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Orange Advertising fait son entrée sur le marché des ad exchanges Plus qu'un phénomène émergent, l'ad exchange devient une véritable tendance publicitaire. Déjà, en décembre 2012, dix groupes médias (M6 Publicité Digital, M Publicité, RégieObs, Les Echosmédias, Express Roularta Services, Le Point, IP, Libé Médias, Next Régie et Prisma Média) lançaient la plateforme d'ad exchange Audience Square sur le marché des enchères en temps réel (Real Time Bidding ou RTB). Cette fois, c'est au tour de la régie d'Orange de se lancer sur ce marché. Depuis le 7 janvier 2013, la place de marché Orange Ad Market d'Orange Advertising propose donc en temps réel l'audience de 13 éditeurs : Orange.fr, Voila.fr, 118 712.fr, Cityvox.fr, Cinefil.com, ViaMichelin.fr, Têteàmodeler.com, Autodeclics.com, Sports.fr, INA.fr, LeGuide.com, Webmarchand.com, Choozen.fr. Ils représentent une audience cumulée de 26,5 millions de visiteurs uniques par mois, soit une couverture de près de 60 % des internautes français.
Do you speak ad-exchange? Tous les secteurs d'activité jargonnent et celui de la communication n'est pas en reste. En vous attelant à la lecture de notre dossier cette semaine (page 29), vous en aurez une démonstration éclatante: «ad-exchange», «ad-network», «data provider», «demand side platform», «real time bidding», «supply side platform», «trading desk», etc. De nos jours, cela est confirmé, il vaut mieux maîtriser l'anglais et ne pas être hermétique aux technologies… Bien sûr, ces mots et ces expressions compliqués peuvent servir à justifier des coûts d'intervention pour les professionnels concernés et, incidemment, à entretenir une forme d'opacité dont d'aucuns espéreront tirer profit le plus longtemps possible… Cette évolution – certains n'hésitent pas à parler de révolution – s'accompagne de l'émergence de nouveaux acteurs, de nouvelles compétences et même de nouveaux métiers, comme on l'observe plus généralement dans l'univers du «big data». Pourquoi ne pas le reconnaître?
Super Bowl : sur Twitter, les marques profitent de la panne de courant pour lancer des campagnes marketing en temps réel Profitant d’une coupure d’électricité qui a duré plus de 35 minutes, plusieurs marques américaines comme Oreo ou Tide se sont offert des campagnes de marketing en temps réel. Une première. Notre analyse. Alors que les annonceurs américains ont dépensé des dizaines de millions de dollars pour séduire les 110 millions de spectateur, il semble que les meilleures annonces publicitaires soient des tweets envoyés par certaines marques au milieu du blackout. En plein direct sur CBS, la moitié des projecteurs du Mercedes-Benz Superdome se sont éteints. Il faut dire que les commentateurs ont été abandonnés par le diffuseur qui n’a même pas diffusé un spot de pub. L’évènement de ce Super Bowl, c’est bien sûr l’utilisation des médias sociaux par des marques comme Bud Light ou Speed Stick. La palme d’or revient à Oreo. Enfin, Tide et Volkswagen (VW) ont aussi posté un petit message.
Des enjeux inédits pour les agences médias - Dossiers 14/02/2013 - Les agences médias incluent désormais la nouvelle donne induite par les ad-exchanges dans leurs plans médias. Avec de nouvelles problématiques inédites, notamment par rapport à la loi Sapin. Plus qu'un nouvel outil, un nouveau type de démarches dans les plans médias. Depuis leur arrivée en France il y a deux ans, les ad-exchanges ont changé la donne dans l'achat d'espaces publicitaires, avec un nouveau modèle économique à la clé, le «Real-time bidding» sur des plateformes consacrées. Les agences médias se sont adaptées à cette nouvelle donne, en lançant leur «trading desk» (service qui prend en charge l'achat de l'espace publicitaire Internet sur les ad-exchanges ou autres DSP), gérés par des entités créées pour l'occasion: Affiperf chez Havas, Amnet chez Aegis Media, AQN chez OMD, Audience on Demand chez Vivaki, etc. Les agences médias ont dû s'adapter... sans enfreindre la loi Sapin. Ciblage plutôt qu'emplacement Capucine Cousin
Real time bidding for dummies Automated online ad trading, better known as real time bidding (RTB), promises to revolutionise the way we advertise online. While its complex technical jargon may give the strongest mind a headache, no-one can afford to sweep it under the carpet. Madeleine Ross breaks down the RTB monster. Real time bidding (RTB) is perhaps one of the most bamboozling topics in today’s digital advertising landscape, but there’s no denying its swelling pertinence. In the most basic terms, RTB refers to the automated buying and selling of online display ad space. In the words of Google, RTB emerged “at the intersection of data liquidity and inventory liquidity” around 2009 when a swathe of ad exchanges threw their support behind the process. “RTB is just learning to walk,” says Rhys Williams, head of media technology solutions at Google. While data from Australia is limited, figures from overseas markets indicate he’s right. How it works So how does it work? 1. 2. 3. Perks Concerns cheap inventory.
