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Hardy-Weinberg Equilibrium

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Dengue et chikungunya s'implantent en France métropolitaine Le risque de dengue et de chikungunya est "devenu durable" dans la métropole, selon le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'InVS. Le moustique tigre, vecteur de ces virus tropicaux colonise progressivement le territoire français, alors qu'il n'y est apparu qu'il y a 11 ans. "En métropole, on estime que plus de 2.000 cas importés (retours de voyage) de chikungunya et plus de 900 cas importés de dengue ont été diagnostiqués en 2014", indique à l'AFP le Dr Harold Noël, épidémiologiste à l'Institut national de veille sanitaire (InVS). Petit à petit, le moustique tigre (Aedes albopictus) s'installe en métropole, s'implantant désormais dans 18 départements : Alpes-Maritimes, Alpes-de-Haute-Provence, Var, Haute-Corse, Corse-du-Sud, Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Gard, Hérault, Aude, Pyrénées-Orientales, Haute-Garonne, Gironde, Lot-et-Garonne, Drôme, Ardèche, Isère, et Rhône. Des œufs dans les pots de fleurs et les flaques

They’re Among the World’s Oldest Living Things. The Climate Crisis Is Killing Them. Sequoia Crest, Calif. — Until a few years ago, about the only thing that killed an old-growth giant sequoia was old age. Not only are they the biggest of the world’s trees, by volume — the General Sherman Tree, considered the largest, is 36 feet in diameter at its base and 275 feet tall — they are among the oldest. At least one fallen giant sequoia was estimated to have been more than 3,200 years old. They last so long that, historically, only one or two of every thousand old-growth trees dies annually, according to Nate Stephenson, a research ecologist for the United States Geological Survey.

La rivière – un corridor pour la faune et la flore – L’EPTB Gardons Les cours d’eau constituent un axe de déplacement pour la faune et la flore et tout particulièrement pour les espèces migratrices comme l’alose et l’anguille. L’alose est un poisson qui vit en mer méditerranée. Il remonte le Rhône puis le Gardon pour venir frayer sur la partie aval du Gardon. Il est bon nageur mais il n’a pas de capacité de saut.

Brésil, déforestation hors de contrôle : 739 km2 de forêt amazonienne détruits rien qu'en mai 2019 Les données fournies par l'Agence brésilienne de recherche spatiale sont plutôt inquiétantes : non seulement le phénomène de déforestation est présent et urgent dans la zone sud-américaine, mais il semble que le taux ait augmenté en 2019, conduisant les données officielles à déclarer le pire résultat des 10 dernières années jamais enregistré par la nation sud-américaine. C'est ce qui arrive à l'écosystème amazonien sous le gouvernement controversé de Bolsonaro au Brésil. Selon les données recueillies par l'INPE, en mai 2019, environ 739 kilomètres carrés de forêt tropicale ont été perdus en raison de la déforestation encouragée par le gouvernement Bolsonaro, un chiffre qui se confirme officiellement comme le pire des dix dernières années, même si le pic enregistré par le système de suivi DETER a été en 2004, avec 27 000 kilomètres carrés de forêt amazonienne perdue, un chiffre égal au seul territoire de l'île de Haïti.

Un outil pour mesurer concrètement les apports de la biodiversité Si elle peut paraître étrange, voire cynique, la question de la valeur économique des forêts se pose régulièrement pour les chercheurs, les représentants des pouvoirs publics ou les responsables d’ONG. Je suis pour ma part convaincu, comme spécialiste des méthodes de conservation de l’environnement, que le fait de valoriser la biodiversité peut nous aider à mieux la préserver. Attribuer une valeur économique à un espace forestier, un lac ou une colline pour le compte d’un village, d’une ville ou même d’un pays peut ainsi encourager de meilleures pratiques en matière de conservation. C’est pour cette raison que nous avons mis au point TESSA (la « boîte à outils pour l’évaluation des services écosystémiques à l’échelle d’un site »). ONG locales, institutions, organismes publics ou particuliers, chacun peut se saisir de TESSA pour mesurer l’impact de la conservation de l’environnement et agir en faveur de la protection des milieux naturels. La question des critères

Biodiversité : comment arrêter l’incendie « Je vais vous présenter un plan biodiversité dans les semaines qui viennent (…), mais très sincèrement, tout le monde s’en fiche, à part quelques-uns », clamait Nicolas Hulot, alors ministre de la Transition écologique et solidaire, à l’Assemblée nationale le 21 mars 2018. Quelques mois plus tard, les chercheurs du monde entier, réunis à Paris par la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes en anglais, l’équivalent du Giec pour la biodiversité), ont réussi à lui donner à la fois tort et raison. Tort, car leurs conclusions ont sonné l’alarme quant à l’effondrement, partout sur la planète, du nombre et de la variété des organismes vivants sauvages ; ils ont ainsi placé ces sujets à la une de nos quotidiens et de l’agenda politique de nos gouvernants.

