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Milton Friedman

Milton Friedman
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Friedman. Photographie représentant Milton Friedman. Milton Friedman a inauguré une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien-fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne peuvent que provoquer de l'inflation contre laquelle il faut lutter. Ses idées se diffusèrent progressivement et furent prises en compte par les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Le campus de l'université de Chicago Travail au niveau fédéral[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code]

Thatcher pleure la mort de Pinochet - Jean-Yves DENIS Thatcher pleure la mort de Pinochetde : Jean-Yves DENIS lundi 11 décembre 2006 - 00h38 17 commentaires de Jean-Yves DENIS La mort d’Augusto Pinochet a déclenché dimanche une vague de réactions diverses et variées au Chili, mais aussi dans le monde. Ses obsèques font déjà l’objet d’une polémique. Le fils de Pinochet, Marco Antonio, a affirmé pour sa part que son père avait demandé à être incinéré pour éviter une profanation de sa tombe par "des gens qui l’ont toujours détesté". Il laisse derrière lui son épouse, Lucia, qui dirigeait une association bénévole de femmes, consacrée à l’aide aux plus démunis, deux fils et trois filles. En France, Bruno Gollnisch, le numéro deux du Front National, se lâche : « le général Pinochet restera dans l’histoire comme celui qui a sauvé du communisme, non seulement le Chili, mais sans doute toute l’Amérique latine ». Cette tendresse s’explique en effet par l’histoire de la guerre entre l’Angleterre et l’Argentine en 1982, et un lien avec le Chili existe :

Adam Smith Adam Smith portraituré en 1787. Signature La plupart des économistes le considèrent comme « le père de l’économie politique » ; pourtant, certains, comme Joseph Schumpeter ou Murray Rothbard, l'ont défini comme un auteur mineur, considérant que son œuvre comportait peu d'idées originales et que ces dernières étaient pour beaucoup fausses[1],[2]. Il choisit lui-même ses lectures, un choix qui lui vaut d’être menacé d’expulsion de l’université lorsqu’on découvre dans sa chambre le Traité de la nature humaine du philosophe David Hume, lecture jugée inconvenante à l’époque[9]. Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Au-delà de son excentricité, la célébrité d’Adam Smith provient aussi de son travail et de la parution en 1759 de la Théorie des sentiments moraux, œuvre de philosophie qui le fait connaître en Grande-Bretagne et même en Europe. Publiées à titre posthume

La Route de la servitude Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Route de la servitude (titre original : The Road to Serfdom) est un essai du philosophe et économiste Friedrich Hayek paru en 1944. Dans ce livre, Hayek soutient que l'interventionnisme de l'État a tendance à toujours empiéter davantage sur les libertés individuelles et qu'il peut progressivement conduire au totalitarisme, c'est-à-dire à la servitude des peuples. Cet ouvrage est devenu au fil des ans un classique de la pensée libérale contemporaine. Il a été traduit dans une vingtaine de langues. Contexte et impact[modifier | modifier le code] Friedrich Hayek écrit ce livre au début des années 1940, alors que le monde est en pleine Seconde Guerre mondiale. La thèse du livre[modifier | modifier le code] Collectivisme, planification et servitude[modifier | modifier le code] Le collectivisme, dont la forme historique dominante est le socialisme, a plusieurs objectifs initiaux. Le système est de plus détourné de ses objectifs initiaux.

Opportunisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'opportunisme est une conduite qui consiste à tirer le meilleur parti des circonstances, parfois en le faisant à l'encontre des principes moraux. En politique[modifier | modifier le code] L'opportunisme est un courant politique qui s'est développé en France au début de la IIIe République et qui regroupait des personnalités du parti républicain comme Jules Grévy, Léon Gambetta, Jules Ferry. Il se caractérisait par la recherche du soutien populaire dans l'engagement des réformes et s'opposait au radicalisme. Aujourd'hui, le terme d'opportunisme a une connotation péjorative. En biologie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ François Caron, La France des patriotes (de 1851 à 1918) - Fayard 1985 p.384 Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie

David Ricardo David Ricardo, né le 18 avril 1772 à Londres et mort le 11 septembre 1823 à Gatcombe Park, est un économiste et philosophe britannique, également agent de change et député. Il est considéré comme l'un des économistes libéraux les plus influents de l'école classique aux côtés d'Adam Smith et de Thomas Malthus. John Maynard Keynes, critique de Ricardo, écrit dans sa Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie que « Ricardo conquit l'Angleterre aussi complètement que la Sainte Inquisition l'Espagne »[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] David Ricardo est le troisième des dix-sept enfants d'une famille bourgeoise de financiers juifs (d'origine portugaise), ayant émigré des Pays-Bas vers l'Angleterre juste avant sa naissance. À quatorze ans, David Ricardo rejoint son père à la Bourse de Londres, où il commence à apprendre le fonctionnement de la finance. Financier : praticien et théoricien[modifier | modifier le code] et le salaire

