Science et avenir Covid-19 : une vidéo de 42 secondes qui démontre tout l’intérêt du masque
Pour ceux qui n'auraient pas encore bien compris l'utilité d'un masque, voici en 42 secondes la preuve par l'image de son intérêt. La démonstration efficace provient d'un article commenté paru dans la revue New England Journal of Medicine (voir la vidéo ci-dessous). Une expérience insolite
Covid-19 : que faire si j’ai des symptômes ou si je suis une « personne contact » ?
Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »
Info Coronavirus COVID-19
Informations sur les mesures nationales entre 19h et 6h (couvre-feu), partout sur le territoire, obligation de présenter une attestation dérogatoire au couvre-feu lors des déplacements. les sorties et déplacements sans attestations dérogatoires sont interdits de 19h00 à 06h00, sous peine d’une amende de 135 € et jusqu’à 3750 € en cas de récidive. les établissements autorisés à ouvrir ne pourront plus accueillir de public après 19h00. Par ailleurs, les contrôles sont renforcés sur la voie publique pour limiter les rassemblements et encadrer la consommation d’alcool. Concernant les commerces autorisés à ouvrir : seuls ceux vendant des biens et des services de première nécessité seront autorisés à ouvrir – auxquels s’ajoutent les librairies, les disquaires, les magasins de bricolage, de plantes et de fleurs, les coiffeurs, les cordonniers, les chocolatiers, les concessions automobiles, les visites de biens immobiliers – afin de réduire les contacts dans les lieux clos. Éducation Hôpitaux
Info Coronavirus COVID-19 - Les actions du Gouvernement
19 mars 2021 : reprise de la vaccination avec le vaccin AstraZeneca. 18 mars 2021 : mise en place de mesures de confinement pour 16 départements à compter du vendredi 19 mars à minuit : la région IDF, la région Hauts-de-France, les Alpes-Maritimes, l’Eure et la Seine-Maritime. 15 mars 2021 : suspension du vaccin AstraZeneca par précaution dans l’attente d’un avis de l’Autorité européenne du médicament (EMA).
Science et avenir Covid-19 : la preuve irréfutable et par l'image de l'intérêt du port du masque
Vous ne croyez pas encore à l'utilité du port du masque ? Regardez bien ces images, nul doute qu'elles vous convaincront de son intérêt. Très viralement partagées ce week-end, elles ont été prises par Richard Davis, responsable du laboratoire de microbiologie clinique du centre médical Providence Sacred Heart Medical à Spokane (Washington, États-Unis). La preuve en 42 secondes Ce scientifique a vraiment réussi à démontrer par l'image ce que signifie le fait de porter un masque.
Situation des personnels vulnérables
La rentrée 2020 se fait dans un contexte sanitaire dégradé. Le ministre tarde à prendre la mesure de cette rentrée hors normes. Illustration : la situation des personnels dits vulnérables. Après de multiples interpellations du SNES et de la FSU, des réponses viennent d’être données.
Déconfinement : quelle conduite adopter
publié le18.05.20 mise à jour10.09.20 Depuis le déconfinement Depuis le 11 mai s’est ouverte la période de déconfinement. La stratégie est d’identifier, de tester massivement puis d’isoler les personnes testées positives au SARS-CoV-2 afin de casser le plus rapidement possible les chaînes de transmission. Le virus circule toujours et ensemble, nous devons tous continuer à appliquer les gestes barrières, rester au moins à un mètre de distance des autres et porter un masque quand ce n’est pas possible, ou dans les lieux où le port du masque est obligatoire Le port du masque est obligatoire dans les lieux publics clos
Coronavirus SARS-CoV-2, reprise du travail des personnes à risque
Le Haut Conseil de santé publique précise ses recommandations relatives à la reprise d’une activité professionnelle des personnes à risque de formes graves de Covid-19. Le HCSP rappelle que les risques liés à la reprise d’activité professionnelle sont dus à la possibilité d’être en contact avec une personne excrétant le SARS-CoV-2 sur le lieu de travail ou dans les transports collectifs utilisés pour se rendre sur ce lieu de travail, en l’absence de mesures de protection adaptées. Toutefois, le risque de contamination n’est pas plus important en milieu professionnel qu’en milieu communautaire. Le HCSP souligne que le télétravail doit être privilégié lorsqu’il est possible. Pour ces personnes la reprise de l’activité professionnelle doit être assortie des mesures suivantes : Hygiène des mainsRespect strict de la distanciation physiquePort d’un masque à usage médical à changer régulièrementDésinfection du poste de travail en particulier si ce poste est partagé.
Coronavirus (Covid-19) : Recommandations au grand public
Le Haut Comité de Santé Publique considère que les personnes à risque de développer une forme grave d’infection au covid-19 sont les suivantes : Les personnes âgées de 70 ans et plus. Pour en savoir plus sur les publics spécifiques, rendez-vous sur le site du gouvernement (rubrique “Consignes sanitaires”).
2020-1098 du 29 août 2020 pris pour l'application de l'article 20 de la loi n° 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020
La date mentionnée au deuxième alinéa du III de l'article 20 de la loi du 25 avril 2020 susvisée est fixée au 31 août 2020 pour les salariés mentionnés au troisième alinéa du I du même article, à l'exception des salariés exerçant leur activité dans les départements de Guyane et de Mayotte pour lesquels elle est fixée à la date à laquelle l'état d'urgence sanitaire y prend fin. Sont regardés comme vulnérables au sens du I de l'article 20 de la loi du 25 avril 2020 susvisée les patients répondant à l'un des critères suivants et pour lesquels un médecin estime qu'ils présentent un risque de développer une forme grave d'infection au virus SARS-CoV-2 les plaçant dans l'impossibilité de continuer à travailler :1° Etre atteint de cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;2° Etre atteint d'une immunodépression congénitale ou acquise : I.
Coronavirus (COVID-19)
L’épidémie de COVID-19 en France Le point sur la situation (28 mars 2021) En semaine 11 (du 15 au 21 mars 2021), l’ensemble des indicateurs, déjà à des niveaux très élevés, ont continué de progresser, avec notamment une augmentation de 17% du nombre de nouveaux cas. Cette accélération touche l’ensemble des régions (excepté la Corse et Provence-Alpes-Côte d’Azur) ; dans cinq départements d’Île-de-France, le niveau d’incidence atteint, voire dépasse, le niveau observé lors de la 2e vague de l’épidémie. La dégradation de l’ensemble des indicateurs entraine, dans plusieurs régions, une très forte tension sur le système hospitalier.
Coronavirus SARS-CoV-2, : personnes à risque de formes sévères
En complément de son avis du 19 juin 2020 relatif à la reprise d’activité des personnes à risque de forme grave de Covid-19, la DGS a demandé au HCSP de se prononcer sur l’opportunité de distinguer, parmi elles, celles « à très haut risque vital » pour lesquelles des recommandations spécifiques pourraient être formulées. Le HCSP a pris en compte l’ensemble des données disponibles depuis le 19 juin qui précisent les trois comorbidités les plus à risque en France (HTA, pathologies cardiaques, diabète) mais ne permettent pas d’évaluer le poids de l’association de comorbidités et de l’âge sur le niveau du risque, et le caractère multifactoriel du risque d’évolution vers une forme grave. En raison de l’impossibilité de distinguer des personnes « à très haut risque vital », le HCSP recommande :