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Neuroplasticité

Neuroplasticité
Introduction : Un siècle environ d’études neuroanatomiques de plus en plus résolutives ont conduit à préciser l’organisation du système nerveux avec une très grande définition, mais en donnant en contrepartie la notion d’une fixité et d’une constance forte dans l’architecture cérébrale. Le fait que le cerveau soit constitué quasi exclusivement de neurones postmitotiques renforce cette notion de rigidité structurale, favorisant la recherche de gènes de structure à la base de la mise en place des réseaux nerveux. À ces idées sur le déterminisme génétique de l’organisation anatomique du système nerveux sont associées celles relatives à l’organisation fonctionnelle, relevant d’une conception localisationniste des fonctions cérébrales, issue notamment des travaux de Broca, à la fin du siècle dernier. Notion de neuroplasticité : considération du caractère dynamique de l’organisation cérébrale et de son fonctionnement – au-delà des questions de régénérescence 1- Prolifération : – interleukine-1, Related:  Cerveau Neuroscience CognitifPlasticité du cerveau

La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ? L'équipe de Mathias Pessiglione, chargé de recherche Inserm du "Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière" (Inserm/UPMC-Université Pierre et Marie Curie/CNRS) a identifié la partie du cerveau impliquée dans la motivation lors d'une action mêlant effort physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Dans un sens général et ancien, la...) et mental: le striatum ventral. Les résultats de leur étude ont été publiés dans PLoS Biology le 21 février 2012. Les résultats d'une activité (Le terme d'activité peut désigner une profession.) (physique ou mentale) dépendent en partie des efforts consacrés à cette activité qui peuvent être motivés par une récompense. Par exemple, le sportif est susceptible de s'entrainer "plus intensément" si le résultat lui apporte un prestige social ou monétaire. Représentation 3D du système motivationnel (striatum ventral) activé lors d'un effort physique ou mental. © M. Référence:

La semaine du cerveau et l'homme au cerveau creux C'est la semaine du cerveau sur le c@fé des sciences ! A cette occasion, les auteurs vous proposent une série d'articles inédits ; découvrez par exemple le plus petit cerveau du monde, comment modéliser le cerveau, comment l'observer ou disséquez celui d'Einstein. Apprenez comment se développe le cerveau, comment il nous fait vomir en bateau et explorez d'autres sujets, comme "le cerveau et la politique" ou "le cerveau et les croyances"! Ça se passe ici ! Quant à moi, j'ai repris un vieil article (oui je suis un flemmard) au sujet de l'homme au cerveau creux, que je vous propose de (re)découvrir aujourd'hui : En 2007, la découverte de l'équipe du docteur Feuillet, publiée dans The Lancet, a stupéfié le monde entier. L'homme au cerveau creux C'est un homme "normal": la cinquantaine, marié, deux enfants et employé dans l'administration. Cette découverte provoque la stupéfaction. Cartographie du cerveau La théorie du cerveau plastique La plasticité du cerveau en développement

Le cerveau et les principales fonctions cognitives - HAPPYneuron La mémoire est omniprésente dans la vie quotidienne. Elle nous permet de retenir toute sorte d’informations (souvenirs personnels, connaissances culturelles, procédures automatiques…) pendant une durée plus ou moins longue (de quelques secondes à toute une vie). Elle constitue le passé de chacun, ou plutôt la connaissance de celui-ci, et permet ainsi à quiconque de posséder une identité. Plusieurs formes de mémoire : Nous ne possédons pas qu'une seule mémoire même si nous avons tendance à envisager la mémoire comme un tout en disant avoir, de façon globale, UNE bonne/mauvaise mémoire ou en utilisant des phrases du style : ''Je dois avoir LA mémoire qui flanche !'' Mémoire verbale et mémoire visuelle La mémoire verbale permet de mémoriser par exemple une série de mots et de la rappeler après quelques minutes. Il existe différentes mémoires selon la durée du souvenir : Cliquez pour dérouler La mémoire à court terme ou mémoire de travail Les plaintes de mémoire Dans la vie quotidienne 1.