Comprendre l'ad exchange - Dossiers 13/02/2013 - Les places de marché virtuelles d'échange de publicités numériques, ou ad exchange, bousculent le modèle traditionnel de l'achat média en ligne et bientôt, de l'achat média tout court. Visite guidée. Ad exchange, real time bidding (RTB), trading desk: ces concepts importés des États-Unis agitent le petit monde de la publicité digitale. Tout commence par l'ad exchange, qui est à la fois un média et une technologie. Chaque plateforme est pilotée par un opérateur (Orange, Microsoft, Google, Yahoo, Hi-Media, Facebook, etc.) ou, spécificité hexagonale, par une coalition de régies comme La Place Media et Audience Square. Leur rôle: centraliser un stock de pages Web apportées par des éditeurs et des régies, appelé inventaire, et les vendre au plus offrant. La dimension technologique se retrouve dans une place de marché virtuelle équipée de logiciels d'achat et de vente de publicités display (bannières, vidéos). Une révolution en marche L'ad exchange vidéo Encadré Glossaire
How Real-Time Bidding Could Save Mobile Advertising Profession intermédiaire - Dossiers 14/02/2013 - L’essor des échanges automatisés de publicités numériques sur les ad-exchanges a engendré l’apparition de nouveaux acteurs : le «trading desks». Etat des lieux de ces intermédiaires à valeur ajoutée. Comme la dématérialisation des échanges financiers a créé ses courtiers en ligne, l'essor de l'ad-exchange entraîne l'émergence de «trading desks» (ou «traders media»), des agences spécialisées dans l'achat pour le compte des annonceurs de publicités display (bannières) aux enchères et en temps réel («Real Time Bidding» ou RTB). Depuis deux ans, elles se sont multipliées, profitant de la croissance record de ce marché, en hausse de 146% en 2012 selon le Syndicat des régies Internet (SRI) et Cap Gemini. Deux types de trading desk cohabitent: ceux des agences médias et les indépendants, comme Gamned, Matiro, Tradelab, Zebestof, Infectious Media, UN1T (Agence 79) ou Radium One. Des algorithmes personnalisés Un petit marché très disputé Patrick Cappelli
Real-time bidding reprograms the future of ad buying Ad Age frequently runs original op-eds and viewpoint pieces from members of the advertising, marketing and media industries, who can submit pitches or completed pieces for consideration to AdAgeContributors@adage.com. When we can use a proposed piece we try to reply within two business days, but the volume of submissions we receive means we can't answer every email we receive. The most successful proposed pieces take stands on timely questions that matter to many people in the Ad Age audience, typically in 750 words or less and without serving as veiled or indirect ads for the author's company. Some further guidance: Exclusivity Pieces should not have run elsewhere and should not be simultaneously pitched to other publications, whether in print or digital media. Content The writer needs to take a clear position, often going out on a limb with his or her perspective and inviting disagreement. The content should not be self-promotional (even subtly) or reasonably construed as such. Pitches
I-broker Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un i-broker est un "banquier de données" ou un "ISP pour des services d'identité" — une partie tiers de confiance qui aide les individus et organisations à partager des données privées de la même façon que les banques aident à échanger des fonds et les ISPs aident à échanger des emails et des fichiers. Le terme a été introduit dans l'article Social Web décrivant comment une nouvelle couche d'infrastructure Internet est possible basée sur les spécifications OASIS, XRI et XDI. Néanmoins le concept d'un i-broker n'est pas spécifique à quelque technologie ou protocole, mais plutôt une fonction d'affaires et sociale, similaire à celle d'une banque ou d'un ISP. Tout comme les banques offrent une vaste gamme de services associés à un compte, et les ISPs une large gamme de services Internet, les i-brokers offriront une large gamme d'applications d'identité et de partage de données. Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail de l’informatique
How to make real-time bidding work for video advertising “Race To The Bottom” is a phrase that’s been thrown around a lot in the world of video real-time bidding (RTB). Publishers are understandably protective of their impressions as they seek to maximise revenue potential. Allocating portions of inventory into an exchange, or making impressions available on a bidded basis, is a step that many have been reluctant to take in the online video world. But why? For some context here, let’s look at RTB in the display world. With this in mind, the panic induced by thoughts of a similar race to the bottom for video RTB is understandable, but not necessarily justified. This simply doesn’t have to be true and the Online Video market is in the perfect position to change that perception. At Videology we are constantly on the hunt for good quality inventory and buy a substantial amount of it; increasingly on an RTB basis. It’s no secret that in 2012 demand outstripped supply for the most sought after inventory.
Data visualization Data visualization or data visualisation is viewed by many disciplines as a modern equivalent of visual communication. It is not owned by any one field, but rather finds interpretation across many (e.g. it is viewed as a modern branch of descriptive statistics by some, but also as a grounded theory development tool by others). It involves the creation and study of the visual representation of data, meaning "information that has been abstracted in some schematic form, including attributes or variables for the units of information".[1] A primary goal of data visualization is to communicate information clearly and efficiently to users via the information graphics selected, such as tables and charts. Data visualization is both an art and a science. Overview[edit] Data visualization is one of the steps in analyzing data and presenting it to users. Data visualization refers to the techniques used to communicate data or information by encoding it as visual objects contained in graphics.
The Mechanics of Real-Time Bidding Many newcomers to online ad buying have questions regarding the traffic they can buy through a demand-side platform (DSP). How much does it cost? How much of it is available? What is the quality like? The answers are actually interrelated, and require an understanding of the mechanics behind how real-time bidding (RTB) works. Industry Terminology Explained First, a clarification of some industry terminology. Since most advertisers covet lower session depth (session depth refers to the number of pages viewed by a visitor in a particular viewing session, with lower depth corresponding to earlier views), publishers will often sell these impressions in bulk through direct deals with advertisers. Let’s take the fictional example below: Three advertisers bid to show their ads to a specific website visitor on a particular site. The 1st impression will be sold to the advertiser with the highest bid. This 2nd impressions is once again sold to the highest bidder, using a second price auction.