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Ils chouchoutent leurs salariés qui le leur rendent bien - ILS L'ONT FAIT

Ils chouchoutent leurs salariés qui le leur rendent bien - ILS L'ONT FAIT
Thibault Viort, dirigeant de IsCool EntertainmentIl assure la montée en compétences de ses salariés IsCool Entertainment, éditeur de jeux sur les réseaux sociaux, mise sur son capital humain: des hommes et des femmes impliqués dès leur arrivée dans l'entreprise. Un investissement essentiel pour cette PME en forte croissance: 40 salariés en 2010, chiffre qui a doublé un an plus tard. Les managers sont attentifs à l'intégration des recrues, dont l'arrivée est annoncée dans une newsletter mensuelle. Chaque vendredi matin, tous les salariés participent à une conférence plénière, échangeant sur des sujets du type «la philosophie au service de l'innovation», une ouverture d'esprit nécessaire à leur créativité. IsCool Entertainment > Activité Edition de jeux en ligne > Ville Paris (IIe) > Forme juridique SA > Dirigeant Thibault Viort, 38 ans > Année de création 2001 > Effectif 80 salariés > CA2010 9,3 MEuros > RN2010 1,9 MEuros Sainte Lucie Groupe Fed Bluestone

Conjoncture : Le burn-out, contrepartie du succès économique allemand Fer de lance de la première économie européenne, les salariés allemands semblent être dans une situation privilégiée dans une Europe en crise. Pourtant, un Allemand sur cinq souffre de troubles psychologiques à cause du travail. C'est un chiffre qui montre une autre face du succès économique allemand. Selon une étude réalisée début 2011 par la caisse d'assurance maladie TK à partir des données recueillies sur ses 3,4 millions d'assurés, un allemand sur cinq souffre de troubles psychiques à cause de son travail. Cette souffrance ne cesse d'augmenter: le nombre d'arrêts maladie à cause du stress a bondi de 33% depuis 2007, les ordonnances pour des antidépresseurs ont augmenté de 41% sur la période. Sur les six premiers mois de l'année 2011, 14,3% des arrêts maladies avaient pour origine une dépression ou un burn-out. Un problème très coûteux pour l'économie Le sujet est pris très au sérieux dans le pays. Des changements simples pour protéger les salariés

Ses salariés évacuent leur stress dans la nature - SUR le terrain - Mathias Péju, dirigeant d'Impact Concept Observer un peuplier et revivre l'urgence du dernier contrat qu'il a fallu traiter... Comparer les roseaux à la réunion d'équipe hebdomadaire... L'idée vous semble saugrenue? C'est, pourtant, l'expérience vécue par une poignée de collaborateurs d'Impact Concept, une PME spécialisée dans la signalétique et la décoration professionnelles. « Rien que le fait de se retrouver dans un jardin est très bénéfique, souligne le dirigeant Mathias Péju. Impact Concept > Activité Signalétique et décoration professionnelles > Ville Altortville (Val-de-Marne) > Forme juridique SAS > Dirigeant Mathias Péju, 43 ans > Année de création 2003 > Effectif 30 salariés CA 2010 4,2 MEuros Prêt à entendre toutes les vérités Le jour J, le rendez-vous est fixé à 11 h 30. A la fin de la journée, le coach synthétise ce qui a été dit et tous se retrouvent pour un débriefing... face au chef d'entreprise. Trop de salariés sur le départ Quoi de mieux pour resserrer les liens entre collègues que le jardinage? Zoom Etude

Vie de bureau : Quand le travail déborde, la vie privée en pâtit Une étude du Technologia, cabinet spécialiste des conditions de travail, pointe l'impact négatif des nouvelles façons de travailler sur la vie amoureuse et familiale. La vie privée des salariés pâtit des transformations de la vie professionelle. Horaires de travail extensibles, usage professionnel croissant des nouvelles technologies, rythmes de travail décalés... autant d'évolutions qui grignotent peu à peu la vie sociale, familiale et amoureuse des personnes actives, souligne une étude réalisée par le cabinet Technologia. A l'origine de cette analyse, un constat: la place occupée par le travail est désormais prépondérante. Le travail de nuit, ou le soir à la maison, concerne aujourd'hui une frange très importante de la population active. Ces nouvelles technologies modifient les comportements. Vie sexuelle impactée La qualité de la vie privée, forcément, s'en ressent. La vie sexuelle est aussi impactée par cette évolution des façons de travailler.

Ce qui ne nous tue pas... Le conflit ? Que cela nous plaise ou non, ce dernier est une composante de la vie de tous les jours. Et, bien qu’il soit vu comme stressant, il est en vérité un facteur important de progression… quand il est bien compris et géré. Il a un autre bon côté : le conflit n’est jamais insoluble. Quand deux individus ou deux groupes veulent s’entendre, et sont prêts à discuter du fond du problème plutôt que de leurs positions divergentes, il y a toujours moyen d’y arriver. Évidement, la situation se corse lorsque l’on est en état de subordination et que l’autre personne avec qui nous sommes en désaccord s’avère être notre patron. Il s’agit évidemment d’identifier clairement le (patron à) problème en se rappelant que - nos organisations de travail étant des microsociétés – on y retrouve des collaborateurs plus ou moins bien adaptés et ce peu importe le niveau hiérarchique. Le patron comploteur et intrigant Le patron bonasse L’incompétent Le narcissique Le tyrannique

Welcome Clever Deskmag Reader! | Cohere Coworking Community Ces trentenaires qui cumulent des jobs Stéphane a un appétit d'ogre que les vingt-quatre heures d'une journée ne suffisent jamais à rassasier. Ce n'est pas que ce Parisien de 34 ans soit hyperactif, non. Mais plutôt qu'il sait qu'une seule vie ne sera jamais assez longue pour accomplir tout ce qu'il voudrait. Alors il a pris le taureau par les cornes et a décidé de se dédoubler. Consultant en immobilier/réalisateur/JRI (journaliste reporter d'images), Stéphane est devenu un slasher. Issus de la génération 25-35 ans, les slashers incarnent une vision complètement transformée du monde du travail, ayant intégré la précarité comme mode d'emploi et ne rêvant pas de salaires mirobolants mais juste de quoi créer les conditions d'une vie épanouie, sur le mode "quitte à être précaire, autant que cela soit dans un domaine qui m'enthousiasme". Jouer sur plusieurs identités Les nouvelles technologies ont rendu possibles ces nouvelles vies fractionnées, que chérissent les enfants de la société du zapping.

Portraits de travailleurs multitâches Pauline Guéna, 34 ans, écrivain/scénariste/galeriste Mon parcours J'ai publié mon premier roman (Le Fleuve, Robert Laffont) à 25 ans, j'ai travaillé un peu dans l'édition et je suis tombée enceinte. Plus de trois ans se sont écoulés avant la parution de mon deuxième livre, pendant lesquels j'ai écrit des récits comme coauteure. Ce que j'aime Selon les cas, je me présente comme écrivain ou galeriste. Ce que j'aime moins Je pensais que cette galerie ferait office de joli bureau où je pourrais écrire en toute quiétude. Elodie Gironde, 32 ans, décoratrice/chargée de production Mon parcours J'ai travaillé plusieurs années comme chargée de production à la télévision. Ce que j'aime Aucun risque de s'ennuyer ou de perdre le goût de l'une ou l'autre des activités ! Fabrice Roux, 40 ans, informaticien/designer Mon parcours Le jour, je suis informaticien pour le compte d'Essilor.

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