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Intelligence ambiante

Intelligence ambiante
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la miniaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant L'intelligence ambiante est ce que pourrait devenir l'informatique dans la première moitié du XXIe siècle en repoussant les limites technologiques qu'elle avait à la fin du XXe siècle [réf. nécessaire]. Ce concept semble pouvoir tenir lieu de traduction non littérale aux concepts nés en Amérique du Nord sous le vocable initial d'informatique ubiquitaire, systèmes pervasifs ou encore ordinateur évanescent [réf. nécessaire]. Dans cette approche, le concept même de système d’information ou d'ordinateur change : d’une activité de traitement exclusivement centrée sur l’utilisateur, l'informatique devient interface entre objets communicants et personnes, et entre personnes [réf. nécessaire]. Facteurs en jeu[modifier | modifier le code] Vers une informatique diffuse[modifier | modifier le code] Perspectives économiques[modifier | modifier le code] Related:  Intelligence artificielle

Jeu de la vie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un canon à planeurs de période 30. Une chute de "bombes" non périodique. Le jeu de la vie, automate cellulaire imaginé par John Horton Conway en 1970, est probablement, à l’heure actuelle, le plus connu de tous les automates cellulaires. Malgré des règles très simples, le jeu de la vie permet le développement de motifs extrêmement complexes. Règles[modifier | modifier le code] En préambule, il faut préciser que le jeu de la vie n’est pas vraiment un jeu au sens ludique, puisqu’il ne nécessite aucun joueur ; il s’agit d’un automate cellulaire, un modèle où chaque état conduit mécaniquement à l’état suivant à partir de règles pré-établies. Le jeu se déroule sur une grille à deux dimensions, théoriquement infinie (mais de longueur et de largeur finies et plus ou moins grandes dans la pratique), dont les cases — qu’on appelle des « cellules », par analogie avec les cellules vivantes — peuvent prendre deux états distincts : « vivantes » ou « mortes ».

Comment le web de données change-t-il la nature de la toile ? En rendant les contenus du web lisibles par les machines, le web sémantique bouleverse notre univers informationnel et ouvre de nouvelles opportunités propres à redéfinir la nature du Web : d’un web de document à un web de données. (ce billet est issue d’une note de synthèse, réalisée dans le cadre de mes activités universitaires. Il s’agit d’un bilan de lecture autour du web de données. 1. A peine avons-nous commencé à explorer les nouveaux modèles d’affaires du Web 2.0 que déjà se profile un nouveau paradigme prometteur : le web de données. Les applications du Web 2.0 reposent de plus en plus sur la gestion, l’analyse et l’exploitation des massives quantités de données issues des UGC. Nos historiques de navigation sont enregistrés, tous comme nos requêtes sur des applications tierces, et l’immense champ des flux de données plus ou moins bien structurés. 2. information overload ("seven months" by dylanroscover) 3. Le web sémantique a été proposé en 2001 par Tim Berners Lee. 4. 5. 6.

G Ayache SmartPaper Comment augmenter le réel ? Bonne question ! Cela va devenir trés simple : utilisez le smart paper !... (qui ouvre la semaine prochaine). C'est une technologie (française) de reconnaissance d'images, et d'objets ... Et avec cela, on peut aller trés loin et créer de nouveaux marchés... Gérard nous explique dans le détail... Comment reconnaître l'agrafeuse ? Comment est-ce possible ? Et même on pourra reconnaître une mot dans une page ! Même chose pour n'importe quel type d'objets physiques, mais cela viendra un plus tard... Pourquoi avoir eu cette idée ? Mais alors quel est le business model ? Concurrence ? Nouvelles fonctionnalités qui seront intégrées ? 40 personnes travaillent chez Smart System... Commentaires au débotté... Pour contacter Gérard Ayache : admin(arobase)smartsystem.fr © Une production du Billautshow - the video for the rest of us - the e-billautshow : the french worldwide hub