Twin deficits hypothesis The twin deficits hypothesis, also called the double deficit hypothesis or twin deficits anomaly, is a macroeconomic proposition that there is a strong link between a national economy's current account balance and its government budget balance.[1] Definition[edit] Macroeconomic theory points to a link between the budget balance and the current account balance. This link can be seen from considering the National accounting model of the economy: where Y represents National Income or GDP, C is consumption, I is investment, G is government spending and X-M stands for net exports. This represents GDP because all the production in an economy (the left hand side of the equation) is used as consumption (C), investment (I), government spending (G), and goods that are exported in excess of imports (NX). where Y is again GDP, C is consumption, S is savings, and T is taxes. Proof[edit] Since , and , then , which simplifies to the sectoral balances identity If (T-G) is negative, we have a budget deficit.

anticyclique Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Siècle à préciser) De cyclique avec le préfixe anti-. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] anticyclique \ɑ̃.ti.si.klik\ masculin et féminin identiques (Économie) Destiné à prévenir les effets néfastes des cycles économiques, le retournement de conjoncture. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] anticonjoncturel Antonymes[modifier | modifier le wikicode] cyclique Traductions[modifier | modifier le wikicode]

Pourquoi faut-il aider les pauvres ? Une étude critique du discours de la Banque mondiale sur la pauvreté Bruno Lautier Corten A., Le discours de la pauvreté de la Banque mondiale, in Langage et société, n° 85, sept. 1998, Maison des sciences de l'homme, Paris. Dean H., Discourse and poverty, crop Newsletter, vol. 5, n° 4, Bergen, nov. 1998. Destremeau B. et Salama P., Mesures et démesure de la pauvreté, puf, 2002. Foster J.

The effects of an appreciation An appreciation means an increase in the value of a currency. It means a currency is worth more in terms of foreign currency. A example of an appreciation in the value of the Pound 2009 – 2012 Jan 2009 If £1 = €1.1June 2012 £1 = €1.27In this case we can say there was a 15% appreciation in the value of the Pound against the Euro – between Jan 2009 and June 2012 Effects of an appreciation on the UK economy Exports more expensive. Impact of appreciation on AD/AS Assuming demand is relatively elastic, an appreciation contributes to lower AD (or a slower growth of AD), leading to lower inflation and lower economic growth. Impact of an appreciation on the current account Assuming demand is relatively elastic, we would expect an appreciation to worsen the current account position. However, the impact on the current account is not certain: An appreciation will tend to reduce inflation. Evaluation of an appreciation Elasticity. Is an appreciation good or bad? Related Effects of a devaluation

EU Politics / Neo - functionalism The theory of neo-functionalism emerged in the mid 1950s; it is a theory of regional integration in a process by which countries remove barriers to free trade. Neo-functionalism helps to explain the integration theory of the Western Europe. The theory is tightly connected to the strategies of the integration of the founding fathers. Jean Monnet’s approach to integration aimed at individual sectors in hopes of achieving spillover effects to further the process of integration it is also said to be followed by the early neo functional steps. Schmitter (1969) argues that Jean Monnet’s methods of mutual recognition and piecemeal problem solving imbedded in the nature of neo-functionalism. Rosamond stated that "Neo-functionalism can be read at one level as a theory provoked entirely by the interactive activity among the original six member states" (2000, p. 10). Neo-functionalism reformulates the functionalist principles in the context of regional institutions.

Taxe Tobin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Tobin. La taxe Tobin, suggérée en 1972 par le lauréat du « prix Nobel d'économie » James Tobin, consiste en une taxation des transactions monétaires internationales afin de limiter la volatilité du taux de change[1]. Par extension, le terme désigne aujourd'hui une taxe sur les transactions financières. Historique[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] L'idée d'une taxe sur les transactions financières est ancienne. Keynes soutient alors qu'une spéculation excessive des opérateurs financiers augmente la volatilité des taux de change. Contexte[modifier | modifier le code] La taxe Tobin est proposée pour la première fois en 1972 par Tobin au cours de ses Janeways lectures données à l'université de Princeton et publiées en 1974 dans l'ouvrage The New Economics a Decade Older[1],[5],[6]. Concept et définition[modifier | modifier le code] Tobin voit deux solutions à ce problème.

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