Intelligence collective: Les Introverties et extraverties sont complémentaire | Carnet de réflexion de fritz_c, catalyseur d'innovation Certaine lecture d’article vous donne envie d’écrire. L’article Le risque de l’idéologie du groupe d’internet actu est de cela. "On le doit à Susan Cain, auteure d’un ouvrage sur la question intitulé Quiet: The Power of Introverts in a World That Can’t Stop Talking (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler)." Cette mise en avant de la spécificité des introvertis est très intéressante. J’ai entendu parlé de management d’introverti/extraverti dans les projets la 1er fois lors de ma formation MS Innovation Technologique et Management de Projet. Ce regard m’est toujours utile dans mes missions. Je m’éloigne du propos de base… Je ne suis pas complètement objective car je suis créative ET extraverti selon la définition MBTI. Sans être toujours créatif, les introvertis n’en reste pas moins complémentaire dans une équipe projet. " Pendant une réunion de travail, tout le monde part dans tout les sens. Like this: J'aime chargement…
McLuhan Meets the Net By Larry Press Communications of the ACM, Vol 38, No 7, July, 1995, pp 15-20 In 1964, Marshall McLuhan published Understanding Media, a classic discussion of media and their effects on society and the individual. Understanding Media helped transform the 52-year old McLuhan from a somewhat obscure English professor at the University of Toronto, to an academic and media star, and industrial consultant. McLuhan understood that computers were a communication medium, but did not discuss them in Understanding Media or subsequently, although he lived until 1980 (footnote 1). What would McLuhan have thought of the Net? Media -- Extensions of Man (subtitle) McLuhan defines media in the subtitle of the book -- "The Extensions of Man." The medium is the message. (7) This is the title of Chapter 1. McLuhan would not have written about the content on the Net -- controversial issues like dirty pictures or businessmen "spamming" us with unwanted advertising. Media shape both society and individuals. 1.
Le risque de l’idéologie du groupe La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Times transmis par une aimable correspondante. Il s’intitule : « La domination de la nouvelle idéologie du groupe », et on le doit à Susan Cain, auteure d’un ouvrage sur la question intitulé Quiet : The Power of Introverts in a World That Can’t Stop Talking (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n’arrête pas de parler). La solitude n’est plus à la mode, commence Susan Cain. Nos entreprises, nos écoles, notre culture sont esclaves d’une nouvelle idéologie qui postule que la créativité et l’efficacité naissent dans des lieux étrangement grégaires. Mais il y a un problème dans cette manière de voir, considère Susan Cain. Culturellement, explique Susan Cain, nous sommes à ce point fasciné par le charisme que nous ignorons la partie silencieuse du processus créatif. Et pourtant, poursuit Susan Cain, la nouvelle idéologie du groupe a pris possession de nos lieux de travail. Image : CC. Xavier de la Porte
Et si le travail en groupe tuait la créativité? Première salve tirée par Susan Cain, auteure d'un ouvrage intitulé « Quiet : The Power of introverts in a World That Can't Stop Talking » (Silence : le pouvoir des introvertis dans un monde qui n'arrête pas de parler). Elle y dénonce la culture de l'hypermodernité dans laquelle tout échange valable se base sur les réunions, sur un espace de travail partagé en commun et sur les réseaux intranet. La vogue de l'intelligence collective postule la grégarité comme moteur de la créativité et de l'efficacité. Trouver une idée, un travail individuel Les travaux des psychologues Mihaly Csikszentmihalyi et Gregory Feist ont ainsi montré que les plus créatifs sont souvent introvertis parce qu'ils seraient plus à l'aise dans le travail solitaire et mieux concentré sur la tâche. Se méfier de l'idée fixe collective L'expression de soi
McLuhan Galaxy Benevolent Dictator for Life Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Benevolent Dictator for Life (BDFL) est le surnom donné à une personne respectée de la communauté de développement open source qui définit des orientations générales d'un projet donné. Il signifie littéralement Bienveillant dictateur à vie. Ce nom est un jeu de mots entre dictateur bienveillant et président à vie. Le BDFL est la personne qui détient effectivement des pouvoirs similaires à ceux d'un dictateur sur ce projet. Par extension, cette dénomination a également été donnée à certains fondateurs de tiers-lieux, lieux où la culture libre et l'absence de hiérarchie est mise en avant. Antoine Burret [1], auteur de "Tiers-lieux et plus si affinités" [2] insiste sur la différence avec un "chef", ou supérieur : "Il y a une différence importante, c’est qu’il n’y a pas de lien hiérarchique. Exemples de "dictateurs bienveillants à vie"[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]
16 Tips for Being Productive When Working from Home I work from home. My friends think I am the luckiest. I have all the time in the world. I wish all of that was true. Despite the benefits of working from home, it is no less challenging than an office job. Scheduling 1. 2. 3. 4. Handling Distractions 5. 6. 7. 8. Monitoring 9. 10. 11. 12. 13. Health, Fun & Life 14. 15. 16. Popular search terms for this article: being productive at work, tips for being productive, how to be productive at home, productive while working home, being productive at home, tips on being productive, working from home tips productivity, productive being, working from home routine, tips for being productive at work
Humans, Version 3.0 Credit: Flickr user Suvcon Where are we humans going, as a species? If science fiction is any guide, we will genetically evolve like in X-Men, become genetically engineered as in Gattaca, or become cybernetically enhanced like General Grievous in Star Wars. All of these may well be part of the story of our future, but I’m not holding my breath. Genetic engineering could engender marked changes in us, but it requires a scientific bridge between genotypes—an organism’s genetic blueprints—and phenotypes, which are the organisms themselves and their suite of abilities. And machine-enhancement is part of our world even today, manifesting in the smartphones and desktop computers most of us rely on each day. Simply put, none of these scenarios are plausible for the immediate future. There is, however, another avenue for human evolution, one mostly unappreciated in both science and fiction. Neuronal recycling exploits this wellspring of potent powers. But how do I know this is feasible?