Later Terminator: We’re Nowhere Near Artificial Brains | The Crux I can feel it in the air, so thick I can taste it. Can you? It’s the we’re-going-to-build-an-artificial-brain-at-any-moment feeling. It’s exuded into the atmosphere from news media plumes (“IBM Aims to Build Artificial Human Brain Within 10 Years”) and science-fiction movie fountains…and also from science research itself, including projects like Blue Brain and IBM’s SyNAPSE. For example, here’s a recent press release about the latter: Today, IBM (NYSE: IBM) researchers unveiled a new generation of experimental computer chips designed to emulate the brain’s abilities for perception, action and cognition. Now, I’m as romantic as the next scientist (as evidence, see my earlier post on science monk Carl Sagan), but even I carry around a jug of cold water for cases like this. The Worm in the Pass In the story about the Spartans at the Battle of Thermopylae, 300 soldiers prevent a million-man army from making their way through a narrow mountain pass. Big-Brained Dummies Blurry Joints Instincts

Vie artificielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Simulation de vie artificielle d'un véhicule Braitenberg. La vie artificielle est un champ de recherche interdisciplinaire alliant informatique et biologie, mais avec des applications dans des domaines variés tels que l'économie ou l'archéologie. Histoire et origines[modifier | modifier le code] La première manifestation de la vie artificielle date des années 40. Tentatives de définition[modifier | modifier le code] Il est difficile de donner une définition exacte de la vie artificielle. Ainsi, selon Christopher Langton : "La vie artificielle est donc l'étude de systèmes vivants naturels pour en trouver des principes afin de recréer sur des supports artificiels des phénomènes biologiques à partir de rien." Ou encore, selon J. Une compilation des meilleures définitions de la vie proposées par des experts en biologie et vie artificielle est l'objet de "Comment définir la vie" chez Vuibert. J. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Un signal qui nous vient d’IBM Certains disent qu’il y a en économie des méthodes simples pour savoir où l’on se trouve par rapport aux autres dans son domaine d’activité. Celles qui s’apparentent au « tir au journal » chers aux artilleurs : on tire un coup de canon, on achète le journal du lendemain, on voit où l’obus est tombé et on en déduit l’endroit où on se trouve. Cette méthode s’apparente à celle du « ballon d’essai ». Puis il y a ceux qui cherchent à « apprivoiser l’avenir » en recourant aux méthodologies de l’intelligence économique et ceux enfin qui regardent du côté d’IBM. Regardons donc cette fois-ci ce que nous dit IBM. Le CEO d’IBM Samuel J. De cette décision, on peut d’abord en déduire qu’IBM continue depuis dix ans sa politique de retrait des marchés encombrés par la concurrence où la compétition se fait sur les prix. Les « Analytics » brevetés Vigilint implantée à Sophia Antipolis est spécialisée dans l’acquisition et le traitement de l’information brevet.

Inception RAson Inception, The App est une application de réalité augmentée sonore et artistique. C'est la première fois à mon avis qu'une telle application existe sur un téléphone mobile et peux faire se poser des questions aux utilisateurs. Il faut à mon avis définir ce qu'est cette application : C'est une application de réalité augmentée : l'application prend l'environement dans lequel l'utilisateur se trouve et y ajoute des informations supplémentaires. Ce programme se distingue par l'utilisation unique des bruits ambiants. La plupart voire la majorité des programmes de réalité augmentée utilise ce que la caméra voit et y superpose des informations contextuelles et filtrées. Inception The App de la même façon ajoute divers effets sonores aux bruits ambiants. Techniquement, il n'y a rien de révolutionnaire, ni de prometteur, car ce n'est pas le but. Si l'application est d'abord à mon avis une application artistique, chaque rêve ne devient disponible qu'avec le jeu inclu.

IBM simulates 530 billon neurons, 100 trillion synapses on supercomputer A network of neurosynaptic cores derived from long-distance wiring in the monkey brain: Neuro-synaptic cores are locally clustered into brain-inspired regions, and each core is represented as an individual point along the ring. Arcs are drawn from a source core to a destination core with an edge color defined by the color assigned to the source core. (Credit: IBM) Announced in 2008, DARPA’s SyNAPSE program calls for developing electronic neuromorphic (brain-simulation) machine technology that scales to biological levels, using a cognitive computing architecture with 1010 neurons (10 billion) and 1014 synapses (100 trillion, based on estimates of the number of synapses in the human brain) to develop electronic neuromorphic machine technology that scales to biological levels.” Simulating 10 billion neurons and 100 trillion synapses on most powerful supercomputer Neurosynaptic core (credit: IBM) Two billion neurosynaptic cores DARPA SyNAPSE Phase 0DARPA SyNAPSE Phase 1DARPA SyNAPSE Phase 2

