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Modèle Herrmann

Modèle Herrmann
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Profil de préférences cérébrales Herrmann (en anglais : Herrmann Brain Dominance Instrument, HBDI) a été développé par William "Ned" Herrmann (1922-1999) (Caroline du Nord). Il s'agit d'un outil de connaissance de soi visant à identifier les modes préférentiels de traitement de l'information des individus[1]. Le HBDI est un outil breveté (sous licence Herrmann International) utilisé en management pour établir des profils individuels et des profils d'équipes. Il repose notamment sur les découvertes sur l'asymétrie cérébrale qui ont valu un prix Nobel à Roger Wolcott Sperry et celle du cerveau triunique de Paul D. MacLean[2]. Le modèle Herrmann garde toute sa pertinence au regard des connaissances en neurobiologie cognitive, après plus de 20 ans d'expansion continue de par le monde, au-delà même de la validation de l'outil de mesure (HBDI) qui a été créé pour exploiter le modèle. Concept[modifier | modifier le code] A.

Le cerveau ne pense pas comme on le pensait – SensoriDys La Science n’est pas figée, elle évolue au fur et à mesure qu’avance la connaissance. Et les neurosciences n’y échappent pas (même si certaines hypothèses sont présentées au public comme de quasi-certitudes dans l’univers des troubles des apprentissages). J’ai donc trouvé intéressant le billet de Rémi Guérin du site « Le cerveau à tous les niveaux », de juin 2022, qui montre à quel point tout évolue très vite dans ce domaine, et notamment la tendance qui a prévalu durant plusieurs décennies, à savoir de vouloir cartographier le cerveau par régions « spécialisées » dans une fonction quelconque. Voici un extrait de ce qu’ il écrit : Pour qui s’intéresse à la proprioception, le lien entre vision et mouvement n’a rien de surprenant. Lire le billet de Rémi Guérin dans son intégralité : là. WordPress: J’aime chargement…

Comment le cerveau construit sa réalité – SensoriDys Je vous propose un nouvel article sur la manière dont notre cerveau construit sa réalité, publié dans Pour la Science et Cerveau et Psycho. Il explique très bien le lien entre perception et action et aborde la notion de décharge corollaire, ou copie d’efférence, très impliquée dans le rôle de la proprioception et dont nous avons déjà parlé à plusieurs reprises (par exemple là ou là). Voici d’ailleurs un schéma très simplifié pour essayer de faire comprendre cette notion dans le cadre du contrôle moteur. Dans l’ article de Pour la Science, l’auteur va plus loin que le contrôle moteur, puisqu’il traite de la manière dont le cerveau se forge une représentation du monde au travers de la perception et de l’action. Contrairement à ce qu’on a longtemps supposé, le cerveau ne forge pas sa représentation du monde en recevant passivement des stimuli qui s’impriment dans ses neurones. L’article dans son intégalité : là ou là. WordPress: J’aime chargement…

Psycholinguistique La psycholinguistique est un domaine d'étude scientifique interdisciplinaire, auquel collaborent psychologues expérimentaux et linguistes théoriques qui désirent comprendre la nature fondamentale du langage[1]. Elle s’intéresse aux processus cognitifs mis en œuvre dans le traitement et la production du langage. Fondée dans les années 1950, elle fait appel à de nombreuses disciplines, telles la linguistique, la neurologie et la neurobiologie, la psychologie et les sciences cognitives. La psycholinguistique ne s'intéresse pas uniquement au processus mis en œuvre par le cerveau humain lors de la perception ou de la production du langage, mais également aux pathologies pouvant affecter ces capacités linguistiques, à l'acquisition du langage chez l'enfant, ou au bilinguisme. Introduction[modifier | modifier le code] Point de vue psychologique[modifier | modifier le code] Du côté de la psychologie, l'intérêt est surtout tourné vers les données empiriques[1]. Histoire[modifier | modifier le code]

Mémoire sémantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémoire sémantique est un type de mémoire déclarative. En 1972, Endel Tulving propose de distinguer la mémoire épisodique et la mémoire sémantique comme deux composantes de la mémoire déclarative. La mémoire sémantique constitue une base de connaissances, un magasin d'informations que nous possédons tous et dont une grande partie nous est accessible rapidement et sans effort. Selon Tulving en 1972, c’est la mémoire nécessaire à l’utilisation du langage, c’est un thésaurus mental, le savoir organisé qu’un individu possède pour les mots, les symboles non verbaux et leurs significations. La mémoire sémantique n’enregistre pas les propriétés des stimuli mais plutôt les référents cognitifs des signaux d’entrée. Ce répertoire de connaissances est organisé au sein du cortex temporal, latéral et inférieur, de façon hiérarchique, avec une convergence des informations qui semblerait s'établir selon un axe postéro-antérieur. Démence sémantique

Erreur de pesée... mentale Le physicien allemand Hermann von Helmholtz ne se contenta pas de découvrir la première loi de la thermodynamique (la conservation de l'énergie), il inventa également l'ophtalmoscope et fut le premier à mesurer la vitesse de la conduction nerveuse. Qui plus est, beaucoup le considèrent aussi comme le fondateur de la science de la perception humaine. Nous avons souvent souligné dans cette rubrique que même le plus simple des actes perceptifs implique, de la part du cerveau, une interprétation active, « intelligente », des événements ; la perception n'est pas un simple traitement des entrées sensorielles transmises par les « capteurs » de la lumière, du son, des odeurs, etc. L'illusion de Charpentier-Koseleff (voir l'illustration page 81), ou illusion taille-poids, que vous pouvez facilement reproduire pour étonner vos amis, est une démonstration du pouvoir prédictif de la perception. Elle vous surprendra quand elle vous affirmera que les objets n'ont pas le même poids. Illusion rebelle

