Guide de survie aux abrutis: le bocal à con Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes. Ainsi l’autre jour, voilà ma cliente A., avec qui je travaille sur le relationnel professionnel, qui me lance une de ses œillades malicieuses dont elle a le secret et m’explique qu’elle et son mari sont les heureux inventeurs d’un concept qu’ils auraient du breveter il y a plus de 20 ans : le bocal à con. J’en reste sans voix. Je suis éblouie par le potentiel phénoménal, l’étendue du champ d’action possible d’une telle idée. Le concept est ultra simple. Le bocal peut ensuite être placé sur une étagère décorative, au fond d’un placard ou encore planqué à la cave. Relation à soi / aux autres: le cocktail indispensable Protège tes fesses!
Compétences relationnelles (3): savoir dire non Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:
Faire quelque chose pour soi: parce que nous le valons tous! Comme il est difficile de faire quelque chose pour soi et rien que pour soi! Non parce que quand même, il ne faudrait pas être un gigantesque égoïste nourri à l’individualisme comme d’autres sont nourris aux cornflakes et se gonfler tellement de son auto-importance qu’on pourrait finir comme une certaine grenouille dans une certaine fable! Allez, ré-apprenons à faire parfois quelque chose pour nous-mêmes, parce que c’est bon pour tous;) L’autre jour, ma cliente Philomène m’explique en long en large et en travers qu’elle aurait besoin de dégager du temps pour elle, parce qu’elle ne supporte plus ses douleurs chroniques dans le dos et qu’elle a besoin de rééducation et de natation pour entretenir une posture et une musculature qui l’aideraient considérablement. Nous rechignons à faire quelque chose pour nous-même à cause du regard potentiellement désapprobateur des Autres. – Une bonne humeur bienfaisante. Voir aussi Aller plus loin
This is how our bodies betray us in a lie Let me start with a question: How do you know if a person is lying? If you’re like most people, your first response will be something like “Liars don’t make eye contact.” In a survey of 2,520 adults in sixty-three countries, 70 percent of respondents gave that answer. People also tend to list other allegedly telltale signs of lying, such as fidgeting, nervousness and rambling. When we are being inauthentic — projecting a false emotion or covering a real one — our nonverbal and verbal behaviors begin to misalign. This idea is not exactly new. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. When people lie, they are juggling multiple narratives: what they know to be true, what they want to be true, what they are presenting as true, and all the emotions that go along with each — fear, anger, guilt, hope. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. Lying and leaking go hand in hand. All participants watched a videotape of ten strangers speaking.
[Fiche lecture] Le jolie Petit Manuel d’Improvisation Voilà un petit livret format « Mr/Mme » qui se déguste sans modération, merci à Yvan Richardet pour cette 1er traduction française. On se laisse prendre à l’idée de feuilleter les impressions et réflexions de cette improvisatrice (Jill Bernard). Quelques extraits pour vous donner l’envie de faire la démarche de vous procurer la chose : « Souvenez-vous que vous saviez le faire quand vous aviez six ans, et que tout plein de trucs sont venus faire obstacle » « Le plupart des choses que vous avez assimilées pour devenir un citoyen correct feront de vous un improvisateur merdique » « Ne soyez pas dans votre tête ! « C’est toujours votre tour ! « Ouiii ! « Vous dites « non » avec votre bouche, mais « oui » avec vos actions » Vous découvrirez également la création de personnages par le VAPAPO et l’idée d’explorer tous les types de conflit (au-delà de la sempiternelle dispute) Pas de grandes théories fumeuses ligne après ligne mais des petits paragraphes qui font mouches à chaque fois. Bonne lecture
La carte des émotions dessinée sur le corps La joie induit un réchauffement de l’ensemble du corps. Que se passe-t-il pour d'autres émotions ? © Lighttruth, Flickr, cc by nc 2.0 La carte des émotions dessinée sur le corps - 2 Photos Lorsque l’on ressent une émotion forte, le corps réagit de différentes façons. Si l’on est amoureux par exemple, on éprouve fréquemment une sensation de chaleur et un sentiment de bien-être. « Le système émotionnel envoie des signaux au corps qui préparent l’organisme à faire face à une situation donnée, explique Lauri Nummenmaa, une scientifique de l’université Aalto en Finlande. Les émotions sont associées à différents schémas d'émotion corporelle. Comment les sentiments affectent-ils le corps ? Pour parvenir à cette prouesse, les auteurs ont réquisitionné plus de 700 candidats provenant de Finlande, de Norvège et de Taïwan et leur ont montré des images censées provoquer divers sentiments. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet
Et si on calmait le jeu ? - J'aime l'EFT On a vu dans « Ces discussions qui tournent mal »pourquoi certains sujets déclenchent si facilement des débats houleux. La question est alors : comment éviter d’en « rajouter » ? Quand dans une discussion, notre interlocuteur commence à s’énerver, c’est signe qu’il se sent mis en cause personnellement. Son amygdale perçoit donc la situation comme dangereuse. Alors : - Son Cerveau rationnel n’est plus aux commandes, donc il est impossible d’espérer une discussion constructive dans ce contexte. - Son Cerveau émotionnel va mettre en action de très vieux programmes d’auto-défense : se raccrocher à des idées toutes faites, et / ou passer à l’attaque. - Il risque donc de devenir de plus en plus désagréable. - Et à moins d’être un modèle de douceur et de calme, on peut très vite devenir aussi désagréable que lui. Donc : STOP. Je le redis : vous aurez droit à ce que disaient son Papa et sa Maman quand il avait trois ans, et vous n’allez pas tarder à faire la même chose…. Que faire, alors ?
