Prolongez l'aventure... avec cathares.org, voyage virtuel en Terres cathares Ecrire roman chevalerie (5e) © Nadia Pla Dernière mise à jour (nombreuses modifications) le 26 août 2014 Premières étapes : - choisir un nom de chevalier (prénom + nom de famille ; ou prénom + surnom ; cf. annexes ci-dessous) - choisir le blason de son chevalier, le dessiner et le décrire à l'aide des termes techniques (cf. annexes ci-dessous) Avant de donner aux élèves la fiche de consignes ci-dessous, on prend d'abord le temps de travailler plus lentement sur le portrait du chevalier. 1) Le vocabulaire : les élèves partent d'illustrations représentant des chevaliers dans leur manuel pour nommer (sous forme de liste) tout ce qu'ils voient avec le vocabulaire le plus précis possible, en précisant les couleurs et si possible les matières. 2) On met en commun, puis on compare avec une ou plusieurs listes constituées par le professeur à partir de portraits de chevaliers puisés dans littérature (cf. deux exemples dans les annexes ci-dessous). 4) On met en commun, puis on compare avec les textes des écrivains. Le blason 1.
Romains 4 : Les Grandes Invasions Citation du romain Amiens MARCELUN : "Les Huns dépassent en férocité et en barbarie tout ce qu'on peut imaginer. lls labourent de cicatrices les joues de leurs enfants pour empêcher la barbe de pousser, lls ont le corps trapu, les membres robustes, la nuque épaisse; leurs carrures les rendent effrayants. On dirait des animaux bipèdes ou de ces figures mal dégrossies en forme de troncs qui bordent les parapets des ponts... Les Huns ne cuisent ni n'assaisonnent ce qu'ils mangent; ils ne se nourrissent que de racines sauvages ou de la chair crue du premier animal venu qu'ils réchauffent quelque temps, sur le dos de leur cheval, entre leurs cuisses. Ils n'ont pas d'abri... On les dirait cloués sur leurs chevaux qui sont laids mais vigoureux.
LA BATAILLE DE FORMIGNY Chevalerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot chevalerie est un dérivé du mot cheval, lui-même du bas latin caballus, « mauvais cheval » (à distinguer du latin classique equus), dont les mots « cavalerie » et « cavalier » sont aussi dérivés. Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers, combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés comme médiocres combattants, qui fournissaient la masse de l'infanterie, et, plus tard, de l'artillerie. Historique[modifier | modifier le code] Parallèlement, le titre de chevalier se banalisait, étant acquis, moyennant finances, par les bourgeois enrichis des villes devenues prospères, et ne devenait plus guère qu’un terme honorifique. Cependant, à la même époque apparaissaient les ordres de chevalerie au rôle essentiellement politique. Origines[modifier | modifier le code] Essor de la chevalerie au XIe siècle[modifier | modifier le code] Chevalier faisant la cour à sa dame.
Marco Polo - Biographie voyage / Biography trip (1254-1324) charlesviiiroi.voila.net de 1380 à 1453 En route vers la Terre sainte au Moyen Âge - Pèlerin d’Orient Bénédiction du bourdon et de la panetière du pèlerin Dans les premiers siècles des pèlerinages, quand le pèlerin voulait aller en Terre sainte, il devait obtenir le consentement de ses proches et la permission de son évêque ; on s’enquérait de sa vie et de ses mœurs, on examinait si un vain désir de voir les contrées éloignées ne l’entraînait pas vers les lieux saints. Cette enquête était plus rigoureuse lorsqu’il s’agissait d’un religieux ; on voulait éviter que le pèlerinage ne fût un prétexte pour rentrer dans la vie du monde. Quand toutes ces informations avaient été prises, le pèlerin recevait de la main de l’évêque, à la messe paroissiale, le bourdon et la panetière. Au jour indiqué pour le départ, les parents, les amis, les âmes pieuses, accompagnaient le pèlerin à une certaine distance de la ville ; là, il recevait la bénédiction et se mettait en marche. Toutes les classes de la société fournissaient des pèlerins : princes, prélats, chevaliers, prêtres, nobles et vilains. M.
LES CAPETIENS - LES CROISADES 1- Quand Hugues Capet est élu roi en 987, la France est dominée par de puissants seigneurs qui se partagent le territoire. A partir de son règne, la France ne connait plus de véritables invasions. Mais comme le pays a été souvent divisé, et de vastes territoires avaient été distribués aux grands seigneurs en remerciement de leurs services, les possessions directes du roi se trouvent réduites à un petit domaine dans l'Ile-de-France -- en bleu sur la carte. Le domaine royal forme la base politique et économique de la puissance du roi. 2- Le roi dispose d'un atout majeur qui lui donne de l'autorité sur les autres seigneurs qui, bien qu'ils soient ses vassaux, sont parfois plus puissants que lui. 3- Hugues Capet, que l'on voit assis sur son trône, tient dans sa main gauche la main de justice. 4- Cette main de justice en ivoire richement décorée a pu servir lors du sacre des rois capétiens. 6- Hugues Capet, premier roi capétien, établit sa capitale à Paris, centre de l'Ile-de-France.