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Related: L'information au temps du Covid-19 • EMI et sciences - Clemi Dijon • Désinformation et sciencesNicolas HERVÉ - Etude-Coronavirus Coronavirus - Étude de l'intensité médiatique (working paper) Le but de cette étude est d'observer l'ampleur de la médiatisation du coronavirus sur différents supports (TV, agence de presse, presse et Twitter), de les comparer entre eux, de les analyser et de les mettre en relation avec les événements clés de la chronologie de cette épidémie ainsi qu'avec un certain nombre de données extérieures (nombre de cas, cours de bourse). Cette étude sera mise à jour aussi régulièrement que possible avec les nouvelles données ainsi qu'avec de nouveaux axes d'analyse. Study on the coronavirus intensity in the French media space (working paper) Version actuelle de l'étude disponible au format pdf Historique des versions
Peer review La peer review, ou « évaluation par les pairs », est le processus d'évaluation de la qualité des articles soumis dans les revues à comité de lecture et de la plupart des demandes de financement. Son principe est simple : la qualité de l'article ou du projet est jugée par d'autres chercheurs travaillant dans le même domaine. Ainsi, lorsque des chercheurs soumettent un article dans une revue scientifique, l'éditeur de celle-ci transmet le texte à d'autres chercheurs afin qu'ils jugent de sa qualité. Ces autres chercheurs, choisis pour leur expertise du domaine concerné par l'article, forment le « comité de lecture » ou les « pairs ».
Le journalisme s’interroge sur le traitement de la science 2020 aura été l’année de l’information de la santé. Sur les six derniers mois, la pandémie a occupé « 60 % de l’offre d’information globale du premier semestre », avec un total de 8 500 sujets diffusés dans les journaux des principales chaînes de télévision généraliste (TF1, France 2, France 3, Arte, M6…), selon une étude de La Revue des médias de l’Institut national de l’audiovisuel (Ina) présentée jeudi 1er octobre aux Assises du journalisme de Tours. En année ordinaire, la santé, davantage abordée dans un « format magazine », occupe 3,3 % du temps d’antenne de ces journaux télévisés. Jamais une épidémie, y compris le Sida, n’avait été autant traitée sur le petit écran. Au cours de cette période, les journalistes spécialistes de la science et de la santé sont montés en première ligne, et se sont souvent sentis tiraillés entre deux temps : celui, long, de la recherche et celui de l’urgence médiatique poussant à rendre compte de toute information concernant le virus. Place des experts
Médias et coronavirus (5) : le regard de Myriam Revault d'Allonnes. Une fabrique médiatique avec un invité unique qui nous donne son regard sur les trois derniers mois écoulés… aujourd’hui on renverse la perspective puisque c’est de communication politique qu’il va être question… Le président de la République Emmanuel Macron s’est exprimé dimanche soir à la télévision lors d’une allocution de vingt minutes devant 24 millions de Français, pour clore une séquence entamée il y a trois mois, avec une prise de parole solennelle qui annonçait la mise en place du confinement… Comment le président a-t-il géré médiatiquement cette période ? Comment les médias ont-ils relayé la parole gouvernementale ? Est-ce que nous avons assisté à une communication de crise ou à un virage du macronisme ?
Pourquoi il faut miser sur le journalisme scientifique Par Olivier Dessibourg, journalistique scientifique et co-fondateur de Heidi.news, un nouveau pure player basé à Genève et lancé au printemps 2019. Il fait du journalisme scientifique un axe fort de son offre éditoriale. Billet invité. Les sciences et les technologies sont partout autour de nous. Il y a peu, l’annonce de la naissance de bébés modifiés génétiquement en Chine – encore non publiée scientifiquement – a montré une fois de plus à quel point les avancées scientifiques façonnent nos sociétés, nos économies et même le futur de nos démocraties. A quel point elles nous questionnent sur les plans éthique, philosophique voire surtout personnel – qui d’entre nous resterait totalement insensible à la possibilité de pouvoir choisir certaines caractéristiques physiques ou mentales de ses futurs enfants ?