L'écoute active L'écoute active Comment pratiquer l’écoute active? Pour simplifier, considérons qu’il s’agit de savoir écouter et de savoir activer l’expression de l’interlocuteur. bien écouter, c’est d’abord être en EMPATHIE, ce qui revient à isoler soigneusement ce qu’exprime votre interlocuteur de ce que nous ressentons nous-mêmes en l’écoutant (en particulier sympathie ou antipathie). C’est d’abord se taire lorsque votre interlocuteur parle ou lorsqu’il cherche la suite de ses idées: la première technique d’écoute active est donc LE SILENCE. Ainsi votre interlocuteur reconnaîtra comme dans un miroir l’image de ce qu’il a dit ; cette image l’aidera à clarifier son point de vue et à l’approfondir (la reformulation a un effet de “rebond”) : ainsi, il se sentira compris et encouragé à s’exprimer. La reformulation-écho s’appuie sur un mot fort (qui vous semble avoir une signification importante, à l’instant, pour votre interlocuteur ... et pas pour vous nécessairement). Source:www.inh.fr
Moins d'angoisse grâce à la communication non violente Si vous avez de l’angoisse, de l’anxiété, ou que vous ressentez simplement un sentiment de mal être : il est à peu près sûr que vous avez du mal à vous affirmer, à dire NON. Vous ne voulez sans doute pas blesser votre interlocuteur, et vous ne voulez pas déplaire… En bref, vous préférez faire passer les besoins des autres avant vos propres besoins. C’était en tout cas vrai en ce qui me concerne … Jusqu’à ce que je découvre : la communication « sereine » Cette communication « sereine » est possible grâce à la communication non violente! Pratiquer cette méthode peut vous permettre d’être beaucoup plus serein dans vos rapports avec les autres, mais aussi dans les rapports que vous avez avec vous-même. Elle peut vous apporter aussi la solution que vous attendez pour vous affirmer, et vous accorder l’importance que vous méritez, et ce sans forcément passer pour quelqu’un d’égoïste, de colérique ou de désagréable. En quoi cette méthode m’a aidé et m’aide encore chaque jour ?
Prendre la parole en public, ça s'apprend — Conseils & astuces — Article initialement publié le 25 juin 2015, mais ça fait jamais de mal de le relire, par exemple avant un oral, un débat, une conférence, un atelier en groupe ou même un entretien… On va se tutoyer dans cet article, parce que telle que je te connais, tu vas croire que ces conseils sont destinés à d’autres, à des personnes qui ont déjà en elles un capital de confiance que toi, tu n’as pas. À ces personnes qui disent des choses intéressantes, quand toi, tu as le sentiment que tu n’aurais rien à apporter à la conversation. À ces personnes qui ont toutes les raisons de prendre la parole, mais qui n’osent pas ! Premier scoop : toi aussi, tu en fais partie. (Ça rime, en plus). J’ai quelque chose à dire Je l’avoue volontiers, ce premier conseil est un plagiat éhonté de l’excellente conférence de Bruno « Navo » Muschio et Kyan Khojandi, les co-créateurs de Bref., sur la créativité. À lire aussi : Bruno « Navo » Muschio : le métier d’auteur, ses influences, Bref… « Tu as quelque chose à dire »
L’assertivité ou communication émotionnelle | Le Guide Des Relations La communication émotionnelle est une forme de communication privilégiée qui permet de s’exprimer sans violence et avec respect. Elle permet également d’affirmer et de faire connaître ses besoins et ainsi de parvenir à les satisfaire plus facilement. Il est important de faire part de son besoin à l’autre, non pas pour que celui-ci le prenne en charge, mais le simple fait d’en parler est déjà une façon d’y répondre en prenant ses désirs en charge et ainsi en se respectant soi-même. L’autre est alors libre d’y répondre ou de ne pas y répondre. Dans les relations humaines, il existe quatre attitudes principales qui sont la fuite, l’attaque, la manipulation et l’assertivité. Les trois premières attitudes ne sont pas favorables à une relation de bonne qualité car elles sont génératrices de tensions et d’incompréhension. L’assertivité est fondée sur l’affirmation de soi et non sur la maîtrise de soi. La communication émotionnelle se déroule en trois étapes. La première étape:
Les 5 axiomes de la communication selon Paul Watzlawick – SPIRITUALITE-JEUNES-ECOLES Il existe de nombreux modèles de communication, Watzlawick résume en 5 axiomes les principes de la communication : On ne peut pas ne pas communiquerToute communication présente deux aspects : le contenu et la relation, tels que le second englobe le premier et par suite est une métacommunicationLa nature d’une relation dépend de la ponctuation des séquences de communication entre les partenairesLa communication humaine utilise simultanément deux modes de communication : digital et analogiqueLa communication est soit symétrique, soit complémentaire 1. On ne peut pas ne pas communiquer Chaque être humain adopte un comportement X ou Y dans la vie et ce comportement a valeur de message. 2. Le premier aspect concerne ce qu’on veut faire passer, le contenu qui peut être oral ou écrit. est possible de dire que les interlocuteurs se concentrent sur ce pan là de l’acte de communiquer. Comment intervient ce « comment » de l’acte de communiquer ? 3. Alors que se passe t-il ? 4. 5. Guy Labarraque