Jean Cocteau Yves Simon (artiste) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Yves Simon en 1974. Il raconte dans une émission de télé avoir été fasciné à l'âge de 16 ans par le chanteur Salvatore Adamo qui vient à l'âge de 17 ans de remporter la finale d'un concours et concrétise alors son rêve de devenir auteur et interprète[1]. Il enregistre deux 33 tours en 1967 (Ne t'en fais pas petite fille) et en 1969 (La Planète endormie), qui passent inaperçus. Parallèlement, il écrit des romans. En 1972, il sort un 45 tours : Les Gauloises bleues. Les succès vont ensuite s'enchaîner tant en disques (Au pays des merveilles de Juliet, grand prix de l'Académie du disque, etc.) qu'en romans. En 2011, il est un des membres du jury du prix Françoise-Sagan[4]. Sa compagne est la peintre, photographe et actrice Patrice-Flora Praxo. Yves Simon annonce un nouvel album pour 2016 . Yves Simon considère que Rumeurs est son douzième album studio et fait donc remonter ses débuts discographiques à l'album studio de 1973.
pierreperret Paroles et musique Pierre Perret © Editions Adèle 1979 Illustration : © gdblog.info REFRAIN T’en fais pas mon p’tit loup C’est la vie ne pleure pas Tu oublieras mon p’tit loup Ne pleure pas Je t’emmènerai sécher tes larmes Au vent des quatre points cardinaux Respirer la violette à Parme Et les épices à Colombo On verra le fleuve Amazone Et la Vallée des orchidées Et les enfants qui se savonnent Le ventre avec des fleurs coupées Allons voir la terre d’Abraham C’est encore plus beau qu’on le dit Y’a des Van Gogh à Amsterdam Qui ressemblent à des incendies On goûtera les harengs crus Et on boira du vin de Moselle Je te raconterai le succès que j’ai eu Un jour en jouant Sganarelle Je t’emmènerai voir Liverpool Et ses guirlandes de haddock Et des pays où y’a des poules Qui chantent aussi haut que les coqs Tous les livres les plus beaux De Colette et de Marcel Aymé Ceux de Rabelais ou de Léautaud Je suis sûr que tu vas les aimer
Louis Aragon Louis Aragon vers 1950. Avec André Breton, Tristan Tzara, Paul Éluard, Philippe Soupault, il est l'un des animateurs du dadaïsme parisien et du surréalisme. Après sa rupture avec le surréalisme en 1931, il s'engage pleinement dans le Parti communiste français, auquel il avait adhéré en 1927, et dans la doctrine littéraire du réalisme socialiste. À partir de la fin des années 1950, Léo Ferré et Jean Ferrat mettent en musique ou chantent nombre de ses poèmes, ce qui contribue à faire connaître son œuvre poétique à un large public. Avec Elsa Triolet, il a formé l'un des couples emblématiques de la littérature française du XXe siècle. Il est en deuxième année de médecine avec André Breton au « Quatrième fiévreux » du Val-de-Grâce, le quartier des fous[8], où les deux carabins se sont liés à Philippe Soupault, quand il est mobilisé, à ce titre, comme brancardier, puis adjudant médecin auxiliaire. Il épouse Elsa le 28 février 1939. Mais leur rôle ne se limite pas à la diffusion de ces œuvres.
Gérard Manset Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Manset. Gérard Manset, né le à Saint-Cloud[1], est un auteur-compositeur-interprète, peintre, photographe et écrivain français. Le grand public le connaît généralement plus pour son œuvre musicale que pour ses autres facettes artistiques. Enfance, formation et vie privée[modifier | modifier le code] Né d'un père ingénieur dans l'aviation et d'une mère violoniste[1], Gérard Manset passe son enfance dans la banlieue parisienne, à Saint-Cloud, puis dans le XVIe arrondissement de Paris. En 1964, il est lauréat du concours général (en dessin), et entre à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris[1]. Il est père de deux filles[1]. Parcours artistique[modifier | modifier le code] Les premiers disques[modifier | modifier le code] À cette époque, il a déjà écrit quelques chansons pour d'autres artistes français et québécois mais, n'aimant pas sa voix, se pense plus auteur et compositeur qu'interprète.