La chloroquine protège des accidents de trottinette : l’improbable canular publié dans une revue scientifique L’hydroxychloroquine permettrait de prévenir… les accidents de trottinettes électriques ! Si, si, c’est très sérieux, c’est une étude de la revue "Asian Journal of Medicine and Health" qui le dit. Les auteurs sont deux médecins, Didier Lembrouille et Sylvano Trottinetta… Cela vous paraît absurde ? C’est le but. ÉTUDE INA. Temps d’antenne, personnalités émergentes, place des femmes : un bilan de l’information sous Covid-19 à la télé Des chaînes d’information en édition spéciale permanente ; des journaux de 20 h dont la durée double, passant de trente minutes à (au moins) une heure ; de nouvelles personnalités émergeant sur les antennes ; un grand débat sur la disparition des femmes des plateaux télé… Les 55 jours de confinement total vécus par la France, du mardi 17 mars au dimanche 10 mai, ont eu des conséquences tout à fait inédites sur la place de l’information sur les chaînes françaises de télévision. En poursuivant les analyses lancées lors des premières semaines du confinement (voir ici et là), l’INA a cherché, grâce au travail de son département de la Recherche, à quantifier, et objectiver, plusieurs caractéristiques de cet épisode totalement inédit dans l’histoire de l’information télévisée en France. 1. 74 % du temps d’antenne sur UN sujet pendant huit semaines, c’est historique
Coronavirus : voici des sources fiables pour vous informer en évitant les fake news Pas facile de s'y retrouver entre les chaînes d'info en continu, souvent anxiogènes, et les sites relayant des conseils et messages douteux. Voici une petite sélection de sources fiables, pour garder les idées claires. À mesure que l'épidémie de Covid-19 se propage, les fausses informations se répandent elles aussi comme une traînée de poudre. Il y a par exemple ces "conseils d'un ami médecin", reçus par WhatsApp, qui vous expliquent entre autres que le thé permet de détruire le coronavirus. Ou bien ce "sms reçu d’amis travaillant à l’Assemblée nationale/Sénat” évoquant un confinement total dès mercredi. Comment s'y retrouver, en ces temps où l'inquiétude n'aide pas toujours à garder les idées claires ?
ÉTUDE INA. Comment Didier Raoult et la chloroquine ont surgi dans le traitement médiatique du coronavirus Quand et comment Didier Raoult a-t-il commencé à être médiatisé à la télévision et sur les réseaux sociaux ? Où les théories, controversées au sein de la communauté scientifique, de ce professeur assurant que le Covid-19 pourrait être traité grâce à la chloroquine, portent-elles le plus ? Qui sont ceux qui relaient, en ligne, la position de Didier Raoult ? La Revue des médias de l’INA, dans la foulée de sa première publication «Information à la télé et coronavirus : l’INA a mesuré le temps d’antenne historique consacré au Covid-19 », a décortiqué le traitement médiatique de la deuxième semaine du pic informationnel traitant du coronavirus, entre le lundi 23 et le dimanche 29 mars inclus.
Médias et journalistes tirent les leçons de la couverture de la crise sanitaire « Quand le confinement a été instauré, je lisais tout. Je regardais tous les JT [journaux télévisés], j’écoutais toutes les émissions d’infos… Je savais tout et le contraire de tout. J’aurais pu devenir rédactrice en chef dans n’importe quel média ! » Cette confidence d’une ex-confinée angoissée, beaucoup de Français pourraient sans doute la faire, tant la soif d’informations sur le Covid-19 a paru inextinguible tout au long du printemps. Pour l’étancher, les journalistes spécialisés en santé ou en sciences ont travaillé dans des conditions inédites et, partout dans les rédactions, les messages de remerciements et de soutien ont afflué… en même temps que les remarques piquantes et les critiques parfois cinglantes. « Au cours de la première semaine de confinement, confie Emmanuelle Daviet, la médiatrice des antennes de Radio France, nous avons reçu autant de messages que d’habitude en un mois.
« Ça doit se savoir », « Alter Santé », « Libre Info » : un seul homme derrière un réseau de désinformation Certains prétendent vous informer, alors que leur véritable but est de vous faire cliquer pour rentabiliser votre présence sur leur site. Désinformation + pub et contenus sponsorisés = €€€€€ Je me demande combien ça lui rapporte par mois? Extrait de l’article original d’Adrien Sénécat pour Les Décodeurs : Les Décodeurs ont identifié un Français, Johann Fakra, derrière une trentaine de sites mensongers, présentés comme des médias « alternatifs ». (…) Ces médias qui se disent « alternatifs » diffusent régulièrement des articles sensationnalistes et de fausses informations, parfois aux accents conspirationnistes. Réunis, ils constituent l’un des plus gros réseaux de désinformation français : nous avons identifié plus d’une trentaine de sites qui en font partie, et cette liste n’est probablement pas exhaustive. Lire l’article original d’Adrien Sénécat pour Les Décodeurs
Coronavirus : notre guide pour distinguer les fausses rumeurs des vrais conseils Les écoles fermées pendant plusieurs semaines, les déplacements réduits à leur portion congrue, des événements culturels et sportifs annulés par centaines, une économie grippée, un déconfinement progressif et complexe… L’épidémie due au coronavirus continue de perturber le quotidien en France et dans le monde. Ce contexte d’incertitudes et de questionnements est propice à la diffusion de rumeurs. « Remèdes miracles » contre le Covid-19, intox sur l’origine du SARS-CoV-2, fausses informations sur les conséquences de l’épidémie… Les Décodeurs vous aident à faire le tri. 1. La prévention du Covid-19 2. Le confinement et le déconfinement