Énaction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion d'énaction est une façon de concevoir la cognition qui met l'accent sur la manière dont les organismes et esprits humains s'organisent eux-mêmes en interaction avec l'environnement. L'énaction selon Francisco Varela[modifier | modifier le code] Le terme « énaction » a été proposé par Francisco Varela pour désigner un nouveau paradigme basé non pas sur la métaphore de l’ordinateur, mais sur celle des organismes vivants[2]. Dans The Tree of Knowledge: The Biological Roots of Human Understanding, Francisco Varela et Humberto Maturana utilisent ce terme face — Francisco Varela et Humberto Maturana, Tree of Knowledge, p. 241 (traduction personnelle) Ainsi le monde n'est ni totalement objectif, une réalité donnée à laquelle nous accédons à travers des représentations, ni totalement subjectif, pure création ex nihilo d'un monde de représentations. Chercheurs professant des idées proches[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie

Intellectual giftedness Intellectual ability significantly higher than average Intellectual giftedness is an intellectual ability significantly higher than average. It is a characteristic of children, variously defined, that motivates differences in school programming. It is thought to persist as a trait into adult life, with various consequences studied in longitudinal studies of giftedness over the last century. There is no generally agreed definition of giftedness for either children or adults, but most school placement decisions and most longitudinal studies over the course of individual lives have followed people with IQs in the top 2.5 percent of the population—that is, IQs above 130. Definitions of giftedness also vary across cultures. Identification[edit] Overview[edit] The identification of giftedness first emerged after the development of IQ tests for school placement.[1][2][3] It has since become an important issue for schools, as the instruction of gifted students often presents special challenges.

Croyance La croyance est le fait d'attribuer une valeur de vérité à une proposition ou un énoncé. Le mot peut désigner tantôt le contenu de ce qui est cru, comme dans l'exemple donné par Pascal Engel « croire que le Père Noël existe », tantôt l'attitude ou l'état psychologique de celui qui croit[1]. Le terme de croyance peut indiquer selon le contexte, une adhésion faible, une incertitude quant à un fait ou un énoncé, ou bien une forte conviction, comme pour la foi[2]. Une croyance peut être plus ou moins fondée, plus ou moins justifiée : un préjugé, une opinion, une hypothèse scientifique, une induction sont différentes croyances. Le CNRTL indique que la croyance est une « certitude plus ou moins grande par laquelle l'esprit admet la vérité ou la réalité de quelque chose »[3]. Définitions, étymologie[modifier | modifier le code] Le philosophe Pascal Engel souligne la redoutable ambiguïté de la notion ordinaire de croyance[1]. La Croyance[modifier | modifier le code]

Embodiment L'embodiment (ou cognition incarnée) est un concept issu de la psychologie cognitive[1]. Il fait référence aux pensées (cognition), aux sentiments (émotion) et aux comportements (corps) basés sur nos expériences sensorielles et sur nos positions corporelles[2]. Dans la pratique, il est utilisé pour penser des aspects généralement associés à notre vie quotidienne, tels que notre façon de bouger, de parler et de se développer. Ce processus d’embodiment se constitue de deux modes de fonctionnement : le premier mode, « bottom-up », explique la manière dont les informations provenant du corps influencent notre cognition ;le second, nommé « top-down », correspond à la manière dont notre cognition va influencer nos mouvements corporels. Définition générale[modifier | modifier le code] Psychologie sociale[modifier | modifier le code] L’approche embodiment est issue de la psychologie sociale. Deux modes de fonctionnement[modifier | modifier le code] Attitude et jugement[modifier | modifier le code]

La miction cognitive La miction est un acte réflexe, essentiellement intégré dans la moelle sacrée, sous contrôle encéphalique via des voies de transmission médullaire. Le contrôle est double, à la fois somatique (contraction sphinctérienne volontaire) et végétatif, le système parasympathique sacré présidant à la contraction du détrusor et le système sympathique dorso-lombaire à la relaxation de ce muscle et à la contraction sphinctérienne. Les centres activateurs et inhibiteurs encéphaliques (frontaux etpontiques), permettent en sus de la régulation locale (transduction du signal par l’urothélium vésical), un cycle continence-miction harmonieux, avec un remplissage vésical sans élévation de pression et une miction facile, sans hypercontraction detrusorienne per-mictionnelle et complète sans résidu.

Jean Piaget : Les stades du développement infantile Skip to content Développement cognitif de l’enfant : les stades chez J.Piaget Carla Bugosen 22 juin 20188 février 2022 Divers (enfants) 7 Comments Les stades du développement de l’enfant ont été étudiés avec précision par Jean Piaget. Ses réflexions ont eu une très grande place dans les théories du développement de l’enfant. Les stades du développement chez Piaget : définition Pour Jean Piaget, la pensée se construit par de grandes étapes qu’il appelle des stades. Pour Piaget, l’intelligence se construit petit à petit et elle se caractérise par le fait que l’enfant comprend le monde d’une façon différente à mesure qu’il avance en âge. Développement de l’enfant et environnement De plus, son développement est intimement lié à ses interactions avec l’environnement. Les stades de développement : des manières de voir le monde Ces différents « logiciels » sont différents de la quantité de connaissance que l’enfant apprend. Les 4 principaux stades du développement selon J.Piaget -Articles: -Ouvrages:

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