Autisme Montréal
Les méthodes d’intervention Voici une liste des programmes d’intervention éducatifs et de communication que l’on utilise pour aider les personnes ayant un trouble du spectre de l'autisme (TSA). Vous y trouverez les caractéristiques de chaque programme, ainsi que leurs forces et faiblesses. Certains programmes répondent mieux aux besoins des enfants ayant un TSA. Texte original de Polly Yarnall, pour le site de l'Autism Society of America, traduit par la Société québécoise de l'autisme Bases de l'approche : Aussi connue sous les noms d'Apprentissage par essais distincts, Intensive Behavior Intervention (IBI) ou Applied Behavior Analysis (ABA) ou méthode Lovaas. Objectifs : Enseigner à l'enfant comment apprendre en portant attention aux habiletés suivantes : être attentif, imiter, développer le langage réceptif et expressif, les habiletés pré-académiques et d'autonomie personnelle. Implantation et application : Utilise le modèle ABC. Haut de page
Perversion narcissique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La perversion narcissique est une forme de perversion décrite initialement par Paul-Claude Racamier entre 1986 et 1992[1],[2],[3]. Ce n'est un critère diagnostic ni en psychiatrie ni en psychanalyse, même si l'appellation peut évoquer un trouble de la personnalité narcissique[4]. Les notions de perversion et de narcissisme étant des concepts de psychanalyse, c'est à ces théories que Paul-Claude Racamier réfère cette représentation qu'il décrit comme « une organisation durable caractérisée par la capacité à se mettre à l'abri des conflits internes, et en particulier du deuil, en se faisant valoir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir »[5]. Définition historique de la notion[modifier | modifier le code] Utilisation et application[modifier | modifier le code] En psychiatrie[modifier | modifier le code] En psychiatrie, et donc en médecine en général, on n'utilise pas cette notion. La position de Claude Nachin :
15 Stratégies pour la gestion de l'autisme chez les enfants autistes
Gestion d'un enfant autiste peut être parfois difficile, c'est pourquoi avoir mis en place des stratégies de l'autisme peut faire la différence entre l'adaptation et un sentiment d'écrasement. Les stratégies ne doivent pas être difficile ou complexe, c'est vraiment une simple question de veiller à ce que votre enfant se sent en sécurité, confortable et calme, afin qu'ils puissent grandir et se développer dans un environnement positif. Il est important de se rappeler qu'un certain nombre d'afficher des comportements autistes sont ceux qu'ils ont mis au point afin d'assurer la sécurité et de certitude pour le monde qui les entoure. Certains des comportements que l'enfant autiste se développe naturellement sont conçues pour exclure des situations qu'ils jugent trop difficile à maîtriser. Appliquant ainsi la bonne approche peut aider un parent à atteindre leur enfant autiste, au lieu d'être exclus du processus. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15.
Trouble de la personnalité paranoïaque
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité paranoïaque est un trouble mental caractérisé par une paranoïa et une méfiance envahissante à long-terme des autres. Les individus souffrant de ce trouble de la personnalité peuvent être hypersensibles. La tendance actuelle est de considérer qu'il existe un continuum allant de la normalité aux formes graves de paranoïa en passant par la personnalité paranoïaque. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Deux fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme, ce trouble est toutefois peu diagnostiqué, puisqu'une grande partie des souffrants ne songe aucunement à consulter. Diagnostic[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des sept symptômes suivants : Ces comportements ne doivent pas avoir lieu dans le cadre : Caractéristiques psychopathologiques[modifier | modifier le code] Personnalité sensitive[modifier | modifier le code]
Trouble de la personnalité schizoïde
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité schizoïde est un trouble de la personnalité caractérisé par un manque d'intérêt pour les relations sociales. L'individu éprouve des difficultés à nouer des liens sociaux ; ses loisirs, son activité professionnelle, sont solitaires et indépendants. Il n'est en apparence pas touché par les marques de sympathie ou d'affection et n'exprime pas ses émotions, d'où une image de froideur, d'apathie. La prévalence de ce trouble varie selon les études, de 1 %[1] à 5 %. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme de "schizoïde" fut inventé en 1908 par Eugen Bleuler pour désigner une tendance naturelle d’une personne à s’attacher à la vie intérieure en dehors du monde extérieur. La description psychiatrique traditionnelle démarra avec le portrait des comportements schizoïdes observables qu’Ernst Kretschmer élabora en plusieurs groupes : Diagnostic[modifier | modifier le code] DSM-IV TR[modifier | modifier le code]
Personnalité antisociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La personnalité antisociale est un trouble de la personnalité caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales, des émotions et droits d'autrui ainsi que par un comportement impulsif. Le terme de trouble de la personnalité antisociale est utilisé par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR)[1], publié par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) tandis que la Classification internationale des maladies (CIM-10), publiée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), parle de trouble de la personnalité dyssociale[2]. La psychopathie et la sociopathie sont considérées comme deux manifestations différentes du trouble de la personnalité antisociale [réf. nécessaire]. Selon Robert Hare, la différence entre psychopathie et sociopathie peut s'expliquer par l'origine du trouble[3]. Description[modifier | modifier le code] Diagnostic[modifier | modifier le code]
Trouble de la personnalité borderline
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2]. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5]. Comportement[modifier | modifier le code]
Trouble de la personnalité histrionique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trouble de la personnalité histrionique (TPH ; anciennement hystérique) est défini par l'Association américaine de psychiatrie (AAP) comme un trouble de la personnalité caractérisé par un niveau émotionnel et de besoin d'attention exagéré. Le patient est en quête d'attention de la part d'autrui, essaie de se mettre en valeur, de séduire, ou simplement d'attirer le regard ou la compassion. La séduction devient un besoin pour la personne qui vit avec ce trouble affectif. Le besoin de plaire devient excessif. Critères[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] Selon le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l'Association américaine de psychiatrie (AAP), le trouble de la personnalité histrionique est un mode généralisé de réponse émotionnelle excessive en quête d'attention, représenté par au moins cinq des neuf manifestations suivantes : CIM-10[modifier | modifier le code]