Découvrez l’haïku, cette forme de poésie minimaliste qui cristallise toute la sagesse de la culture japonaise Le genre poétique du haïku a moins de quatre cents ans, mais ses racines sont bien plus anciennes et remontent à l’arrivée du bouddhisme au Japon amenant les premières ramifications de la poésie japonaise. Éternellement associé à l’oeuvre de Basho au XVIIe siècle, le haïku fut ensuite popularisé par Shiki au XIXe siècle avant de conquérir le coeur des artistes occidentaux avec l’ouverture de l’archipel au reste du monde. L’époque de Heian (794 – 1185) est capitale pour la majorité des arts japonais, car elle se caractérise par une période de paix où le Japon reçoit l’influence chinoise et développe sa propre culture. Dans la cour impériale comme dans les familles éduquées, la connaissance de la poésie chinoise et japonaise était vue comme une chose essentielle. C’est à ce moment qu’apparaissent les poèmes en trois vers, avec respectivement cinq, sept et cinq syllabes. Un vieil étang Une grenouille plonge Le bruit de l’eau
Les Trophées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Structure du recueil[modifier | modifier le code] Le recueil est composé de 7 parties ; les trois premières suivent un ordre chronologique : La Grèce et la Sicile (39 sonnets)Rome et les barbares (23 sonnets)Le Moyen Âge et la Renaissance (25 sonnets)L'Orient et les Tropiques (9 sonnets)La nature et le rêve (22 sonnets)Romancero (3 poèmes)Les Conquérants de l'Or (1 poème) Éditions[modifier | modifier le code] L'édition originale, in-8°, est datée de 1893 mais en réalité tirée en décembre 1892. L'édition Descamps-Scrive de 1907 (in-4°) est posthume, mais ses épreuves ont été relues par Heredia. Références[modifier | modifier le code] ↑ a et b Yann Mortelette (dir.), José-Maria de Heredia, poète du Parnasse, PUPS, 2006, p. 197.
José-Maria de Heredia Pour les articles homonymes, voir Heredia. José-Maria de Heredia photographié en 1896 par Paul Nadar. Œuvres principales Compléments Biographie[modifier | modifier le code] De retour à Cuba en juin 1859, il passe un an à La Havane, approfondissant sa connaissance de la langue et de la littérature espagnoles avec le projet d'y effectuer des études de droit. De 1862 à 1865, il suit également, en qualité d'étudiant étranger, les cours de l'École des chartes[1], où il se fait remarquer par son sérieux et sa culture. En 1884, Guy de Maupassant lui dédie la nouvelle Garçon, un bock !... En 1893, Lemerre commande au peintre Paul Chabas une vaste composition, Chez Alphonse Lemerre à Ville-d'Avray, où figurent tous les poètes du Parnasse qu'il éditait. Élu à l'Académie française le 22 février 1894 au fauteuil de Charles de Mazade, Heredia est reçu en séance publique le 30 mai 1895 par François Coppée[4]. En 1902, il fonde avec Sully Prudhomme et Léon Dierx la Société des poètes français.
Voulez-vous danser grand-mère? Voulez-vous danser grand-mère? - 1 - Oh! quelle cérémonie Pour grand-père et grand-maman La famille est réunie Pour leurs noces de diamants Le champagne qui pétille Fait pétiller tous les yeux Quand une petite fille Dit en riant aux bons vieux : Refrain: Voulez-vous danser grand-mère? - 2 - Comme la joie est immense On fait jouer au phono Le disque d'une romance Aux accents doux et vieillots Alors oubliant leurs rides En souvenir du passé Les deux aïeux se décident Et s'enlacent pour danser. Refrain 2: Voulez-vous danser grand-mère? Sur un air qui vous rappelle Combien la vie était belle Pour votre anniversaire Voulez-vous danser grand-mère!
Contemplations II --- ATTENTION : CONSERVEZ CETTE LICENCE SI VOUS REDISTRIBUEZ CE FICHIER --- License ABU -=-=-=-=-=- Version 1.1, Aout 1999 Copyright (C) 1999 Association de Bibliophiles Universels abu@cnam.fr La base de textes de l'Association des Bibliophiles Universels (ABU) est une oeuvre de compilation, elle peut être copiée, diffusée et modifiée dans les conditions suivantes : 1. Toute copie à des fins privées, à des fins d'illustration de l'enseignement ou de recherche scientifique est autorisée. 2. Toute diffusion ou inclusion dans une autre oeuvre doit a) soit inclure la presente licence s'appliquant a l'ensemble de la diffusion ou de l'oeuvre dérivee. b) soit permettre aux bénéficiaires de cette diffusion ou de cette oeuvre dérivée d'en extraire facilement et gratuitement une version numérisée de chaque texte inclu, muni de la présente licence. par Cinquième édition Pure Innocence! Palme du combat Ignorance! Innocence! Janvier 1843. Dans l'église, 15 février 1843. O Dieu! Oh!