Stress, peurs et traumatismes : la plasticité du cerveau serait capable de s’adapter et nous protéger Des chercheurs d’une équipe anglaise de l'Université d' Exeter Medical School (UEMS) ont pour la première fois identifié le mécanisme qui nous protège du développement de la peur incontrôlable. Nous le savons et l’apprenons régulièrement, notre cerveau a la capacité extraordinaire de s'adapter à des environnements changeants. Cette capacité est nommée par les experts, la « plasticité ». La plasticité neuronale (ou neuroplasticité) nous protègerait du développement de certains troubles mentaux à la suite de stress et de traumatismes. Cette nouvelle étude, publiée dans la revue de psychiatrie Molecular Psychiatry (1) du journal Nature, vient confirmer cette propension naturelle et approfondir le champ de compréhension de son mécanisme. Avant un événement traumatique, les récepteurs PAR-1 vont habituellement informer les neurones amygdaliens de rester actifs et de produire des émotions vives. Sources A lire « Psychologie de la peur.

Ancrage Mémoriel » Optimiser sa charge mentale afin de mieux gérer ses ressources cognitives et sa mémoire Avez-vous déjà eu le sentiment que votre cerveau n’était plus en mesure de vous donner les ressources nécessaires pour accomplir une tâche demandée, sa charge mentale étant trop élevée ? Cette impression traduit une situation de surcharge cognitive. La charge mentale est la quantité de ressources mobilisées pour réaliser une activité particulière à un moment donné. Elle varie en fonction de la tâche concernée, de sa complexité ou encore du contexte. La charge mentale est également modulée par des facteurs internes, comme la motivation. Le cortex cingulaire antérieur dorsal est impliqué dans le traitement de la charge mentale. Selon Gaël Allain, docteur en psychologie cognitive, « il est important d’être autonome dans son travail » car « laisser la possibilité aux gens de s’organiser comme ils le souhaitent est le meilleur moyen pour diminuer la charge mentale ». Alors, comment optimiser sa charge mentale afin de mieux gérer ses ressources cognitives et sa mémoire ?

L'homme sans cerveau (La théorie du cerveau plastique) En 2007, la découverte de l'équipe du docteur Feuillet, publiée dans The Lancet, a stupéfié le monde entier. L'examen d'un patient "normal" avait révélé une particularité extraordinaire : sa boîte crânienne était pratiquement vide ! Comment cet homme était-il parvenu à vivre normalement, sans troubles neurologiques ? C'est un homme "normal" : la cinquantaine, marié, deux enfants et employé dans l'administration. "Lorsque j'ai appris son passé médical, je lui ai naturellement conseillé de passer un scanner, et c'est alors que nous avons découvert ce spectacle peu commun : un cerveau réduit à une bande de quelques centimètres d'épaisseur, contre la paroi crânienne Manifestement, le nouveau tuyau s'était bouché et le patient avait vécu 30 ans sans s'apercevoir que le liquide s'accumulait graduellement dans son cerveau, remplissant sa boite crânienne et repoussant les structures cérébrales contre les parois, comme on peut le voir sur l'image ci-dessous : Cartographie du cerveau

La théorie de la dissonance cognitive une théorie âgée d’un demi-siècle Selon la théorie de la dissonance cognitive, lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouvera un état de tension inconfortable appelé dissonance, qui, par la suite, tendra à être réduit, par exemple par une modifi cation de ses croyances dans le sens de l’acte. Notre article se propose de présenter cette théorie dans ses grandes lignes. Dans les expériences sur la dissonance, on amène par exemple le sujet à donner des arguments en faveur de la peine de mort alors qu’il est contre (il réalise donc un acte dit « problématique »). Aussi étonnant que cela puisse paraître, lorsque nous sommes amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons ainsi tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements. Genèse de la théorie Léon Festinger. Un séisme en Inde. 1. Au coeur de la théorie Une théorie de la consistance ? Un animal rationalisant. Éveil de la dissonance.