Moins de poisson pour tous ! L'inquiétant rapport spécial du GIEC sur l’Océan 27 septembre 2019 Le 24 septembre 2019, le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) a publié un rapport spécial sur « L’Océan et la cryosphère » (la cryosphère renvoie à toutes les parties terrestres ou marines où l’eau est gelée sous forme de neige, glacier, inlandsis, banquise, iceberg, glace de mer, de lac ou de rivière, et pergélisol). Ce rapport complète une série de trois rapports spéciaux du GIEC, dont les précédents sont « Réchauffement global de 1.5°C » publié le 8 octobre 2018 et « Changement climatique et surfaces terrestres » publié le 8 août 2019. Ce travail titanesque de synthèse de toute la connaissance scientifique sur le sujet est le résultat de deux années de travail de la part de 104 auteurs de 36 pays différents et a fait l’objet de 31 176 commentaires de la part d’experts et de gouvernements de 80 pays.

La RAGES du CRIIGEN - Criigen Démarré en 2016, le CRIIGEN participe à un groupe d’expertise des évaluations du risque OGM, principalement agricole. Compte-rendu de la session du 29 octobre 2019… RAGES (Risk Assessment of Genetically Engineered Organisms in the EU and Switzerland) est un programme de recherche sur les OGM entrepris par les associations de scientifiques critiques ENSSER (European Network of Scientists for Social and Environmental Responsibility) dont le CRIIGEN est membre, CSS (Critical Scientists Switzerland), GeneWatch UK et Testbiotech. Le but de ce programme démarré en 2016 est d’expertiser l’évaluation des risques des OGM, en particulier des plantes, telles qu’elle est conduite par l’agence européenne de sécurité des aliments, EFSA, et son équivalent suisse.

Kokopelli : graines de résistance Depuis 1999, l'association Kokopelli commercialise 1500 variétés de graines potagères qui sont libres et reproductibles contrairement aux graines que l'on trouve en générale dans le commerce qui sont des hybrides F1, programmées pour donner beaucoup de fruits mais qui seront stériles et obligeront l'agriculteur a racheter chaque année ces graines. Son activité n'est pas légale car en principe les semences doivent être homologuées par l'Etat et inscrites dans un catalogue du GNIS (Le Groupement national interprofessionnel des semences). Il en coûte 200 euros par an et par variété. Impossible quand l'association possède 4500 variétés anciennes appartenant au patrimoine commun. « Une graine de variété ancienne, donnera des tomates, dont on pourra replanter les graines. Ce n’est pas le cas des variétés hybrides, vigoureuses sur une seule saison, sans saveur et gorgées d’eau, et qui rendent les agriculteurs dépendants des semenciers » accuse le directeur de Kokopelli Ananda Guillet, 27 ans.

L’intérêt du "non labour" confirmée CHARRUE. Les chercheurs du collège d’agriculture de l’Université d’Illinois ont voulu en avoir le cœur net. Est-ce que les comparaisons entre méthodes de labours faites dans les fermes du Midwest sont aussi valables pour le reste du monde ? Les Etats-Unis sont en effet en train de se passer à grande vitesse du labour. Aujourd’hui, 1/3 des exploitations ne passent plus la charrue dans les champs. Outre les évidentes économies en fuel et en matériel, la technique s’est avérée extrêmement rentable. « Aider le sol à remplir ses fonctions permet de mieux faire pousser les récoltes tout en maintenant une haute qualité remplissant des buts écologiques, assure Stacy Zuber, principale auteure de l’article paru dans Soil biology and biochemistry.

L’alarmante disparition des oiseaux 421 millions d’oiseaux ont disparu en moins de 30 ans en Europe. Pesticides, changement climatique... Enquête sur les causes de leur disparition. ► Une enquête de Philippe Reltien, cellule investigation de Radio France La crise de la biodiversité en 10 chiffres Pendant une semaine, 750 experts internationaux sont réunis en Colombie afin de trouver des solutions pour lutter contre la disparition des espèces animales et végétales dans le monde. Faisons, en chiffres, un tour d'horizon de cette crise de la biodiversité qui menace la planète. Cela vous intéressera aussi

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