Contemplations I --- ATTENTION : CONSERVEZ CETTE LICENCE SI VOUS REDISTRIBUEZ CE FICHIER --- License ABU -=-=-=-=-=- Version 1.1, Aout 1999 Copyright (C) 1999 Association de Bibliophiles Universels abu@cnam.fr La base de textes de l'Association des Bibliophiles Universels (ABU) est une oeuvre de compilation, elle peut être copiée, diffusée et modifiée dans les conditions suivantes : 1. Toute copie à des fins privées, à des fins d'illustration de l'enseignement ou de recherche scientifique est autorisée. 2. Toute diffusion ou inclusion dans une autre oeuvre doit a) soit inclure la presente licence s'appliquant a l'ensemble de la diffusion ou de l'oeuvre dérivee. b) soit permettre aux bénéficiaires de cette diffusion ou de cette oeuvre dérivée d'en extraire facilement et gratuitement une version numérisée de chaque texte inclu, muni de la présente licence. par Cinquième édition Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Qu'est-ce que les Contemplations? Guernesey, mars 1856. Mai 1843.
Les Contemplations Les Contemplations est un recueil de poèmes, écrit par Victor Hugo, publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les plus anciens de ce recueil datent de 1830. Les Contemplations constituent un recueil qui aborde les thèmes du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique[1]. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Victor Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine Hugo, morte noyée dans la Seine à Villequier. Structure du livre[modifier | modifier le code] Le livre s'organise en deux parties, respectivement intitulées Autrefois et Aujourd'hui, comprenant chacune trois chapitres. Autrefois (1830 - 1843) I. À première vue, le recueil semble organisé selon un ordre chronologique. Les Contemplations comme recueil de l’amour[modifier | modifier le code]
Guy Béart, la mort du dernier troubadour DISPARITION - Le chanteur est mort mercredi à l'âge de 85 ans apprend-on de son entourage. Il restera certainement comme le grand chanteur français le plus sous-estimé de tous. Il était certainement le grand chanteur français le plus sous-estimé de tous. Une situation à laquelle ce misanthrope n'était pas étranger. Né le 16 juillet 1930 au Caire en Égypte, Guy Béart passe une partie de son enfance à suivre les nombreux déplacements de son père spécialisé dans les créations d'entreprises. Il en ressortira avec un diplôme d'ingénieur spécialisé dans les cristaux et l'étude de la fissuration du béton. C'est Patachou qui, la première, lui donne un coup de pouce en interprétant sa chanson Le Bal chez Temporel (sur un texte du poète André Hardellet). Le troisième grand B de la chanson avec Brel et Brassens En 1963, il devient le «premier autoproducteur indépendant dans le monde du disque». Cette dépossession le pousse à créer de nouveaux titres, à sortir de nouveaux disques.
Paul Verlaine Paul Verlaine,photographie anonyme. signature Archétype du poète maudit (notion qu'il a lui-même forgée dans son essai de 1884 et 1888), Verlaine est reconnu comme un maître par la génération suivante. Son style — fait de musicalité et de fluidité jouant avec les rythmes impairs — et la tonalité de nombre de ses poèmes — associant mélancolie et clairs-obscurs — révèlent, au-delà de l'apparente simplicité formelle, une profonde sensibilité, en résonance avec l'inspiration de certains artistes contemporains, des peintres impressionnistes ou des compositeurs (tels Reynaldo Hahn, Gabriel Fauré et Claude Debussy, qui mettront d'ailleurs en musique plusieurs de ses poèmes). Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Entrée dans la vie adulte[modifier | modifier le code] Frédéric Bazille, Paul Verlaine (1867), huile sur toile, annotée « à mon cher ami le poète Paul Verlaine » », localisation inconnue[10]. Photographies de Paul Verlaine jeune, entre 1860 et 1870.