Coaching organisation avec Bernadette Lecerf-Thomas - Papiers du mois Les managers manipulent-ils les cerveaux de leurs interlocuteurs ? Le mot manipulation pouvant être associé à une intention malveillante, il me faut en rappeler le sens. En premier lieu : manipuler veut dire prendre en main pour faire quelque chose (l’ostéopathe vous manipule), tout de suite après vient l’idée de magie (prestidigitation) induisant un pouvoir mystérieux, avec la volonté de truquer, de tromper (machination). Dans l’usage courant, il semble que ce soit la volonté de tromper qui vient tout de suite à l’esprit. Ce fait rend l’usage de ce mot quelque peu délicat et la question posée provocatrice. Les neurosciences montrent que, par la flexibilité neuronale, nous sommes tous des « manipulateurs » de cerveaux, inconscients ou conscients, sans pour autant avoir la volonté de nuire. Qu'en est-il du manager ? Pour d’autres individus, exerçant n’importe quelle activité, le but sera l’endoctrinement, la mise en dépendance d’autrui. Voici quelques exemples : Bernadette LECERF-THOMAS

Cette impressionnante modélisation 3D vous dévoile l’activité de notre cerveau comme jamais Le cerveau est sûrement l’organe du corps humain le plus mystérieux qui existe. En effet, malgré les avancées technologiques, les chercheurs sont encore loin d’avoir percé tous ses secrets. Pourtant, des scientifiques ont réussi à reconstituer l’activité cérébrale d’un homme grâce à la visualisation numérique. Une vidéo fascinante que DGS vous présente aujourd’hui. Depuis plusieurs décennies, les scientifiques tentent de percer les mystères qui entourent le cerveau, et surtout le cerveau humain. Dans cette courte vidéo, les chercheurs ont réussi à modéliser et à animer de façon très fidèle l’activité cérébrale d’un être vivant. Ce n’est pas la première fois que des scientifiques tentent de pénétrer à l’intérieur du cerveau pour découvrir comment il fonctionne, mais grâce à ce nouveau projet, intitulé Glass Brain, les chercheurs disposent désormais d’un moyen fiable qui combine plusieurs technologies. Cette vidéo est totalement fascinante !

Not all brains are created equal: The relevance of individual differences in responsiveness to transcranial electrical stimulation | Frontiers in Systems Neuroscience 1Department of Experimental Psychology, University of Oxford, United Kingdom A current issue in the research of augmentation of brain functions using transcranial electrical stimulation (tES) is the diversity and inconsistency in outcome results. Similar studies often report different results, depending on the parameters and tasks used. Such inconsistencies have led to significant doubts about the efficacy of the method in the broader scientific community, despite its promising potential for patient recovery and treatment. Evidence on the large variability in individual cortical excitability and response to tES suggests that stimulation may affect individuals differently, depending on the subject’s age, gender, brain state, hormonal levels, and pre-existing regional excitability. Certain factors might even lead to the reversal of polarity-dependent effects, and therefore have crucial implications for neurorehabilitation and cognitive enhancement. Edited by: Reviewed by: Peter B.

Neuf exercices pour améliorer sa concentration au travail La concentration consiste à mobiliser ses facultés mentales et physiques sur un sujet ou sur une action. Or notre cerveau est sollicité par de multiples informations et il ne peut en traiter qu'une seule à la fois de façon optimale. Il s'agit donc de le monopoliser, en se libérant des émotions parasites et en s'entrainant à agir, en activant ses cinq sens. Par cette pratique, vous gagnerez aussi en performance. 1. Le chercheur Robert Nideffer, féru de psychologie du sport, a observé que l'attention de l'athlète se caractérise par deux dimensions : l'étendue, large ou étroite selon qu'elle est focalisée sur une seule ou plusieurs informations ; la direction, interne ou externe selon qu'elle est centrée sur les pensées et sensations ou sur un événement ou un objet extérieur. 2. Assis ou debout, le dos bien calé sur le siège ou bien campé sur vos deux jambes, inspirez puis expirez à votre rythme normal dix fois de suite, en restant attentif à votre souffle. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

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