Censier), chargé d'une recherche sur " les effets des images chez les enfants et les adolescents " par le Ministère de la Culture, la Direction de l'action sanitaire et sociale, le CSA, et le CNC. Diplômes Docteur en médecine, et en psychologie. Spécialités Spécialiste de la bande dessinée, de Tintin en particulier (qu'il a le premier analysé sous un angle psychanalytique), ses recherches se sont orientées dans deux directions : d'une part, les secrets de famille et la honte qui les accompagne, d'autre part, les diverses formes d'images qui nous environnent (s'intéresse à la photographie, propose une théorie psychanalytique des images). Particularités Vivement intéressé par la bande dessinée sous un angle psychanalytique, Serge Tisseron est lui-même dessinateur humoriste et auteur de bandes dessinées (Les oreilles sales, aux Editions Les Empêcheurs de penser en rond, par exemple).
sans titre Dans nos poches, entre nos mains, notre smartphone est devenu l’incontournable compagnon de nos vies contemporaines. Réseaux sociaux, commandes à distance, recherches multiples… Comment se passer de ces applications qui rythment notre quotidien et facilitent nos existences ? De Uber Eats à Facebook en passant par Google, « Invisibles - Les travailleurs du clic » (Henri Poulain et Julien Goetz) est une série documentaire qui part à la rencontre de celles et ceux qui travaillent de l’autre côté du clic et dont on ignore souvent l'existence. (Ce programme est disponible en visionnage presse à la demande) Invisibles - Les travailleurs du clic : une série documentaire de 4 épisodes de 26 mn réalisée par Henri Poulain, écrite par Julien Goetz et Henri Poulain d’après l’expertise éditoriale d’Antonio Casilli, produite par StoryCircus avec la participation de France Télévisions. Synopsis : Réseaux sociaux, commandes à distance, recherches multiples... Épisodes : Henri Poulain – Auteur et réalisateur
Un chemin TORtueux Il n’est jamais négligeable de prendre 10 minutes pour expliquer ce qu’est internet, se sont des millions d’ordinateurs connectés entre eux et qui se parlent, tout simplement ! La connexion se fait à plusieurs endroit, en tout premier chez le fournisseur d’accès qui va connecter votre ordinateur au réseau internet, ensuite dans internet il y a des nœuds d’échange qui sont connectés entre eux afin que tout le monde puisse se parler et surtout pallier à une panne, si un noeud tombe en panne, le trafic (nos mails, surf, …) passera ailleurs pour trouver son chemin jusqu’à bon port. Toute cette infrastructure, Internet, repose sur des machines, des ordinateurs dédiés à une tâche unique à savoir acheminer des information d’un point à un autre. On appelle ces ordinateurs qui composent Internet des routeurs (le nom est explicite, cela route les connexions vers la bonne destination, si je demande à mon navigateur d’aller sur www.mesrecettes.fr, j’y vais, merci aux routeurs). Étape 3 : l’enveloppe
Deux nouveaux outils pour accompagner le Cadre de référence de la compétence numérique mis à jour le : 3 février 2020 à 16h59 min Le 16 janvier dernier, le Ministère de l’éducation et de l’enseignement supérieur (MÉES) présentait lors d’un webinaire le Guide pédagogique et le Continuum de développement de la compétence numérique, deux nouveaux outils ayant le mandat d’opérationnaliser le Cadre de référence de la compétence numérique. Soutenir le développement des élèves… mais aussi des enseignants La compétence numérique et tout ce qui l’entoure suscitent un engouement toujours aussi soutenu, comme souligne d’entrée de jeu Danielle Boucher, consultante en gestion de l’éducation et animatrice de ce webinaire. À cet effet, plusieurs exemples ont été partagés pendant ce webinaire, tels que : Rappelons que la compétence numérique en éducation se décline en 12 dimensions, décrites dans le Cadre de référence : Ces dimensions s’inscrivent dans un développement continu, autant du côté du personnel enseignant que des élèves. Le Guide pédagogique Le Continuum de développement Autres