Cyborg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Androïde. Le terme s'emploie surtout en science-fiction ou en futurologie ; utiliser le terme pour des personnes ayant reçu des prothèses, dans le monde contemporain, peut parfois être perçu comme de mauvais goût par les intéressés[1]. Étymologie et utilisation du terme[modifier | modifier le code] « Cyborg » est un mot d'origine anglaise, contraction de « cybernetic organism » (organisme cybernétique). Le terme « cyborg » a été popularisé par Manfred Clynes (en) et Nathan S. Principe et origine[modifier | modifier le code] La cybernétique étant l'étude exclusive des échanges, un organisme pourrait être qualifié de cybernétique dès lors qu'il effectue un échange efficace pour une tâche donnée, mais le terme cyborg sous-entend en plus qu'il ne s'agit pas (uniquement) d'un organisme naturel. La cybernétique est un principe scientifique formalisé par Norbert Wiener en 1948. Représentation[modifier | modifier le code]

Internet creuse la fracture civique LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thierry Vedel, politologue Quelles sont les sources privilégiées par les Français pour se tenir au courant de l'actualité politique ? L'Internet tend-il à supplanter les médias traditionnels en matière d'information ? Les réseaux sociaux en ligne redonnent-ils une nouvelle jeunesse aux conversations dans la formation des opinions ? Médias traditionnels face à Internet. Mais en dépit (ou peut-être à cause) de la richesse de l'Internet, c'est toujours à travers les médias traditionnels qu'un grand nombre d'individus s'informent sur la politique. L'enquête Mediapolis permet aussi d'affiner la façon dont les Français combinent les grands médias et l'Internet. Exposition sélective à l'information. Notre enquête confirme ces pratiques d'information sélective. L'enquête Mediapolis retrouve ces résultats, tout en apportant des données supplémentaires sur l'écoute de la radio. L'Internet, nouvel espace public ? Fracture informationnelle.

GPS - Wiki Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Global Positioning System (GPS) – que l'on peut traduire en français par « système de localisation mondial » – est un système de géolocalisation fonctionnant au niveau mondial. En 2011, il est avec GLONASS, un système de positionnement par satellites entièrement opérationnel et accessible au grand public. Ce système a été théorisé par le physicien D. Fanelli[1] et mis en place à l'origine par le Département de la Défense des États-Unis. Il est très rapidement apparu que des signaux transmis par les satellites pouvaient être librement reçus et exploités, et qu'ainsi un récepteur pouvait connaître sa position sur la surface de la Terre, avec une précision sans précédent, dès l'instant qu'il était équipé des circuits électroniques et du logiciel nécessaires au traitement des informations reçues. Le GPS utilise le système géodésique WGS 84, auquel se réfèrent les coordonnées calculées grâce au système. Système de navigation GPS dans un taxi

Model Suggests Link between Intelligence and Entropy +Enlarge image A. Wissner-Gross/Harvard Univ. & MIT A. D. A pendulum that is free to swing through all angles in a plane can be stabilized in the inverted position by sliding the pivot horizontally, in the same way that you can balance a meter stick on your finger. The smallest disks, subjected to causal entropy forces, tend to work in a synchronized fashion to pull down the largest disk, in what the authors present as a primitive example of social cooperation. The second law of thermodynamics—the one that says entropy can only increase—dictates that a complex system always evolves toward greater disorderliness in the way internal components arrange themselves. Entropy measures the number of internal arrangements of a system that result in the same outward appearance. Hoping to firm up such notions, Wissner-Gross teamed up with Cameron Freer of the University of Hawaii at Manoa to propose a “causal path entropy.” –Don Monroe References R.

Robotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La robotique est l'ensemble des techniques permettant la conception, la réalisation de machines automatiques ou de robots[1]. L'ATILF définit le robot de la manière suivante : « Appareil effectuant, grâce à un système de commande automatique à base de micro-processeur, une tâche précise pour laquelle il a été conçu dans le domaine industriel, scientifique ou domestique »[2]. De cette définition découlent deux interprétations. la première affirme qu'un robot est une machine, qui possède des capteurs, un système logique et des actionneurs. Il est matériel. La deuxième considère qu'un robot est un travailleur artificiel. La robotique actuelle trouve des applications dans différents domaines : Des robots industriels au travail dans une usine Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot robotique est dérivé de robot. Asimov n'était initialement pas conscient d'avoir popularisé le mot. Historique[modifier | modifier le code] Article détaillé : Robot.

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