Noir comme polar : L'essentiel du polar

La lecture est un domaine très important dans l’apprentissage et le développement d’un enfant. C’est pour cela que la lecture est fortement recommandée même à partir d’un bas âge. Nous allons voir à travers ces quelques lignes les bienfaits de la lecture sur un enfant ainsi que quelques conseils qui encouragera votre enfant à lire régulièrement. Les avantages de la lecture sur un enfant D’abord, vous devez savoir que le fait de lire favorise le développement des compétences d’un enfant vu que cela impactera la zone la plus active dans son cerveau. Plus précisément, la lecture dès le plus jeune âge facilite la transition vers la compréhension de l’écrit pour l’enfant. Par ailleurs, la lecture l’aidera à se concentrer facilement. Quelques astuces pour encourager un enfant à lire Vous tenez à ce que votre progéniture s’intéresse à la lecture ? D’un autre côté, assurez-vous qu’il fasse de la lecture tous les jours à la même heure.

untitled Le cannabis n’adoucit pas toujours les mœurs : Savages de Don Winslow Dimanche 15 mai 2011 7 15 /05 /Mai /2011 18:31 Ils sont inséparables. Ils, se sont Ben et Chon, jeunes entrepreneurs qui ont réussi dans le marché de l’hydro, le cannabis cultivé hors-sol, et Ophelia, leur amie qui a choisi de ne pas choisir entre les deux. Le trio inséparable est aussi éclectique. En attendant, tout va pour le mieux pour eux sous le soleil californien qui rend leur commerce si florissant. 320 pages et 290 chapitres. C’est comme cela qu’avec Savages Don Winslow nous offre à la fois un roman noir extrêmement efficace sans être dénué de fond et qui vient en quelque sorte compléter le monumental La griffe du chien par le biais de la thématique du trafic de drogue entre Mexique et États-Unis et de la violence qui lui est inhérente. Un plaisir de lecture. Don Winslow, Savages, Le Masque, 2011. Plus sur Don Winslow ? Du même auteur sur ce blog : La patrouille de l'aube, La griffe du chien, Satori, L'heure des gentlemen ; Cool ; Dernier verre à Manhattan ;

Polars actuels - Critiques de romans policiers, romans noirs et thrillers Hassan Massoudy Calligraphe, calligraphie arabe, arabic calligraphy ـ الخطاط حسن المسعود la grande Oreille STALKER - Dissection du cadavre de la littérature Dennis Lehane on Polars Addict Résumé de l'éditeur : L’Amérique se remet difficilement des soubresauts de la Première Guerre mondiale. De retour d’Europe, les soldats entendent retrouver leurs emplois souvent occupés par des Noirs en leur absence. L’économie est ébranlée, le pays s’est endetté et l’inflation fait des ravages. La vie devient de plus en plus difficile pour les classes pauvres, en particulier dans les villes. C’est sur ce terreau que fleurissent les luttes syndicales, que prospèrent les groupes anarchistes et bolcheviques, et aussi les premiers mouvements de défense de la cause noire. En 1918, Luther Laurence, jeune ouvrier noir de l’Ohio, est amené par un étonnant concours de circonstances à disputer une partie de base-ball face à Babe Ruth, étoile montante de ce sport. Au même moment, l’agent Danny Coughlin, issu d’une famille irlandaise et fils aîné d’un légendaire capitaine de la police de Boston, pratique la boxe avec talent. A priori Luther et Danny n’ont rien en commun. Critique : Note :

moisson noire >>> Magazine escalade et alpinisme en ligne L'association Recitoire presente des contes japonais Voici un conte japonais : Le rêve vendu Youkitchi et Mosouké étaient d'excellents amis. Youkitchi était un garçon joyeux, presque frivole, Mosouké par contre était sérieux et fort prudent. Ainsi, une fois de plus, ils faisaient route ensemble. A cet instant, Youkitchi s'éveilla, s'assit en riant et dit : "Mosouké, je viens de faire un rêve merveilleux. Les amis avaient parlé à haute voix car ils se croyaient seuls. Lorsque, à la ville, Mosouké eut terminé ses affaires, il quitta Youkitchi et s'en retourna à l'endroit où il avait acheté le rêve. Mosouké se fit construire en ville une grande auberge qu'il appela "Au pot ventru". D'après les Contes Japonais de M.

Le blog de Jean-Marc Laherrère