Introduction au MOOC "Internet, les autres et moi" - Compétences numériques Introduction au MOOC "Internet, les autres et moi" MOOC "Internet, les autres et moi" : cours en ligne délivré du 27 janvier 2014 au 31 mars 2014 sur la plateforme FUN-MOOC. À propos du cours Ce MOOC fait partie de la collection de MOOC « Compétences numériques et C2i ». De nombreux services en ligne permettent d’entrer en contact avec d’autres, que ce soit via leur profil ou via les contenus qu’ils diffusent ou re-diffusent. Le travail en équipe restreinte, ou en réseau plus large, conduit à des échanges et des productions communes. Sur le web, on met en ligne régulièrement des données personnelles et des informations privées, que ce soit pour remplir un formulaire d’inscription à un service en ligne, ou en échangeant des messages, des photos avec ses contacts. Les ressources qu’on trouve en ligne sont généralement libres d’accès. Ce qu’on trouve en ligne est généralement libre d’accès. Plan du cours
L'Agence des Usages L’information est devenue surabondante sur internet alors que les ressources attentionnelles dont nous disposons pour les traiter sont limitées. Il existe de très nombreuses définitions de l’attention. De façon générale, on peut la définir comme la faculté permettant de sélectionner mentalement certaines informations pour se diriger vers une action. Les psychologues cognitivistes distinguent trois formes d’attention (Olano, 2017) : l’attention soutenue permet d’accomplir des tâches complexes dans la durée (ex. : comprendre un théorème de mathématiques ou jouer une partition musicale) ;l’attention divisée permet d’alterner entre plusieurs tâches complexes dans un même laps de temps (on parle aussi de gestion multitâches) ; l’attention sélective permet de filtrer les stimulis extérieurs pour se concentrer sur une tâche à réaliser. Ces dernières années, les médias ont popularisé l’idée que nos capacités d’attention seraient diminuées à cause d’une surexposition aux écrans.
Internet de tout et n'importe quoi A l’heure où les objets et les espaces connectés ne se comptent plus, Internet de tout et n'importe quoi dresse un tableau de l’omniprésence du numérique et examine ce qui se passe lorsque nous adoptons la commodité des objets « intelligents » sans comprendre pleinement les conséquences pour la santé, la société ou la planète. Plus moyen d’échapper à Internet. A l’heure où les objets et les espaces connectés ne se comptent plus, certains estiment vivre une utopie futuriste, d’autres un cauchemar où la surveillance est généralisée. Le sympathique Brett Gaylor est notre guide pour cette découverte des personnes et des lieux qui font fonctionner l’« Internet des objets ». Misant sur l’humour et un rythme enlevé, Internet de tout et n'importe quoi éclaire les vastes ramifications du Net d’aujourd’hui.
Sobriété numérique ! Si vous pensez qu’écologiquement parlant, utiliser un manuel numérique est plus propre que de se servir d’un manuel papier…vous avez tout faux ! Si vous pensez qu’écologiquement parlant, regarder une vidéo sur votre smart phone est plus propre que de se planter devant la télévision…vous avez tout faux ! Si vous pensez qu’écologiquement parlant, utiliser sa boite mail est plus propre qu’utiliser sa boite aux lettres …vous avez encore tout faux ! Associée pendant longtemps à la transformation numérique de notre société, l’idée d’une « révolution écologique » liée à la dématérialisation des données semble avoir fait long feu. Au contraire, l’augmentation exponentielle du besoin en énergie de gigantesques data centers dédiés à l’accumulation et la circulation des données sur internet interroge de plus en plus les vertus d’un tel modèle, tout comme l’exploitation polluante de ressources rares sur laquelle repose le système technologique. Quelques chiffres pour s’en convaincre :
Du big data aux données personnelles - Archives vidéo et radio Ina.fr